Le secrétaire général du Front de libération nationale (FLN) a plaidé pour la reconnaissance de la langue amazighe comme langue officielle lors de la prochaine révision constitutionnelle. Le secrétaire général du Front de libération nationale (FLN) a plaidé pour la reconnaissance de la langue amazighe comme langue officielle lors de la prochaine révision constitutionnelle. C'est ce qu'a laissé entendre Saïdani lors de son meeting animé jeudi dernier à la grande salle de spectacle de la maison de la culture Mouloud- Mammeri de Tizi-Ouzou devant une nombreuse foule. La sortie du premier responsable du FLN dans la capitale du Djurdjura a été une réussite, a-t-on constaté. Un accueil triomphal a été réservé par les militants et les sympathisants du FLN à Amar Saïdani. Il n'était d'ailleurs pas facile de se frayer un chemin à l'intérieur de la salle archicomble. Même la conférence de presse qui devait se tenir après la fin du meeting à la salle du petit théâtre de la maison de la culture a du être annulée compte tenue qu'elle était déjà prise d'assaut par des centaines de cadres locaux du FLN. Mais Amar Saïdani a réussi presqu'à tout dire lors de son intervention au niveau de la grande salle. Du moins, concernant les questions de l'heure. Le patron du FLN a réitéré les positions principales de la première force politique en Algérie en rebondissant notamment sur le fait qu'au FLN, "le combat et le militantisme se poursuivront dans le sillage qui permettra d'aboutir à l'érection d'un Etat civil dans notre pays". "Personne ne pourra nous empêcher de travailler pour les intérêts du peuple", a martelé l'hôte de la ville des Genêts. L'orateur a expliqué que seul un consensus national qui réunira l'ensemble des forces politiques qui pèsent sur le terrain sera en mesure de tracer le chemin vers des issues pérennes face à toutes les difficultés auxquelles fait face notre pays. Cette optique constitue, de l'avis du secrétaire général du FLN, "un devoir pour tous les partis politiques algériens". Comme il fallait s'y attendre, Amar Saïdani n'a pas raté cette occasion afin de tirer à boulets rouges sur les partis et les personnalités politiques qui se sont constitués en CNLTD et qui prônent ce qu'ils qualifient de "transition démocratique". L'intervenant a souligné que "les membres de cette CNLTD n'ont de souci et d'intérêt que pour le fauteuil de la présidence". L'invité de Tizi-Ouzou s'est interrogé comment ces partis "ont refusé l'offre du FFS, un parti nationaliste, pour s'empresser à bras ouverts à la rencontre d'une délégation de l'Union européenne ?" "Il n'y aura pas de printemps arabe en Algérie et le peuple ne sortira pas dans la rue", a conclu Amar Saïdani, en rappelant que le tribut payé par l'Algérie durant les années 90 est très lourd. C'est ce qu'a laissé entendre Saïdani lors de son meeting animé jeudi dernier à la grande salle de spectacle de la maison de la culture Mouloud- Mammeri de Tizi-Ouzou devant une nombreuse foule. La sortie du premier responsable du FLN dans la capitale du Djurdjura a été une réussite, a-t-on constaté. Un accueil triomphal a été réservé par les militants et les sympathisants du FLN à Amar Saïdani. Il n'était d'ailleurs pas facile de se frayer un chemin à l'intérieur de la salle archicomble. Même la conférence de presse qui devait se tenir après la fin du meeting à la salle du petit théâtre de la maison de la culture a du être annulée compte tenue qu'elle était déjà prise d'assaut par des centaines de cadres locaux du FLN. Mais Amar Saïdani a réussi presqu'à tout dire lors de son intervention au niveau de la grande salle. Du moins, concernant les questions de l'heure. Le patron du FLN a réitéré les positions principales de la première force politique en Algérie en rebondissant notamment sur le fait qu'au FLN, "le combat et le militantisme se poursuivront dans le sillage qui permettra d'aboutir à l'érection d'un Etat civil dans notre pays". "Personne ne pourra nous empêcher de travailler pour les intérêts du peuple", a martelé l'hôte de la ville des Genêts. L'orateur a expliqué que seul un consensus national qui réunira l'ensemble des forces politiques qui pèsent sur le terrain sera en mesure de tracer le chemin vers des issues pérennes face à toutes les difficultés auxquelles fait face notre pays. Cette optique constitue, de l'avis du secrétaire général du FLN, "un devoir pour tous les partis politiques algériens". Comme il fallait s'y attendre, Amar Saïdani n'a pas raté cette occasion afin de tirer à boulets rouges sur les partis et les personnalités politiques qui se sont constitués en CNLTD et qui prônent ce qu'ils qualifient de "transition démocratique". L'intervenant a souligné que "les membres de cette CNLTD n'ont de souci et d'intérêt que pour le fauteuil de la présidence". L'invité de Tizi-Ouzou s'est interrogé comment ces partis "ont refusé l'offre du FFS, un parti nationaliste, pour s'empresser à bras ouverts à la rencontre d'une délégation de l'Union européenne ?" "Il n'y aura pas de printemps arabe en Algérie et le peuple ne sortira pas dans la rue", a conclu Amar Saïdani, en rappelant que le tribut payé par l'Algérie durant les années 90 est très lourd.