Les Algériens voyageant à l'étranger devront encore patienter. On évoque que l'allocation touristique délivrée en devises serait sur le point d'être revue. Mais quand ? Les Algériens voyageant à l'étranger devront encore patienter. On évoque que l'allocation touristique délivrée en devises serait sur le point d'être revue. Mais quand ? Les autorités financières ne l'ont pas encore signifié. Mais selon plusieurs sources, l'allocation touristique de 130 euros n'arrange pas les affaires. L'année dernière, les autorités avaient évoque la fixation à un seuil minimal de 500 euros pour l'allocation touristique annuelle. Le projet n'est certes pas enterré mais suscite, actuellement à l'approche des grandes vacances d'août, un espoir pour les milliers d'Algériens qui veulent se déplacer sans souci d'argent et avec un seuil confortable en devises. Mais faute de quoi, c'est le marché parallèle de la devise qui constitue une sorte de bulle en rivalisant avec le marché officiel. Les Algériens qui se procurent d'avantage de devises des cambistes du «marché noir» c'est une manière d'inviter les autorités à revoir le montant de la modique somme accordée annuellement. De l'avis d'experts «cette dérisoire somme ne signifie rien pour un touriste algérien qui va à l'étranger». Pour ceux qui doivent arrondir les fins de mois, ils n'attendent que ce montant pour accéder de l'autre côté où généralement on réduit sa consommation à l'extrême. Dans cette histoire, c'est l'Etat qui va récolter les dividendes en augmentant le seuil de l'allocation touristique. Généralement, cette augmentation a pour but de ralentir les flux de devises du marché parallèle en réduisant le taux de change. Pourquoi ne pas proposer une allocation de 1000 dollars si du moins il y a un excédent en devises comme c'est le cas actuellement. Le Maroc, la Tunisie et l'Egypte sont des pays qui ont eu la même expérience mais ont vite adopté une politique homogène pour réduire la sphère de l'informel de la devise en augment leur allocation à 3000 dollars. De plus, tous les pays ont des bureaux de change sauf en Algérie. Comment un Algérien, dont le matelas en réserves de change est en milliards de dollars et d'euros, peut-il se contenter d'une telle somme que certains arrivent à «claquer» en une journée ?. Pourquoi, selon des spécialistes, accorder une telle somme sachant que la plupart des voyageurs qui ont des proches à l'étranger arrivent à marchander des devises contre le dinar ? Certains touristes algériens disposent même de «bons réseaux» en Espagne, l'Italie et la France pour acheter la devise en cash sans le besoin d'aucun document. De leur côté, les émigrés algériens trouvent un bon filon dans ces transactions avec le même taux du marché parallèle. Avec la cherté des billets d'avion toutes destinations et des hôtels, il ne reste aux Algériens que de se rabattre en Tunisie, seule destination qui n'exige pas autant de devises pour un séjour d'une semaine. C'est le coût des 130 euros accordés. Les autorités financières ne l'ont pas encore signifié. Mais selon plusieurs sources, l'allocation touristique de 130 euros n'arrange pas les affaires. L'année dernière, les autorités avaient évoque la fixation à un seuil minimal de 500 euros pour l'allocation touristique annuelle. Le projet n'est certes pas enterré mais suscite, actuellement à l'approche des grandes vacances d'août, un espoir pour les milliers d'Algériens qui veulent se déplacer sans souci d'argent et avec un seuil confortable en devises. Mais faute de quoi, c'est le marché parallèle de la devise qui constitue une sorte de bulle en rivalisant avec le marché officiel. Les Algériens qui se procurent d'avantage de devises des cambistes du «marché noir» c'est une manière d'inviter les autorités à revoir le montant de la modique somme accordée annuellement. De l'avis d'experts «cette dérisoire somme ne signifie rien pour un touriste algérien qui va à l'étranger». Pour ceux qui doivent arrondir les fins de mois, ils n'attendent que ce montant pour accéder de l'autre côté où généralement on réduit sa consommation à l'extrême. Dans cette histoire, c'est l'Etat qui va récolter les dividendes en augmentant le seuil de l'allocation touristique. Généralement, cette augmentation a pour but de ralentir les flux de devises du marché parallèle en réduisant le taux de change. Pourquoi ne pas proposer une allocation de 1000 dollars si du moins il y a un excédent en devises comme c'est le cas actuellement. Le Maroc, la Tunisie et l'Egypte sont des pays qui ont eu la même expérience mais ont vite adopté une politique homogène pour réduire la sphère de l'informel de la devise en augment leur allocation à 3000 dollars. De plus, tous les pays ont des bureaux de change sauf en Algérie. Comment un Algérien, dont le matelas en réserves de change est en milliards de dollars et d'euros, peut-il se contenter d'une telle somme que certains arrivent à «claquer» en une journée ?. Pourquoi, selon des spécialistes, accorder une telle somme sachant que la plupart des voyageurs qui ont des proches à l'étranger arrivent à marchander des devises contre le dinar ? Certains touristes algériens disposent même de «bons réseaux» en Espagne, l'Italie et la France pour acheter la devise en cash sans le besoin d'aucun document. De leur côté, les émigrés algériens trouvent un bon filon dans ces transactions avec le même taux du marché parallèle. Avec la cherté des billets d'avion toutes destinations et des hôtels, il ne reste aux Algériens que de se rabattre en Tunisie, seule destination qui n'exige pas autant de devises pour un séjour d'une semaine. C'est le coût des 130 euros accordés.