Les travaux de réalisation du complexe de transformation du phosphate, dans la commune d'Oued Keberit à Souk Ahras) seront entamés "avant fin 2015", a indiqué le directeur du développement industriel et de la promotion de l'investissement, Kamel Kafi. Les travaux de réalisation du complexe de transformation du phosphate, dans la commune d'Oued Keberit à Souk Ahras) seront entamés "avant fin 2015", a indiqué le directeur du développement industriel et de la promotion de l'investissement, Kamel Kafi. Cet ambitieux projet de l'entreprise Ferphos Annaba, prévu sur un terrain de 600 hectares, générera, à terme, quelque 1.300 emplois permanents et plus de 5.000 autres postes temporaires durant la phase de réalisation. Devant être opérationnel en 2018, le complexe comprendra trois unités pour la production d'acide sulfurique, d'acide phosphorique et d'ammoniaque. D'un impact socio-économique "très important" pour la région, le complexe de transformation du phosphate renforcera la production nationale de dérivés de phosphate, contribuera au développement de l'offre nationale en engrais à usage agricole et permettra de stabiliser les prix. Le site du projet offre de multiples avantages, dont la proximité de la voie ferrée et des mines de phosphates de djebel Onk. En juin 2011, le ministre de l'Energie avait insisté, lors d'une inspection du site de ce projet, avait insisté sur la fourniture, à ce futur complexe, des 40 millions de m3 d'eau dont il aura besoin annuellement, ainsi que sur la réalisation d'une étude destinée à mesurer l'impact du complexe sur l'environnement. L'Algérie, un des plus importants pays producteurs d'engrais dans le bassin méditerranéen, aspire à devenir un pôle mondial d'exportation de fertilisants, notamment après la levée, en 2012, par l'Union européenne, de la taxe antidumping sur les produits de l'entreprise Fertial, créée dans le cadre d'un partenariat entre le groupe algérien Asmidal et le holding espagnol Villar Mir. Cet ambitieux projet de l'entreprise Ferphos Annaba, prévu sur un terrain de 600 hectares, générera, à terme, quelque 1.300 emplois permanents et plus de 5.000 autres postes temporaires durant la phase de réalisation. Devant être opérationnel en 2018, le complexe comprendra trois unités pour la production d'acide sulfurique, d'acide phosphorique et d'ammoniaque. D'un impact socio-économique "très important" pour la région, le complexe de transformation du phosphate renforcera la production nationale de dérivés de phosphate, contribuera au développement de l'offre nationale en engrais à usage agricole et permettra de stabiliser les prix. Le site du projet offre de multiples avantages, dont la proximité de la voie ferrée et des mines de phosphates de djebel Onk. En juin 2011, le ministre de l'Energie avait insisté, lors d'une inspection du site de ce projet, avait insisté sur la fourniture, à ce futur complexe, des 40 millions de m3 d'eau dont il aura besoin annuellement, ainsi que sur la réalisation d'une étude destinée à mesurer l'impact du complexe sur l'environnement. L'Algérie, un des plus importants pays producteurs d'engrais dans le bassin méditerranéen, aspire à devenir un pôle mondial d'exportation de fertilisants, notamment après la levée, en 2012, par l'Union européenne, de la taxe antidumping sur les produits de l'entreprise Fertial, créée dans le cadre d'un partenariat entre le groupe algérien Asmidal et le holding espagnol Villar Mir.