La Coordination nationale pour les libertés et la transition démocratique (CNLTD) ne désarme pas. Malgré la non obtention d'une autorisation pour la tenue d'une conférence thématique elle affiche ouvertement sa volonté de poursuivre sa quête pour le changement. Les dirigeants de la CNLTD préparent, en effet, la prochaine étape de leur action. La Coordination nationale pour les libertés et la transition démocratique (CNLTD) ne désarme pas. Malgré la non obtention d'une autorisation pour la tenue d'une conférence thématique elle affiche ouvertement sa volonté de poursuivre sa quête pour le changement. Les dirigeants de la CNLTD préparent, en effet, la prochaine étape de leur action. Ils comptent ainsi installer une instance de consultation et de suivi. Cela devrait intervenir, selon des sources proches de la CNLTD, dès le mois de septembreprochain. La création de cette instance a été décidée, pour rappel, lors de la conférence de la CNLTD tenue le 10 juin dernier à Zeralda. Les membres de la CNLTD, à savoir le MSP, le RCD , le mouvement Enahda , le parti de Jil Djadid, le FJD et l'ancien chef de gouvernement , Ahmed Benbitour, poursuivent les consultations autour de la question. Qui feront partie de cette instance ? Quelles seront les modalités de son fonctionnement ? Des membres de l'opposition qui ont assisté à la conférence de Zeralda vont ils siéger au sein de l'instance de suivi ? C'est autour de ces questions que tourne le débat au sein de la CNLTD. Cette dernière n'a pas pour l'heure réussi a organiser des conférences thématiques. Sa demande d'autorisation pour tenir la première conférence du genre n'a pas été acceptée par la wilaya d'Alger. Ce niet de l'administration, sous prétexte que la salle Ibn Zeydoun de Riadh El Feth devrait abriter uniquement les activités culturelles, n'a pas convaincu la CNLTD. Car pour la Coordination ce refus revêt un cachet politique et prouve, ont estimé les dirigeants de la coordination, du refus du pouvoir de tout changement. Pour signifier leur désapprobation de cette attitude de l'administration les dirigeants de la Coordination ont tenu, jeudi dernier, un rassemblement non autisme à la Grande- Poste d'Alger. Les dirigeants de la CNLT ont aussi tenté ce jour-là de marcher vers la wilaya d'Alger, mais l'important dispositif sécuritaire les a dissuadés. Mais ils ne baissent pas les bras pour autant eux qui ont commencé cette bataille avec le pouvoir en boycottant les élections présidentielles du 17 avril passé. Mais la plus grande réussite de la CNLTD demeure, incontestablement, l'organisation de la conférence de Zeralda, le 10 juin dernier. Un pari réussi, ont estimé à l'unisson tous les observateurs. Ce d'autant que toutes les franges de l'opposition ont assisté à ce rendez-vous unique dans les annales politiques. En plus la conférence pour la transition démocratique, dont l'écrasante majorité des participants, qu'ils soient des partis politiques ou des personnalités, a boycotté les consultations sur le projet de révision constitutionnelle, a élaboré une plateforme de revendications en 11 points qu'elle a adressé d'ailleurs au pouvoir. Ce dernier a, comme attendu, rejeté la plateforme. Comme il a mal apprécié le boycott par la CNLTD des consultations sur la révision de la Constitution. Ils comptent ainsi installer une instance de consultation et de suivi. Cela devrait intervenir, selon des sources proches de la CNLTD, dès le mois de septembreprochain. La création de cette instance a été décidée, pour rappel, lors de la conférence de la CNLTD tenue le 10 juin dernier à Zeralda. Les membres de la CNLTD, à savoir le MSP, le RCD , le mouvement Enahda , le parti de Jil Djadid, le FJD et l'ancien chef de gouvernement , Ahmed Benbitour, poursuivent les consultations autour de la question. Qui feront partie de cette instance ? Quelles seront les modalités de son fonctionnement ? Des membres de l'opposition qui ont assisté à la conférence de Zeralda vont ils siéger au sein de l'instance de suivi ? C'est autour de ces questions que tourne le débat au sein de la CNLTD. Cette dernière n'a pas pour l'heure réussi a organiser des conférences thématiques. Sa demande d'autorisation pour tenir la première conférence du genre n'a pas été acceptée par la wilaya d'Alger. Ce niet de l'administration, sous prétexte que la salle Ibn Zeydoun de Riadh El Feth devrait abriter uniquement les activités culturelles, n'a pas convaincu la CNLTD. Car pour la Coordination ce refus revêt un cachet politique et prouve, ont estimé les dirigeants de la coordination, du refus du pouvoir de tout changement. Pour signifier leur désapprobation de cette attitude de l'administration les dirigeants de la Coordination ont tenu, jeudi dernier, un rassemblement non autisme à la Grande- Poste d'Alger. Les dirigeants de la CNLT ont aussi tenté ce jour-là de marcher vers la wilaya d'Alger, mais l'important dispositif sécuritaire les a dissuadés. Mais ils ne baissent pas les bras pour autant eux qui ont commencé cette bataille avec le pouvoir en boycottant les élections présidentielles du 17 avril passé. Mais la plus grande réussite de la CNLTD demeure, incontestablement, l'organisation de la conférence de Zeralda, le 10 juin dernier. Un pari réussi, ont estimé à l'unisson tous les observateurs. Ce d'autant que toutes les franges de l'opposition ont assisté à ce rendez-vous unique dans les annales politiques. En plus la conférence pour la transition démocratique, dont l'écrasante majorité des participants, qu'ils soient des partis politiques ou des personnalités, a boycotté les consultations sur le projet de révision constitutionnelle, a élaboré une plateforme de revendications en 11 points qu'elle a adressé d'ailleurs au pouvoir. Ce dernier a, comme attendu, rejeté la plateforme. Comme il a mal apprécié le boycott par la CNLTD des consultations sur la révision de la Constitution.