Le corps du guide de montagne, Hervé Gourdeln décapité, le 24 septembre dernier par le groupe terroriste dénommé « Jound Al-Khilafa » (« les soldats du califat »), a été retrouvé par les éléments de l'ANP. Le corps du guide de montagne, Hervé Gourdeln décapité, le 24 septembre dernier par le groupe terroriste dénommé « Jound Al-Khilafa » (« les soldats du califat »), a été retrouvé par les éléments de l'ANP. La forte pression exercée par les services de sécurité sur le groupe terroriste dès le premier jour du rapt de Hervé Gourdel a porté ses fruits. De nombreux éléments du groupe armé ont été abattus. Il se trouve ainsi « décapité », mis hors d'état de nuire pour toujours. Le corps du guide de montagne Hervé Gourdel a été retrouvé, jeudi matin, près d'un oued situé au lieu dit Tabounecht Abi Youcef, près d'Iferhounen, Daïra d'Aïn El Hammam ( 55 km au Sud Est de la wilaya de Tizi Ouzou) au deuxième jour des recherches lancées sur la base d'un renseignement obtenu auprès d'un terroriste capturé dans la commune voisine d'Akbil la veille. Après plus de trois mois de recherches et de ratissages, depuis son enlèvement et sa décapitation par un groupe terroriste se réclamant de Daech, l'Armée nationale populaire (ANP), « a retrouvé aujourd'hui 15 janvier 2015 à 10h00 du matin, l'endroit d'enterrement de la dépouille du ressortissant français Hervé Gourdel », est-il indiqué dans un communiqué du ministère de la Défense nationale. Selon certaines sources qui relatent les circonstances de la découverte du corps du ressortissant français, tout a commencé par une opération antiterroriste menée samedi dernier dans les maquis d'Ait Saada relevant de la commune de Yataffène où un groupe armé composé d'au moins deux individus avait été accroché au cours d'une embuscade. Le bilan était d'un terroriste abattu alors que le second, blessé, a réussi à prendre la fuite. La traque du fuyard blessé s'est poursuivie jusqu'à mardi soir quand le terroriste blessé est capturé par les éléments de l'ANP. Selon ces sources, le terroriste capturé qui a vendu la mèche aux services de sécurité est l'un des 5 frères Hamzaoui originaires de Beni Amrane (wilaya de Boumerdès), considérés comme des vétérans des groupes armés terroristes ayant rejoint les maquis depuis 1999. Il est grièvement touché lors de l'embuscade d'Ait Saada. Il s'en sort avec une jambe amputée. Une fois renseigné sur le lieu où le corps du touriste français par le terroriste capturé, les opérations de recherches ont été entamées par les éléments de l'ANP à l'aube de mercredi (hier). Au lever du jour de ce jeudi, les opérations ont repris et se sont étendues à d'autres villages de la commune d'Abi Youssef. Et c'est aux environs de 10 heures du matin que les forces de sécurité ont réussi à localiser le lieu où le corps d'Hervé Gourdel a été enterré. Aux alentours de ce qui a servi de tombe pour la victime, un engin explosif a été découvert avant qu'il ne soit neutralisé par les démineurs de l'Armée nationale populaire. Le corps d'Hervé Gourdel a été retiré d'une profondeur de juste un peu plus d'un mètre en début d'après-midi après l'arrivée sur les lieux des représentants de la justice ainsi que des éléments de l'Institut de criminologie de la gendarmerie de Bouchaoui. Il y a lieu rappeler que dès la décapitation de l'otage français, l'armée avait lancé 3.000 soldats sur les traces du groupe terroriste et effectué un ratissage dans la zone, théâtre de l'assassinat, ainsi que les alentours. Les recherches intensives menées par les services de sécurité pendant plus de trois mois ont permis de retrouver, puis de mettre hors d'état de nuire, trois des terroristes impliqués dans l'assassinat du touriste français qui s'était rendu dans le massif montagneux du Djurdjura pour y effectuer de l'alpinisme. Il s'agit, de Laâredj Ayoub, éliminé le 9 octobre 2014, de Belhout Ahmed, tué le 14 novembre et de Abdelmalek Gouri, abattu le 22 décembre de la même année. A la tête de ce groupe terroriste, Abdelmalek Gouriavait revendiqué être l'auteur du rapt et de la décapitation de Gourdel. Il avait été éliminé dans la région des Issers ( 65 km à l'est d'Alger). Rappelons que Hervé Gourdel avait été enlevé le 21 septembre 2014, de nuit, près du village d'Ait Ouabane dans la Commune d'Akbil, par le groupe dénommé "Jound Al-Khilafa ("les soldats du califat"). Il se trouvait à bord d'une voiture, en compagnie d'amis algériens qui ont été libérés par les ravisseurs. Trois jours plus tard (le 24 septembre), Hervé Gourdel a été décapité sans qu'aucune trace de son corps ne soit retrouvée. Le groupe terroriste en avait revendiqué l'acte en "représailles à l'engagement de la France aux côtés des Etats-Unis dans les frappes" contre le groupe terroriste Etat islamique (EI) en Irak. A la tête de ce groupe terroriste, Abdelmalek Gouri avait revendiqué être l'auteur du rapt et de la décapitation de Gourdel. Il avait été éliminé dans la région des Issers ( 65 km à l'est d'Alger) non loin de l'école supérieure de la Gendarmerie nationale des Issers, l'une des cibles des ses attentats kamikazes perpétrée le 19 août 2008 faisant 43 morts et 38 blessés. Il était l'émir de Jund al- Khalifa, la dissidence d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), qui a fait allégeance à l'organisation Etat islamique, l'été dernier. De son vrai nom Khaled Abou Souleimane, Gouri avait également fait partie d'une katiba d'Aqmi, à l'origine des attentats suicides contre le palais du gouvernement et un bâtiment de l'ONU en 2007 à Alger. La forte pression exercée par les services de sécurité sur le groupe terroriste dès le premier jour du rapt de Hervé Gourdel a porté ses fruits. De nombreux éléments du groupe armé ont été abattus. Il se trouve ainsi « décapité », mis hors d'état de nuire pour toujours. Le corps du guide de montagne Hervé Gourdel a été retrouvé, jeudi matin, près d'un oued situé au lieu dit Tabounecht Abi Youcef, près d'Iferhounen, Daïra d'Aïn El Hammam ( 55 km au Sud Est de la wilaya de Tizi Ouzou) au deuxième jour des recherches lancées sur la base d'un renseignement obtenu auprès d'un terroriste capturé dans la commune voisine d'Akbil la veille. Après plus de trois mois de recherches et de ratissages, depuis son enlèvement et sa décapitation par un groupe terroriste se réclamant de Daech, l'Armée nationale populaire (ANP), « a retrouvé aujourd'hui 15 janvier 2015 à 10h00 du matin, l'endroit d'enterrement de la dépouille du ressortissant français Hervé Gourdel », est-il indiqué dans un communiqué du ministère de la Défense nationale. Selon certaines sources qui relatent les circonstances de la découverte du corps du ressortissant français, tout a commencé par une opération antiterroriste menée samedi dernier dans les maquis d'Ait Saada relevant de la commune de Yataffène où un groupe armé composé d'au moins deux individus avait été accroché au cours d'une embuscade. Le bilan était d'un terroriste abattu alors que le second, blessé, a réussi à prendre la fuite. La traque du fuyard blessé s'est poursuivie jusqu'à mardi soir quand le terroriste blessé est capturé par les éléments de l'ANP. Selon ces sources, le terroriste capturé qui a vendu la mèche aux services de sécurité est l'un des 5 frères Hamzaoui originaires de Beni Amrane (wilaya de Boumerdès), considérés comme des vétérans des groupes armés terroristes ayant rejoint les maquis depuis 1999. Il est grièvement touché lors de l'embuscade d'Ait Saada. Il s'en sort avec une jambe amputée. Une fois renseigné sur le lieu où le corps du touriste français par le terroriste capturé, les opérations de recherches ont été entamées par les éléments de l'ANP à l'aube de mercredi (hier). Au lever du jour de ce jeudi, les opérations ont repris et se sont étendues à d'autres villages de la commune d'Abi Youssef. Et c'est aux environs de 10 heures du matin que les forces de sécurité ont réussi à localiser le lieu où le corps d'Hervé Gourdel a été enterré. Aux alentours de ce qui a servi de tombe pour la victime, un engin explosif a été découvert avant qu'il ne soit neutralisé par les démineurs de l'Armée nationale populaire. Le corps d'Hervé Gourdel a été retiré d'une profondeur de juste un peu plus d'un mètre en début d'après-midi après l'arrivée sur les lieux des représentants de la justice ainsi que des éléments de l'Institut de criminologie de la gendarmerie de Bouchaoui. Il y a lieu rappeler que dès la décapitation de l'otage français, l'armée avait lancé 3.000 soldats sur les traces du groupe terroriste et effectué un ratissage dans la zone, théâtre de l'assassinat, ainsi que les alentours. Les recherches intensives menées par les services de sécurité pendant plus de trois mois ont permis de retrouver, puis de mettre hors d'état de nuire, trois des terroristes impliqués dans l'assassinat du touriste français qui s'était rendu dans le massif montagneux du Djurdjura pour y effectuer de l'alpinisme. Il s'agit, de Laâredj Ayoub, éliminé le 9 octobre 2014, de Belhout Ahmed, tué le 14 novembre et de Abdelmalek Gouri, abattu le 22 décembre de la même année. A la tête de ce groupe terroriste, Abdelmalek Gouriavait revendiqué être l'auteur du rapt et de la décapitation de Gourdel. Il avait été éliminé dans la région des Issers ( 65 km à l'est d'Alger). Rappelons que Hervé Gourdel avait été enlevé le 21 septembre 2014, de nuit, près du village d'Ait Ouabane dans la Commune d'Akbil, par le groupe dénommé "Jound Al-Khilafa ("les soldats du califat"). Il se trouvait à bord d'une voiture, en compagnie d'amis algériens qui ont été libérés par les ravisseurs. Trois jours plus tard (le 24 septembre), Hervé Gourdel a été décapité sans qu'aucune trace de son corps ne soit retrouvée. Le groupe terroriste en avait revendiqué l'acte en "représailles à l'engagement de la France aux côtés des Etats-Unis dans les frappes" contre le groupe terroriste Etat islamique (EI) en Irak. A la tête de ce groupe terroriste, Abdelmalek Gouri avait revendiqué être l'auteur du rapt et de la décapitation de Gourdel. Il avait été éliminé dans la région des Issers ( 65 km à l'est d'Alger) non loin de l'école supérieure de la Gendarmerie nationale des Issers, l'une des cibles des ses attentats kamikazes perpétrée le 19 août 2008 faisant 43 morts et 38 blessés. Il était l'émir de Jund al- Khalifa, la dissidence d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), qui a fait allégeance à l'organisation Etat islamique, l'été dernier. De son vrai nom Khaled Abou Souleimane, Gouri avait également fait partie d'une katiba d'Aqmi, à l'origine des attentats suicides contre le palais du gouvernement et un bâtiment de l'ONU en 2007 à Alger.