Si le ministre syrien des Affaires étrangères s'est dit ouvert à une coopération avec le Royaume-Uni et les Etats- Unis, il a insisté sur le fait que toute frappe dans son pays devrait avoir lieu avec la coopération de la Syrie. Si le ministre syrien des Affaires étrangères s'est dit ouvert à une coopération avec le Royaume-Uni et les Etats- Unis, il a insisté sur le fait que toute frappe dans son pays devrait avoir lieu avec la coopération de la Syrie. Damas est prêt à coopérer avec la communauté internationale, y compris les Etats-Unis et le Royaume-Uni, pour lutter contre les djihadistes. C'est ce qu'ont annoncé les autorités syriennes ce lundi 25 août, précisant toutefois que toute frappe dans leur pays devrait avoir lieu avec leur coopération. "La Syrie est prête à une coopération et à une coordination sur le plan régional, international et bilatéral pour lutter contre le terrorisme dans le cadre de la résolution 2170 du Conseil de sécurité de l'Onu", a déclaré le ministre syrien des Affaires étrangères, Walid Mouallem. Le Conseil de sécurité de l'Onu a adopté le 15 août à l'unanimité cette résolution afin d'empêcher le recrutement et le financement des djihadistes en Syrie et en Irak. Cependant, pour l'instant, le texte n'autorise que des sanctions (embargo sur les armes, gels d'avoirs interdiction de voyager...) et pas d'opérations militaires. Vendredi 22 août, la Maison Blanche déclarait que les frappes aériennes en Syrie pourraient être nécessaires. Ce lundi 25 août, Walid Mouallem a souligné que toute frappe américaine contre les djihadistes sur le territoire syrien devait être coordonnée avec Damas. Dans le cas contraire, il s'agirait d'une agression contre la Syrie. Damas est prêt à coopérer avec la communauté internationale, y compris les Etats-Unis et le Royaume-Uni, pour lutter contre les djihadistes. C'est ce qu'ont annoncé les autorités syriennes ce lundi 25 août, précisant toutefois que toute frappe dans leur pays devrait avoir lieu avec leur coopération. "La Syrie est prête à une coopération et à une coordination sur le plan régional, international et bilatéral pour lutter contre le terrorisme dans le cadre de la résolution 2170 du Conseil de sécurité de l'Onu", a déclaré le ministre syrien des Affaires étrangères, Walid Mouallem. Le Conseil de sécurité de l'Onu a adopté le 15 août à l'unanimité cette résolution afin d'empêcher le recrutement et le financement des djihadistes en Syrie et en Irak. Cependant, pour l'instant, le texte n'autorise que des sanctions (embargo sur les armes, gels d'avoirs interdiction de voyager...) et pas d'opérations militaires. Vendredi 22 août, la Maison Blanche déclarait que les frappes aériennes en Syrie pourraient être nécessaires. Ce lundi 25 août, Walid Mouallem a souligné que toute frappe américaine contre les djihadistes sur le territoire syrien devait être coordonnée avec Damas. Dans le cas contraire, il s'agirait d'une agression contre la Syrie.