L' article 87 bis de la loi 90-11 des relations du travail est supprimé au grand bonheur des salariés. L'Etat peut trouver une compensation financière après des années de disette chez les smicards et les petits salariés. L' article 87 bis de la loi 90-11 des relations du travail est supprimé au grand bonheur des salariés. L'Etat peut trouver une compensation financière après des années de disette chez les smicards et les petits salariés. Ce qui était un simple voeu a été exaucé. L'article 87 bis est définitivement abrogé à la faveur d'un Conseil de ministre qui a approuvé à l'unanimité l'abrogation de cette mesure qui soulage enfin les salariés, particulièrement les petites catégories. Ce sont surtout les syndicats quelles que soient leurs positions dans cette histoire qui gagnent une manche après des années de protestations et de dénonciations d'un article qui n'est plus dans son contexte. En revanche, l'Etat qui assure, comme cela été dit dans une précédente édition, la majorité des coûts dont une estimation première serait de l'ordre de 500 milliards DA, est prête à assumer le déficit qui en résulterait. Les travailleurs pourront être réévalués en fonction de nouveaux critères salariaux. Il s'agit en fait d'inscrire le salaire de base à part sans compter les primes et les indemnités qui seront versées en fonction de la situation de chaque secteur économique. Ace niveau, le combat de l'UGTA et des autres syndicats a eu l'effet voulu après les pressions excercées pour améliorer, un tant soi peu, la situation des salariés. Ce qui était une hérésie jusque-là, c'est que le salaire minimum comprenait les primes avec 18.000 DA. S'il y a augmentation, le salaire avec ces charges sont englobés sans qu'il y ait besoin de les séparer. Bien entendu, les différentes tripartites ont conclu de mettre à l'écart les salaires et les indemnités versées sous forme de primes. Les spécialistes du monde du travail considèrent que deux critères doivent être pris en considération. D'une part, le parcours professionnel du travailleur et d'autre part l'appréciation de la cotisation. Ce qui n'était pas le cas auparavant. Le groupe du travail, issu de la dernière tripartite de 2013, avait émis les mêmes recommandations que celles émanant de la centrale syndicale. A savoir la nécessité d'évaluer « le SNMG dans sa période active et sa pension une fois validée les années de travail dans la période de la retraite ». Comme deuxième recommandationn qui sera prise en compte par le gouvernement, c'est celle « d'évaluer exactement les taux d'augmentation au cas le minimum salarial serait réévalué ». Une nouveauté qui consiste à aligner les salaires algériens aux standards internationaux. Une vraie bataille va dès lors commencer avec comme première épreuve, la révision des points indiciaires pour le calcul de salaires. Le deuxième défi est celui de la compensation financière des indemnités et primes dont une partie sera assumée par les entreprises à taux réduit. On attendra du coup les autres détails techniques sur cette mesure et le décret qui en fixera les modalités. Ce qui était un simple voeu a été exaucé. L'article 87 bis est définitivement abrogé à la faveur d'un Conseil de ministre qui a approuvé à l'unanimité l'abrogation de cette mesure qui soulage enfin les salariés, particulièrement les petites catégories. Ce sont surtout les syndicats quelles que soient leurs positions dans cette histoire qui gagnent une manche après des années de protestations et de dénonciations d'un article qui n'est plus dans son contexte. En revanche, l'Etat qui assure, comme cela été dit dans une précédente édition, la majorité des coûts dont une estimation première serait de l'ordre de 500 milliards DA, est prête à assumer le déficit qui en résulterait. Les travailleurs pourront être réévalués en fonction de nouveaux critères salariaux. Il s'agit en fait d'inscrire le salaire de base à part sans compter les primes et les indemnités qui seront versées en fonction de la situation de chaque secteur économique. Ace niveau, le combat de l'UGTA et des autres syndicats a eu l'effet voulu après les pressions excercées pour améliorer, un tant soi peu, la situation des salariés. Ce qui était une hérésie jusque-là, c'est que le salaire minimum comprenait les primes avec 18.000 DA. S'il y a augmentation, le salaire avec ces charges sont englobés sans qu'il y ait besoin de les séparer. Bien entendu, les différentes tripartites ont conclu de mettre à l'écart les salaires et les indemnités versées sous forme de primes. Les spécialistes du monde du travail considèrent que deux critères doivent être pris en considération. D'une part, le parcours professionnel du travailleur et d'autre part l'appréciation de la cotisation. Ce qui n'était pas le cas auparavant. Le groupe du travail, issu de la dernière tripartite de 2013, avait émis les mêmes recommandations que celles émanant de la centrale syndicale. A savoir la nécessité d'évaluer « le SNMG dans sa période active et sa pension une fois validée les années de travail dans la période de la retraite ». Comme deuxième recommandationn qui sera prise en compte par le gouvernement, c'est celle « d'évaluer exactement les taux d'augmentation au cas le minimum salarial serait réévalué ». Une nouveauté qui consiste à aligner les salaires algériens aux standards internationaux. Une vraie bataille va dès lors commencer avec comme première épreuve, la révision des points indiciaires pour le calcul de salaires. Le deuxième défi est celui de la compensation financière des indemnités et primes dont une partie sera assumée par les entreprises à taux réduit. On attendra du coup les autres détails techniques sur cette mesure et le décret qui en fixera les modalités.