Les familles démunies dans la wilaya de Boumerdès sont mises à rude épreuve en ce mois de Ramadhan. Et pour cause, la cherté des fruits et légumes enregistrée peu avant l'approche du mois du carême continue d'y sévir. Les familles démunies dans la wilaya de Boumerdès sont mises à rude épreuve en ce mois de Ramadhan. Et pour cause, la cherté des fruits et légumes enregistrée peu avant l'approche du mois du carême continue d'y sévir. Les prix restent encore non abordables pour plusieurs foyers dans les localités de la wilaya. Malgré les mesures prises par les services concernés afin de remédier à l'augmentation des prix dans les marchés notamment par le contrôle permanent des agents de contrôle, certains commerçants n'ont pas abdiqué leurs attitudes d'augmenter les tarifs de certains produits. Au marché des Issers, à titre d'exemple, la pomme de terre est cédée à 50 DA alors que quelques jours avant le mois du carême ce produit de large consommation se vendait à 30 DA/kg. Idem pour les carottes qui ont pris une tendance haussière vertigineuse atteignant 70 DA/Kg. De même la salade verte se vend à 90 DA/kg dans la plupart des marchés de la wilaya. Même au niveau du marché de Boudouaou où le consommateur retrouve son compte depuis belle lurette en raison des prix abordables appliqués par les commerçants, cet endroit commence de perdre l'affluence record qu'il enregistrait quelques années auparavant. La raison est que les produits de première nécessité ont augmenté d'une façon remarquable alors que ce lieu de négoce est approvisionné en permanence de marchandises à partir des marchés de gros de Khemis El Khechna. Le consommateur ne sait plus à quel saint se vouer en ce mois censé générer pitié et compassion entre gens. Cette situation est accentuée par le manque de certains produits de première nécessité à l'exemple du lait en sachet qui connait une perturbation depuis plusieurs mois. Malgré le plafonnement de la production du lait en sachet par le principal producteur Laiterie de Boudouaou, cela n'a pas réussi à baisser la tension sur le lait. Les régions rurales sont les plus touchées par la pénurie de ce liquide vital acheté ailleurs par les villageois. La consommation du lait en sachet a doublé en ce mois de Ramadhan conjuguée par la défaillance du système de distribution assurée par des collaborateurs privés. Les prix restent encore non abordables pour plusieurs foyers dans les localités de la wilaya. Malgré les mesures prises par les services concernés afin de remédier à l'augmentation des prix dans les marchés notamment par le contrôle permanent des agents de contrôle, certains commerçants n'ont pas abdiqué leurs attitudes d'augmenter les tarifs de certains produits. Au marché des Issers, à titre d'exemple, la pomme de terre est cédée à 50 DA alors que quelques jours avant le mois du carême ce produit de large consommation se vendait à 30 DA/kg. Idem pour les carottes qui ont pris une tendance haussière vertigineuse atteignant 70 DA/Kg. De même la salade verte se vend à 90 DA/kg dans la plupart des marchés de la wilaya. Même au niveau du marché de Boudouaou où le consommateur retrouve son compte depuis belle lurette en raison des prix abordables appliqués par les commerçants, cet endroit commence de perdre l'affluence record qu'il enregistrait quelques années auparavant. La raison est que les produits de première nécessité ont augmenté d'une façon remarquable alors que ce lieu de négoce est approvisionné en permanence de marchandises à partir des marchés de gros de Khemis El Khechna. Le consommateur ne sait plus à quel saint se vouer en ce mois censé générer pitié et compassion entre gens. Cette situation est accentuée par le manque de certains produits de première nécessité à l'exemple du lait en sachet qui connait une perturbation depuis plusieurs mois. Malgré le plafonnement de la production du lait en sachet par le principal producteur Laiterie de Boudouaou, cela n'a pas réussi à baisser la tension sur le lait. Les régions rurales sont les plus touchées par la pénurie de ce liquide vital acheté ailleurs par les villageois. La consommation du lait en sachet a doublé en ce mois de Ramadhan conjuguée par la défaillance du système de distribution assurée par des collaborateurs privés.