Le kidnapping des personnes ne semble pas connaître de répit en Algérie et les services de sécurité enregistrent régulièrement des affaires de rapt visant notamment les femmes, des cibles apparemment plus faciles aux yeux des malfaiteurs. Le kidnapping des personnes ne semble pas connaître de répit en Algérie et les services de sécurité enregistrent régulièrement des affaires de rapt visant notamment les femmes, des cibles apparemment plus faciles aux yeux des malfaiteurs. D'ailleurs, pas plus qu'avant- hier, les gendarmes de la brigade de Sidi Fredj ont réussi à extirper des griffes d'une bande malfaiteurs, composée de 3 personnes dont un repris de justice, une jeune femme qui se trouvait en compagnie de son fiancé, a-t-on appris par un communiqué de presse du commandement de la Gendarmerie nationale. C'est vers 20h30 que le jeune homme, âgé de 21 ans, s'est présenté à ladite brigade pour déclarer qu'une demiheure auparavant, lui et sa fiancée, âgée de 18 ans, déambulaient surà la plage de Sidi Fredj lorsqu'ils ont été surpris par deux individus qui les ont violemment agressés. Ces derniers les ont d'abord dépossédés, sous la menace de couteaux, d'un téléphone portable, d'une montre, de deux chaînes en or et d'une bague en or pour ensuite enlever la femme et prendre la fuite. Aussitôt l'alerte donnée, les éléments de la Gendarmerie nationale se sont déplacés sur les lieux et ont retrouvé la fille en état de choc, non loin du lieu du méfait. Elle a déclaré que l'un d'eux a tenté de la violer. Les malfrats ont fini par prendre la fuite à la vue d'une patrouille pédestre des gendarmes dans un lieu isolé et obscure sur la plage. Les recherches entreprises par les gendarmes ont abouti à l'interpellation des mis en cause à Sidi Fredj même. Ils ont été identifiés formellement par les victimes et on notera la récupération sur eux de la montre et du téléphone portable volés. Poursuivant leurs investigations, les gendarmes enquêteurs ont interpellé leur acolyte et récupéré suite à une perquisition dans son domicile, situé au centre-ville de Staoueli, les bijoux volés. Présentés devant le procureur de la République près le tribunal de Chéraga, deux des trois mis en cause ont été placés sous mandat de dépôt pour association de malfaiteurs, vol qualifié, enlèvement suivi de viol et recel et le troisième a été placé sous contrôle judiciaire. Il est à rappeler par ailleurs qu'en dépit de ce constat, les faux kidnappings sont toujours de mise dans notre pays. Les statistiques de la Gendarmerie nationale font état en 2014 d'une douzaine d'avis de recherches pour enlèvement de personnes, âgées de moins de 17 ans, parvenus dans tout le territoire national. Mais en réalité, certaines de ces affaires n'avaient rien à voir avec l'enlèvement car les enquêtes entreprises ont permis de découvrir que 4 cas étaient de faux enlèvements alors que 5 autres affaires ont été élucidées et dont les auteurs présumés ont été présentés devant la justice. Finalement, les faux rapts n'étaient que des tentatives de fugue où des scénarios montés de toute pièce pour fuir les pressions de la famille. La Gendarmerie a donné des exemples édifiants, à l'image de l'affaire concernant la disparition à Mila de deux adolescentes âgées de 16 ans, qui ont quitté le domicile familial de leur propre gré pour regagner la ville de Béchar ou du cas d'une fillette de 14 ans qui est allée jusqu'à Oran pour voir son père sans aviser sa maman laquelle a cru à un rapt et a vite alerté la gendarmerie. On citera également deux étudiantes de la wilaya de Tizi-Ouzou qui ont mis en place un plan selon lequel elles auraient été enlevées de force pour justifier leur absence prolongée de la maison et de vaquer tranquillement leurs affaires personnelles. D'ailleurs, pas plus qu'avant- hier, les gendarmes de la brigade de Sidi Fredj ont réussi à extirper des griffes d'une bande malfaiteurs, composée de 3 personnes dont un repris de justice, une jeune femme qui se trouvait en compagnie de son fiancé, a-t-on appris par un communiqué de presse du commandement de la Gendarmerie nationale. C'est vers 20h30 que le jeune homme, âgé de 21 ans, s'est présenté à ladite brigade pour déclarer qu'une demiheure auparavant, lui et sa fiancée, âgée de 18 ans, déambulaient surà la plage de Sidi Fredj lorsqu'ils ont été surpris par deux individus qui les ont violemment agressés. Ces derniers les ont d'abord dépossédés, sous la menace de couteaux, d'un téléphone portable, d'une montre, de deux chaînes en or et d'une bague en or pour ensuite enlever la femme et prendre la fuite. Aussitôt l'alerte donnée, les éléments de la Gendarmerie nationale se sont déplacés sur les lieux et ont retrouvé la fille en état de choc, non loin du lieu du méfait. Elle a déclaré que l'un d'eux a tenté de la violer. Les malfrats ont fini par prendre la fuite à la vue d'une patrouille pédestre des gendarmes dans un lieu isolé et obscure sur la plage. Les recherches entreprises par les gendarmes ont abouti à l'interpellation des mis en cause à Sidi Fredj même. Ils ont été identifiés formellement par les victimes et on notera la récupération sur eux de la montre et du téléphone portable volés. Poursuivant leurs investigations, les gendarmes enquêteurs ont interpellé leur acolyte et récupéré suite à une perquisition dans son domicile, situé au centre-ville de Staoueli, les bijoux volés. Présentés devant le procureur de la République près le tribunal de Chéraga, deux des trois mis en cause ont été placés sous mandat de dépôt pour association de malfaiteurs, vol qualifié, enlèvement suivi de viol et recel et le troisième a été placé sous contrôle judiciaire. Il est à rappeler par ailleurs qu'en dépit de ce constat, les faux kidnappings sont toujours de mise dans notre pays. Les statistiques de la Gendarmerie nationale font état en 2014 d'une douzaine d'avis de recherches pour enlèvement de personnes, âgées de moins de 17 ans, parvenus dans tout le territoire national. Mais en réalité, certaines de ces affaires n'avaient rien à voir avec l'enlèvement car les enquêtes entreprises ont permis de découvrir que 4 cas étaient de faux enlèvements alors que 5 autres affaires ont été élucidées et dont les auteurs présumés ont été présentés devant la justice. Finalement, les faux rapts n'étaient que des tentatives de fugue où des scénarios montés de toute pièce pour fuir les pressions de la famille. La Gendarmerie a donné des exemples édifiants, à l'image de l'affaire concernant la disparition à Mila de deux adolescentes âgées de 16 ans, qui ont quitté le domicile familial de leur propre gré pour regagner la ville de Béchar ou du cas d'une fillette de 14 ans qui est allée jusqu'à Oran pour voir son père sans aviser sa maman laquelle a cru à un rapt et a vite alerté la gendarmerie. On citera également deux étudiantes de la wilaya de Tizi-Ouzou qui ont mis en place un plan selon lequel elles auraient été enlevées de force pour justifier leur absence prolongée de la maison et de vaquer tranquillement leurs affaires personnelles.