Ebola, un mot maudit qui sème la terreur dans le monde. La fièvre ébola agite le monde. Une grande fièvre, c'est le cas de le dire, atteint les pays touchés et déborde sur le vieux continent. Ebola, un mot maudit qui sème la terreur dans le monde. La fièvre ébola agite le monde. Une grande fièvre, c'est le cas de le dire, atteint les pays touchés et déborde sur le vieux continent. L'Algérie est-elle prête à une possible arrivée de cette maladie ? Est-elle prête pour la combattre ? Le gouvernement rassure ! Le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Abdelmalek Boudiaf, assure et rassure. Il a affirmé que ses services étaient "entièrement prêts" à prendre en charge tout cas suspect de maladie infectieuse identifié, grâce à l'activation du dispositif d'alerte mis en place. Il répondait à une question orale d'un membre du Conseil de la Nation sur les mesures prises par le ministère de la Santé pour faire face aux épidémies apparues dans certains pays (Ebola, Corona). C'était la semaine dernière. Depuis, aucune information pour alerter les Algériens sur cette terrible maladie qui tend à voyager à travers le monde. Toujours est-il qu'au cours de cette séance orale du Sénat, Abdelmalek Boudiaf a rappelé que son département "a déjà eu, à parer la propagation de certaines maladies à virus grâce à l'activation du dispositif d'alerte mis en place en 2006". Est-ce suffisant ? Les Algériens en doutent sérieusement. Les USA et l'Espagne, mieux outillés et mieux équipés en moyens matériels médicaux et de prévention n'ont pas pu éviter que la maladie apparaisse sur leur territoire. Les USA ont enregistré un cas mortel et en Espagne, une infirmière lutte contre la mort, la première malade infectée par le virus Ebola hors d'Afrique. Pour l'heure, le ministre de la Santé a assuré qu'aucun cas de contamination par le virus Ebola n'a été enregistré en Algérie. Il assure aussi que le dispositif d'alerte a été renforcé au niveau des ports, des aéroports et des frontières. "Des unités médicales ont été installées au niveau des aéroports", a-t-il affirmé. Dans le monde, la panique gagne les esprits alors que l'épidémie se propage. Les gouvernements prennent très au sérieux les risquent d'apparition de la maladie sur leurs territoires. En Espagne, un comité interministériel (Santé, Intérieur, Défense, Fonction publique) a été placé sous l'autorité de la numéro 2 de l'exécutif, pour parer à toute éventualité. Le Royaume- Uni, selon les médias, se prépare à une possible arrivée d'Ebola. Un exercice de grande ampleur, impliquant des centaines de personnes, y compris des ministres, est prévu aujourd'hui outre-Manche, pour tester la capacité du pays à faire face à l'apparition du virus sur son territoire. D'après un porte-parole du ministère de la Santé britannique, il est "vital de tester ces plans dans la situation la plus réaliste possible". Il n'est que jusqu'à l'Organisation des Nations unies de s'alarmer sur l'ampleur de cette épidémie. L'instance onusienne a lancé un appel pour lever des fonds de près d'un milliard de dollars pour lutter contre l'épidémie. Il n'est financé, pour l'instant, qu'à 25 %, a indiqué vendredi le secrétaire général adjoint des Nations unies, Jan Eliasson, rappelant que "le temps presse, nous avons besoin de beaucoup plus de fonds". Se voulant rassurant, il assure que "Ebola peut être vaincu si nous travaillons tous ensemble dans la solidarité". En France, le sentiment de crainte gagne les Français. Selon un sondage Ifop, 55 % des personnes interrogées se disent inquiètes pour elles et pour leur famille. D'ailleurs un numéro vert est mis en place par le ministère de la Santé pour toute informations sur ce virus. Il est aussi vivement déconseillé les voyages dans les zones à risques. L'épidémie continue de se propager dans les trois pays les plus touchés (Sierra Leone, Liberia, Guinée) et risque de se répandre dans les pays limitrophes. Selon l'Organisation mondiale de la santé, le cap des 4.000 morts a été franchi, avec 4.033 décès, selon un dernier bilan publié, vendredi 10 octobre. D'après ce bilan, arrêté au 8 octobre, il y a eu au total 8.399 cas enregistrés dans 7 pays. Le Liberia compte 2.316 décès, la Sierra Leone 930, la Guinée 778, le Nigeria 8 et les Etats-Unis1 seul cas pour l'instant. L'Algérie est-elle prête à une possible arrivée de cette maladie ? Est-elle prête pour la combattre ? Le gouvernement rassure ! Le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Abdelmalek Boudiaf, assure et rassure. Il a affirmé que ses services étaient "entièrement prêts" à prendre en charge tout cas suspect de maladie infectieuse identifié, grâce à l'activation du dispositif d'alerte mis en place. Il répondait à une question orale d'un membre du Conseil de la Nation sur les mesures prises par le ministère de la Santé pour faire face aux épidémies apparues dans certains pays (Ebola, Corona). C'était la semaine dernière. Depuis, aucune information pour alerter les Algériens sur cette terrible maladie qui tend à voyager à travers le monde. Toujours est-il qu'au cours de cette séance orale du Sénat, Abdelmalek Boudiaf a rappelé que son département "a déjà eu, à parer la propagation de certaines maladies à virus grâce à l'activation du dispositif d'alerte mis en place en 2006". Est-ce suffisant ? Les Algériens en doutent sérieusement. Les USA et l'Espagne, mieux outillés et mieux équipés en moyens matériels médicaux et de prévention n'ont pas pu éviter que la maladie apparaisse sur leur territoire. Les USA ont enregistré un cas mortel et en Espagne, une infirmière lutte contre la mort, la première malade infectée par le virus Ebola hors d'Afrique. Pour l'heure, le ministre de la Santé a assuré qu'aucun cas de contamination par le virus Ebola n'a été enregistré en Algérie. Il assure aussi que le dispositif d'alerte a été renforcé au niveau des ports, des aéroports et des frontières. "Des unités médicales ont été installées au niveau des aéroports", a-t-il affirmé. Dans le monde, la panique gagne les esprits alors que l'épidémie se propage. Les gouvernements prennent très au sérieux les risquent d'apparition de la maladie sur leurs territoires. En Espagne, un comité interministériel (Santé, Intérieur, Défense, Fonction publique) a été placé sous l'autorité de la numéro 2 de l'exécutif, pour parer à toute éventualité. Le Royaume- Uni, selon les médias, se prépare à une possible arrivée d'Ebola. Un exercice de grande ampleur, impliquant des centaines de personnes, y compris des ministres, est prévu aujourd'hui outre-Manche, pour tester la capacité du pays à faire face à l'apparition du virus sur son territoire. D'après un porte-parole du ministère de la Santé britannique, il est "vital de tester ces plans dans la situation la plus réaliste possible". Il n'est que jusqu'à l'Organisation des Nations unies de s'alarmer sur l'ampleur de cette épidémie. L'instance onusienne a lancé un appel pour lever des fonds de près d'un milliard de dollars pour lutter contre l'épidémie. Il n'est financé, pour l'instant, qu'à 25 %, a indiqué vendredi le secrétaire général adjoint des Nations unies, Jan Eliasson, rappelant que "le temps presse, nous avons besoin de beaucoup plus de fonds". Se voulant rassurant, il assure que "Ebola peut être vaincu si nous travaillons tous ensemble dans la solidarité". En France, le sentiment de crainte gagne les Français. Selon un sondage Ifop, 55 % des personnes interrogées se disent inquiètes pour elles et pour leur famille. D'ailleurs un numéro vert est mis en place par le ministère de la Santé pour toute informations sur ce virus. Il est aussi vivement déconseillé les voyages dans les zones à risques. L'épidémie continue de se propager dans les trois pays les plus touchés (Sierra Leone, Liberia, Guinée) et risque de se répandre dans les pays limitrophes. Selon l'Organisation mondiale de la santé, le cap des 4.000 morts a été franchi, avec 4.033 décès, selon un dernier bilan publié, vendredi 10 octobre. D'après ce bilan, arrêté au 8 octobre, il y a eu au total 8.399 cas enregistrés dans 7 pays. Le Liberia compte 2.316 décès, la Sierra Leone 930, la Guinée 778, le Nigeria 8 et les Etats-Unis1 seul cas pour l'instant.