L'Algérie a toujours été un pays "incontournable" dans le processus de médiation en Afrique, a indiqué jeudi à Accra le ministre des Affaires étrangères de la Guinée-Bissau, Mario Lopez Darosa, exprimant sa "satisfaction" de l'initiative de l'Algérie concernant le lancement, le 16 juillet à Alger, de la phase initiale du dialogue intermalien inclusif entre le gouvernement et les groupes armés du Nord. L'Algérie a toujours été un pays "incontournable" dans le processus de médiation en Afrique, a indiqué jeudi à Accra le ministre des Affaires étrangères de la Guinée-Bissau, Mario Lopez Darosa, exprimant sa "satisfaction" de l'initiative de l'Algérie concernant le lancement, le 16 juillet à Alger, de la phase initiale du dialogue intermalien inclusif entre le gouvernement et les groupes armés du Nord. Il a ajouté que l'Algérie est le "berceau" de la diplomatie africaine et le pays de la lutte pour la libération des pays du tiers-monde, affirmant "ne pas avoir de doute que l'Algérie finira par aboutir à des résultats concrets", pour la résolution de la crise malienne. Ramtane Lamamra représente le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, en qualité d'invité au sommet. Auparavant Lamamra s'était rendu au Mali et au Burkina Faso, où il a été reçu par les présidents des deux pays. L'Onu approuve l'initiative algérienne L'Organisation des Nations unies (Onu) se "réjouie de l'initiative algérienne du lancement de la phase initiale du dialogue intermalien inclusif, le 16 juillet à Alger", a indiqué jeudi à Accra, le représentant spécial du secrétaire général de l'Onu pour l'Afrique de l'Ouest, Saïd Djinnit. "Je suis réjoui de l'initiative de l'Algérie (la rencontre du 16 juillet entre le gouvernement et les groupes armés du Nord) et nous soutenons toute initiative visant à rapprocher les maliens", a indiqué à la presse algérienne, M. Djinnit, en marge des travaux de la 45e session ordinaire du sommet des chefs d'Etat et de gouvernement de la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO). Il a ajouté que l'Onu oeuvrait à promouvoir la paix "durable" au Mali, soulignant que son organisation travaillera avec toutes les parties maliennes mais aussi avec les pays voisins, en particulier l'Algérie, qui déploie de grands efforts, pour la résolution de ce conflit. Un dialogue intermalien prévu à Alger le 16 juillet Le dialogue intermalien du 16 juillet est "la seule voie aujourd'hui" pour avancer. La phase initiale du dialogue intermalien entre le gouvernement malien et les groupes armés du Nord, qui se tiendra à Alger le 16 juillet, est la "seule voie existant aujourd'hui pour avancer", a déclaré jeudi à Accra le ministre malien des Affaires étrangères, Abdoulaye Diop, soulignant qu'elle constitue une "fenêtre d'opportunité" pour la résolution de la crise malienne. Je pense que c'est une fenêtre d'opportunités à saisir qui ne se présente pas toujours", a indiqué à la presse algérienne, le chef de la diplomatie malienne, en marge des travaux de la 45e session ordinaire du sommet des chefs d'Etat et de gouvernement de la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO). Il a ajouté qu'il y avait un "large consensus" qui se dessine auprès des partenaires du Mali, notamment la CEDEAO, l'ONU et l'Union africaine pour conforter "l'avancée" enregistrée en Algérie. Il a ajouté que l'Algérie est le "berceau" de la diplomatie africaine et le pays de la lutte pour la libération des pays du tiers-monde, affirmant "ne pas avoir de doute que l'Algérie finira par aboutir à des résultats concrets", pour la résolution de la crise malienne. Ramtane Lamamra représente le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, en qualité d'invité au sommet. Auparavant Lamamra s'était rendu au Mali et au Burkina Faso, où il a été reçu par les présidents des deux pays. L'Onu approuve l'initiative algérienne L'Organisation des Nations unies (Onu) se "réjouie de l'initiative algérienne du lancement de la phase initiale du dialogue intermalien inclusif, le 16 juillet à Alger", a indiqué jeudi à Accra, le représentant spécial du secrétaire général de l'Onu pour l'Afrique de l'Ouest, Saïd Djinnit. "Je suis réjoui de l'initiative de l'Algérie (la rencontre du 16 juillet entre le gouvernement et les groupes armés du Nord) et nous soutenons toute initiative visant à rapprocher les maliens", a indiqué à la presse algérienne, M. Djinnit, en marge des travaux de la 45e session ordinaire du sommet des chefs d'Etat et de gouvernement de la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO). Il a ajouté que l'Onu oeuvrait à promouvoir la paix "durable" au Mali, soulignant que son organisation travaillera avec toutes les parties maliennes mais aussi avec les pays voisins, en particulier l'Algérie, qui déploie de grands efforts, pour la résolution de ce conflit. Un dialogue intermalien prévu à Alger le 16 juillet Le dialogue intermalien du 16 juillet est "la seule voie aujourd'hui" pour avancer. La phase initiale du dialogue intermalien entre le gouvernement malien et les groupes armés du Nord, qui se tiendra à Alger le 16 juillet, est la "seule voie existant aujourd'hui pour avancer", a déclaré jeudi à Accra le ministre malien des Affaires étrangères, Abdoulaye Diop, soulignant qu'elle constitue une "fenêtre d'opportunité" pour la résolution de la crise malienne. Je pense que c'est une fenêtre d'opportunités à saisir qui ne se présente pas toujours", a indiqué à la presse algérienne, le chef de la diplomatie malienne, en marge des travaux de la 45e session ordinaire du sommet des chefs d'Etat et de gouvernement de la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO). Il a ajouté qu'il y avait un "large consensus" qui se dessine auprès des partenaires du Mali, notamment la CEDEAO, l'ONU et l'Union africaine pour conforter "l'avancée" enregistrée en Algérie.