Le secteur manufacturier a enregistré une progression quasi nulle en décembre dans la zone euro ce qui laisse craindre une croissance au point mort pour le dernier trimestre de l'année 2014. Le secteur manufacturier a enregistré une progression quasi nulle en décembre dans la zone euro ce qui laisse craindre une croissance au point mort pour le dernier trimestre de l'année 2014. L'indice PMI manufacturier de la zone euro, publié vendredi par le cabinet Markit, s'est établi à 50,6 en décembre contre 50,1 le mois précédent. L'activité progresse lorsque l'indice dépasse 50 points, tandis qu'elle se replie s'il est inférieur à ce seuil. "Les signes prometteurs de reprise enregistrés en début d'année se sont dissipés au cours du second semestre", note un économiste. "Compte tenu de la faiblesse de la production manufacturière et de l'atonie du secteur des services", la croissance de la zone euro "ne devrait pas dépasser 0,1% au quatrième trimestre 2014", anticipe-t-il. "La crise en Ukraine et la réapparition d'un certain scepticisme quant à la capacité de la BCE à redynamiser l'économie de la région alimentent le sentiment d'incertitude entourant les perspectives économiques de la zone euro, renforçant ainsi le degré d'aversion au risque des entreprises et les dissuadant de se lancer dans des projets d'expansion", note encore l'analyste. Sur l'ensemble de la zone euro, "on observe au moins une légère amélioration après le plus bas de 16 mois observé en novembre", met en avant un autre analyste L'indice PMI manufacturier de la zone euro, publié vendredi par le cabinet Markit, s'est établi à 50,6 en décembre contre 50,1 le mois précédent. L'activité progresse lorsque l'indice dépasse 50 points, tandis qu'elle se replie s'il est inférieur à ce seuil. "Les signes prometteurs de reprise enregistrés en début d'année se sont dissipés au cours du second semestre", note un économiste. "Compte tenu de la faiblesse de la production manufacturière et de l'atonie du secteur des services", la croissance de la zone euro "ne devrait pas dépasser 0,1% au quatrième trimestre 2014", anticipe-t-il. "La crise en Ukraine et la réapparition d'un certain scepticisme quant à la capacité de la BCE à redynamiser l'économie de la région alimentent le sentiment d'incertitude entourant les perspectives économiques de la zone euro, renforçant ainsi le degré d'aversion au risque des entreprises et les dissuadant de se lancer dans des projets d'expansion", note encore l'analyste. Sur l'ensemble de la zone euro, "on observe au moins une légère amélioration après le plus bas de 16 mois observé en novembre", met en avant un autre analyste