Le chantier des grands transferts d'eau du barrage de Tilesdit vers les communes, situées à l'est de Bouira, est à l'arrêt depuis quatre jours, suite à une grève des travailleurs de l'entreprise Amenhyd, a-t-on constaté. Le chantier des grands transferts d'eau du barrage de Tilesdit vers les communes, situées à l'est de Bouira, est à l'arrêt depuis quatre jours, suite à une grève des travailleurs de l'entreprise Amenhyd, a-t-on constaté. Près de trois cents travailleurs de l'entreprise sont en grève illimitée pour dénoncer notamment des "décisions de licenciement sans préavis" de personnel, prises par l'administration. Des protestataires ont indiqué à l'APS que plusieurs de leurs collègues, qui travaillent depuis plusieurs mois, ont été remerciés depuis août dernier "sans aucun préavis", alors que d'autres ont refusé de signer la fin de leur contrat."Nous sommes en grève, depuis dimanche et nous sommes déterminés à arracher nos droits financiers dont les primes de rendement", a confié également Hakim, un des travailleurs du chantier. Les grévistes dénoncent, par ailleurs, le fait que l'entreprise procède au remplacement des employés licenciés par d'autres qui travaillent sur d'autres sites. Un responsables de l'entreprise, Mohamed Hili, a souligné, pour sa part, à l'APS, que la grève lancée par les travailleurs est "illégale" car leurs revendications "ne sont pas contenues dans leurs contrat de travail", a-t-il précisé, qualifiant leur action "d'abandon de postes." M. Hili a précisé que certains travailleurs "ont été remerciés suite à l'expiration de leurs contrats de travail". Près de trois cents travailleurs de l'entreprise sont en grève illimitée pour dénoncer notamment des "décisions de licenciement sans préavis" de personnel, prises par l'administration. Des protestataires ont indiqué à l'APS que plusieurs de leurs collègues, qui travaillent depuis plusieurs mois, ont été remerciés depuis août dernier "sans aucun préavis", alors que d'autres ont refusé de signer la fin de leur contrat."Nous sommes en grève, depuis dimanche et nous sommes déterminés à arracher nos droits financiers dont les primes de rendement", a confié également Hakim, un des travailleurs du chantier. Les grévistes dénoncent, par ailleurs, le fait que l'entreprise procède au remplacement des employés licenciés par d'autres qui travaillent sur d'autres sites. Un responsables de l'entreprise, Mohamed Hili, a souligné, pour sa part, à l'APS, que la grève lancée par les travailleurs est "illégale" car leurs revendications "ne sont pas contenues dans leurs contrat de travail", a-t-il précisé, qualifiant leur action "d'abandon de postes." M. Hili a précisé que certains travailleurs "ont été remerciés suite à l'expiration de leurs contrats de travail".