Considéré comme un rendez-vous incontournable des cinéphiles, ces rencontres ont failli passer à côté à cause d'un litige. Enfin la sagesse a eu gain de cause ! Considéré comme un rendez-vous incontournable des cinéphiles, ces rencontres ont failli passer à côté à cause d'un litige. Enfin la sagesse a eu gain de cause ! C'est dimanche dernier à la Cinémathèque de Béjaïa que le coup d'envoi des 12es rencontre cinématographiques de Béjaïa, qu'organise "Project'Heurts", a été donné en présence des professionnels et d'un public venu nombreux. Considéré comme un rendezvous incontournable des cinéphiles, ces rencontres ont failli passer à côté à cause d'un litige entre la tutelle et ladite association. Enfin la sagesse a eu gain de cause ! Car ce rendez-vous cinématographique a réussi au fil des années à s'imposer comme une véritable vitrine du 7e art algérien et étranger et cela en ouvrant le débat et en favorisant les échanges entre les professionnels et amateurs. Portée sur le court métrage et le documentaire, cette édition compte cinq longs métrages de fiction dont El Wahrani de Lyes Salem, Loubia Hamra de Narimane Mari, C'est dans la boîte de Djamel Beloucif, "Je ne suis pas mort" du Tunisien Mehdi Ben Attia et Poussière d'empire du vietnamien Lam Lé, proposés au public de la cinémathèque de Béjaïa. Deux séances seront réservées aux courts-métrages avec la projection des dernières oeuvres algériennes dont Passage à niveau de Anis Djaâd, Iminig de Menad Embarek et Les jours d'avant de Karim Moussaoui plusieurs fois primé. Combodia 2099 du cinéaste franco-cambodgien Davy Chou, Précipices de la Tunisienne Nadia Touijer seront également projetés au public. La catégorie documentaire, la plus étoffée de ces rencontres avec 18 oeuvres au programme, verra la projection de films comme Ramallah de la réalisatrice française Flavie Pintel, Mohamed sauvé des eaux de la Libanaise Safaa Fathy, ainsi que les documentaires algériens El oued el oued (Abdennour Zahzah) et H'na Berra (Bahia Bencheikh El Fegoun et Meriem Achour). Les organisateurs ont également prévu des débats après chaque projection ainsi qu'un Café-ciné pour permettre aux cinéphiles de Béjaïa de rencontrer les réalisateurs participants. Comme chaque année, les Rencontres cinématographiques de Béjaia organisent un atelier d'écriture de scénario de court métrage qui "s'ouvrira cette année sur les jeunes cinéastes maghrébins", selon les organisateurs. Créé en 2003 par l'association "Project' Heurts", cet événement a pour objectif d'offrir à la ville un rendezvous cinématographique annuel ainsi qu'un espace de débat autour du cinéma. En dehors des Rencontres, l'association organise également un ciné-club régulier impliquant un grand nombre de lycéens, ainsi que des ateliers d'"éducation à l'image" pour apprendre à des collégiens à faire des films avec des téléphones portables. C'est dimanche dernier à la Cinémathèque de Béjaïa que le coup d'envoi des 12es rencontre cinématographiques de Béjaïa, qu'organise "Project'Heurts", a été donné en présence des professionnels et d'un public venu nombreux. Considéré comme un rendezvous incontournable des cinéphiles, ces rencontres ont failli passer à côté à cause d'un litige entre la tutelle et ladite association. Enfin la sagesse a eu gain de cause ! Car ce rendez-vous cinématographique a réussi au fil des années à s'imposer comme une véritable vitrine du 7e art algérien et étranger et cela en ouvrant le débat et en favorisant les échanges entre les professionnels et amateurs. Portée sur le court métrage et le documentaire, cette édition compte cinq longs métrages de fiction dont El Wahrani de Lyes Salem, Loubia Hamra de Narimane Mari, C'est dans la boîte de Djamel Beloucif, "Je ne suis pas mort" du Tunisien Mehdi Ben Attia et Poussière d'empire du vietnamien Lam Lé, proposés au public de la cinémathèque de Béjaïa. Deux séances seront réservées aux courts-métrages avec la projection des dernières oeuvres algériennes dont Passage à niveau de Anis Djaâd, Iminig de Menad Embarek et Les jours d'avant de Karim Moussaoui plusieurs fois primé. Combodia 2099 du cinéaste franco-cambodgien Davy Chou, Précipices de la Tunisienne Nadia Touijer seront également projetés au public. La catégorie documentaire, la plus étoffée de ces rencontres avec 18 oeuvres au programme, verra la projection de films comme Ramallah de la réalisatrice française Flavie Pintel, Mohamed sauvé des eaux de la Libanaise Safaa Fathy, ainsi que les documentaires algériens El oued el oued (Abdennour Zahzah) et H'na Berra (Bahia Bencheikh El Fegoun et Meriem Achour). Les organisateurs ont également prévu des débats après chaque projection ainsi qu'un Café-ciné pour permettre aux cinéphiles de Béjaïa de rencontrer les réalisateurs participants. Comme chaque année, les Rencontres cinématographiques de Béjaia organisent un atelier d'écriture de scénario de court métrage qui "s'ouvrira cette année sur les jeunes cinéastes maghrébins", selon les organisateurs. Créé en 2003 par l'association "Project' Heurts", cet événement a pour objectif d'offrir à la ville un rendezvous cinématographique annuel ainsi qu'un espace de débat autour du cinéma. En dehors des Rencontres, l'association organise également un ciné-club régulier impliquant un grand nombre de lycéens, ainsi que des ateliers d'"éducation à l'image" pour apprendre à des collégiens à faire des films avec des téléphones portables.