La rentrée scolaire préoccupe au plus haut point la ministre de l'Education nationale, Nouria Benghebrit. Cela semble logique puisque ce sera la première rentrée scolaire de cette nouvelle ministre qui a été nommée à ce poste, pour rappel, juste au lendemain de l'élection présidentielle du 17 avril dernier lorsque le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a formé un nouveau gouvernement. La rentrée scolaire préoccupe au plus haut point la ministre de l'Education nationale, Nouria Benghebrit. Cela semble logique puisque ce sera la première rentrée scolaire de cette nouvelle ministre qui a été nommée à ce poste, pour rappel, juste au lendemain de l'élection présidentielle du 17 avril dernier lorsque le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a formé un nouveau gouvernement. Ce sera en quelque sorte son baptême du feu, elle qui a déjà réussi sans anicroches son premier test, l'examen du baccalauréat en l'occurrence. C'est sans doute pourquoi elle a entrepris, dès jeudi dernier, une série de rencontres avec les syndicats du secteur dans le but de garantir une rentrée scolaire sans perturbations. Nouria Benghebrit a d'ores et déjà rencontré trois syndicats. Il s'agit en effet du Syndicat national des professeurs de l'enseignement secondaire et technique (Snapest), du Syndicat national des travailleurs de l'éducation (SNTE) et du Syndicat des corps communs de l'éducation. Hier lundi la ministre devait rencontrer le Syndicat des travailleurs de l'éducation et de la formation (Satef). Des rencontres qui devraient en principe aboutir à la satisfaction des revendications récurrentes des syndicats et, ainsi, éviter une rentrée scolaire sous tension. Les syndicats ont, il est vrai, remis sur la table leurs veilles revendications menaçant même d'initier des actions de protestations au cas ou leurs doléances ne seront pas satisfaites. C'est dire que la ministre de l'Education a engagé une véritable course contre la montre dans l'espoir d'éviter autant que faire se peut une rentrée explosive. Il ne sera pas aisé pour celle qui a succédé à Abdelatif Baba Ahmed de répondre favorablement aux revendications des syndicats tant il est vrai qu'en grande partie cela dépasse et de loin ses compétences. Car de nombreuses demandes avancées par les syndicats sont plutôt du ressort du gouvernement. D'ailleurs au sortir de son entrevue avec la ministre, jeudi dernier, le coordinateur national du Snapest, Meziane Meriane s'est montré sceptique. Le premier responsable du SNTE en a presque fait de même, samedi passé et a indiqué que c'est au Conseil national de son organisation de déterminer la position du syndicat. La ministre a certes était attentive aux revendications, mais, selon les syndicalistes, elle n'a présenté aucun engagement. Elle s'est juste contentée de leur dire qu'ils auront une réponse à la fin du mois en cours. Selon certaines sources, Nouria Benghebrit compte se référer au Premier ministre, Abdelmalek Sellal. Les revendications des syndicats portent sur de nombreux dossiers. La révision du statut particulier est la principale revendication de tous les syndicats du secteur. Le reclassement des enseignants est une autre question épineuse qui nécessite des solutions . Il y a aussi les dossiers des enseignants du pays qui revendiquent des indemnités de zone ainsi que le logement. Les questions de la médecine du travail et des oeuvres sociales occupent aussi une bonne place dans les revendications des syndicats. Ces derniers ont, pour rappel, initié de nombreuses actions de protestations l'année passée, dont la plus importante a été sans conteste la grève du mois de février. Ce sera en quelque sorte son baptême du feu, elle qui a déjà réussi sans anicroches son premier test, l'examen du baccalauréat en l'occurrence. C'est sans doute pourquoi elle a entrepris, dès jeudi dernier, une série de rencontres avec les syndicats du secteur dans le but de garantir une rentrée scolaire sans perturbations. Nouria Benghebrit a d'ores et déjà rencontré trois syndicats. Il s'agit en effet du Syndicat national des professeurs de l'enseignement secondaire et technique (Snapest), du Syndicat national des travailleurs de l'éducation (SNTE) et du Syndicat des corps communs de l'éducation. Hier lundi la ministre devait rencontrer le Syndicat des travailleurs de l'éducation et de la formation (Satef). Des rencontres qui devraient en principe aboutir à la satisfaction des revendications récurrentes des syndicats et, ainsi, éviter une rentrée scolaire sous tension. Les syndicats ont, il est vrai, remis sur la table leurs veilles revendications menaçant même d'initier des actions de protestations au cas ou leurs doléances ne seront pas satisfaites. C'est dire que la ministre de l'Education a engagé une véritable course contre la montre dans l'espoir d'éviter autant que faire se peut une rentrée explosive. Il ne sera pas aisé pour celle qui a succédé à Abdelatif Baba Ahmed de répondre favorablement aux revendications des syndicats tant il est vrai qu'en grande partie cela dépasse et de loin ses compétences. Car de nombreuses demandes avancées par les syndicats sont plutôt du ressort du gouvernement. D'ailleurs au sortir de son entrevue avec la ministre, jeudi dernier, le coordinateur national du Snapest, Meziane Meriane s'est montré sceptique. Le premier responsable du SNTE en a presque fait de même, samedi passé et a indiqué que c'est au Conseil national de son organisation de déterminer la position du syndicat. La ministre a certes était attentive aux revendications, mais, selon les syndicalistes, elle n'a présenté aucun engagement. Elle s'est juste contentée de leur dire qu'ils auront une réponse à la fin du mois en cours. Selon certaines sources, Nouria Benghebrit compte se référer au Premier ministre, Abdelmalek Sellal. Les revendications des syndicats portent sur de nombreux dossiers. La révision du statut particulier est la principale revendication de tous les syndicats du secteur. Le reclassement des enseignants est une autre question épineuse qui nécessite des solutions . Il y a aussi les dossiers des enseignants du pays qui revendiquent des indemnités de zone ainsi que le logement. Les questions de la médecine du travail et des oeuvres sociales occupent aussi une bonne place dans les revendications des syndicats. Ces derniers ont, pour rappel, initié de nombreuses actions de protestations l'année passée, dont la plus importante a été sans conteste la grève du mois de février.