A la veille du mois béni du ramadhan, les prix des fruits et légumes ainsi que des viandes (rouges et blanches) affichent, dans la wilaya de Boumerdès, une hausse sensible. C'est du moins ce que l'on peut retenir au terme d'une tournée à travers les marchés de certaines localités. A la veille du mois béni du ramadhan, les prix des fruits et légumes ainsi que des viandes (rouges et blanches) affichent, dans la wilaya de Boumerdès, une hausse sensible. C'est du moins ce que l'on peut retenir au terme d'une tournée à travers les marchés de certaines localités. Les consommateurs ont remarqué que la tendance haussière commence à être ressentie alors que les assurances des responsables n'ont toujours pas d'écho auprès de la majorité des commerçants. Tout le monde s'accorde à dire que les prix seront encoreaugmentés durant ce mois de bénédiction et de piété. « Ce fait n'est pas nouveau », nous dira un consommateur au marché de Bordj Ménaïel. Et d'ajouter « presque chaque année la situation est la même dans tous les lieux de négoce et face à des commerçants sans scrupules n'ont d'autre alternative que de céder au diktat, ramadhan oblige ». Certains, notamment ceux ayant un revenu faible, et dans la plupart des temps ont plusieurs bouches à nourrir, recourent aux marchés informels pour faire leurs emplettes. La raison en est toute simple : les prix des produits notamment fruits et légumes sont abordables. Dans un marché couvert, la tomate est cédée à 80 DA le kilo, par contre le même produit se vend à 60 DA/kg dans les marchés de l'informel. A Issers par exemple, les habitants préfèrent faire leur course au niveau du marché jouxtant la cité 48-Logements en raison des prix abordables des marchandises. C'est dire que les marchés informels réinvestiront le terrain durant ce mois du carême. Sur ce, il est important de préciser qu'à l'échelle de la wilaya, les services concernés ont recensé près d'une cinquantaine de marchés informels alors que l'opération de démantèlement de ces endroits de négoce, n'est toujours pas touché à sa fin. De même, les viandes en général ont connu une légère hausse et les consommateurs s'empressent d'ores et déjà à faire la queue devant les boucheries afin d'en acheter avant que les prix s'envolent. Les consommateurs ont remarqué que la tendance haussière commence à être ressentie alors que les assurances des responsables n'ont toujours pas d'écho auprès de la majorité des commerçants. Tout le monde s'accorde à dire que les prix seront encoreaugmentés durant ce mois de bénédiction et de piété. « Ce fait n'est pas nouveau », nous dira un consommateur au marché de Bordj Ménaïel. Et d'ajouter « presque chaque année la situation est la même dans tous les lieux de négoce et face à des commerçants sans scrupules n'ont d'autre alternative que de céder au diktat, ramadhan oblige ». Certains, notamment ceux ayant un revenu faible, et dans la plupart des temps ont plusieurs bouches à nourrir, recourent aux marchés informels pour faire leurs emplettes. La raison en est toute simple : les prix des produits notamment fruits et légumes sont abordables. Dans un marché couvert, la tomate est cédée à 80 DA le kilo, par contre le même produit se vend à 60 DA/kg dans les marchés de l'informel. A Issers par exemple, les habitants préfèrent faire leur course au niveau du marché jouxtant la cité 48-Logements en raison des prix abordables des marchandises. C'est dire que les marchés informels réinvestiront le terrain durant ce mois du carême. Sur ce, il est important de préciser qu'à l'échelle de la wilaya, les services concernés ont recensé près d'une cinquantaine de marchés informels alors que l'opération de démantèlement de ces endroits de négoce, n'est toujours pas touché à sa fin. De même, les viandes en général ont connu une légère hausse et les consommateurs s'empressent d'ores et déjà à faire la queue devant les boucheries afin d'en acheter avant que les prix s'envolent.