La cinquième édition du Festival local de la poterie de Maâtkas, dont le coup d'envoi a été donné, jeudi dernier, au niveau du centre de formation professionnelle de la ville, a regroupé 120 participants, entre locaux et ceux représentant une vingtaine de wilayas. La cinquième édition du Festival local de la poterie de Maâtkas, dont le coup d'envoi a été donné, jeudi dernier, au niveau du centre de formation professionnelle de la ville, a regroupé 120 participants, entre locaux et ceux représentant une vingtaine de wilayas. Les organisateurs de la manifestation ont indiqué, lors de la cérémonie d'ouverture, que l'objectif de cette nouvelle édition est la "pérennisation du métier de la poterie traditionnelle par la formation en ce métier, afin d'assurer sa transmission". Les potières qui continuent à fabriquer des poteries selon un procédé très ancien, dit "à colombin", qui consiste à modeler des objets par superposition de bandes d'argile sans recours à une quelconque machine, disparaissent les unes après les autres, et la relève n'est pas assurée, d'où l'importance de la formation. D'ailleurs cette année, le CFPAde Maâtkas a ouvert une formation dans les métiers de la poterie. Au programme de la manifestation, qui se poursuivra jusqu'au 24 du mois de juin, une conférence sur "La poterie de Sidi Semiane, et croyances populaires", qui sera animée par Bourdouz Abdennacer, chercheur au Centre national des recherches préhistoriques, anthropologiques et historiques (CNRPAH). Rebai Sadek et Brahimi El kheir, de l'association culturelle Adrar N'fadh donneront une communication sur les symboles de la poterie. Le Festival de la poterie de Maâtkas, devenu un carrefour incontournable pour les potiers de Tizi-Ouzou et des autres wilayas, puisqu'il représente un espace commercial qui leur permet de vendre leurs produits, mérite d'être renforcé par une structure permanente de vente, telle qu'une maison de la poterie, afin d'offrir aux potiers la possibilité de vendre leurs marchandises tout au long de l'année. Les organisateurs de la manifestation ont indiqué, lors de la cérémonie d'ouverture, que l'objectif de cette nouvelle édition est la "pérennisation du métier de la poterie traditionnelle par la formation en ce métier, afin d'assurer sa transmission". Les potières qui continuent à fabriquer des poteries selon un procédé très ancien, dit "à colombin", qui consiste à modeler des objets par superposition de bandes d'argile sans recours à une quelconque machine, disparaissent les unes après les autres, et la relève n'est pas assurée, d'où l'importance de la formation. D'ailleurs cette année, le CFPAde Maâtkas a ouvert une formation dans les métiers de la poterie. Au programme de la manifestation, qui se poursuivra jusqu'au 24 du mois de juin, une conférence sur "La poterie de Sidi Semiane, et croyances populaires", qui sera animée par Bourdouz Abdennacer, chercheur au Centre national des recherches préhistoriques, anthropologiques et historiques (CNRPAH). Rebai Sadek et Brahimi El kheir, de l'association culturelle Adrar N'fadh donneront une communication sur les symboles de la poterie. Le Festival de la poterie de Maâtkas, devenu un carrefour incontournable pour les potiers de Tizi-Ouzou et des autres wilayas, puisqu'il représente un espace commercial qui leur permet de vendre leurs produits, mérite d'être renforcé par une structure permanente de vente, telle qu'une maison de la poterie, afin d'offrir aux potiers la possibilité de vendre leurs marchandises tout au long de l'année.