Une grève des pilotes au port d'Alger, déclarée hier lundi, a quasiment bloqué l'ensemble des activités portuaires. « Le débrayage est venu en appui à des revendications syndicales », en l'occurence le départ du délégué syndical, a-ton appris auprès de la direction de l'Entreprise portuaire d'Alger (Epal). Une grève des pilotes au port d'Alger, déclarée hier lundi, a quasiment bloqué l'ensemble des activités portuaires. « Le débrayage est venu en appui à des revendications syndicales », en l'occurence le départ du délégué syndical, a-ton appris auprès de la direction de l'Entreprise portuaire d'Alger (Epal). La grève des pilotes chargés du remorquage des navires « bloque les activités de déchargement et de chargement, ainsi que l'entrée au port des navires » a en effet expliqué à l'APS Timizar Abderrahmane, chargé de communication à l'Epal. « Les pilotes de la direction remorquage demandent la destitution de leur délégué syndical », ajoute-t-il, précisant que « cette revendication est du ressort de l'union locale de l'UGTA, et non pas de l'Epal ». A la suite de cette grève, « l'Epal est prise en otage, ses quelque 3.000 travailleurs sont donc à l'arrêt », relève M. Timizar, qui explique ainsi que « le déchargement de 8 navires à quai est bloqué ». M. Timizar explique en outre que ce mouvement de protestation empêche « également 7 navires en rade d'entrer au port ». Pour rappel le trafic de marchandises au port d'Alger a enregistré une hausse de 2.831.788 tonnes au 3e trimestre 2014, avec un chiffre d'affaires (+8 %) de 2,045 milliards de dinars. Le bilan du troisième trimestre 2014 fait également état de l'entrée de 565 navires sur des prévisions de 550 navires, soit un taux de réalisation des objectifs de 98 %. En fin de journée, M. Timizar a annoncé qu'un une action en justice pour « grève illégale » a été engagée par l'Epal contre des capitaines de remorqueurs, qui ont déclenché dans la même journée un débrayage, qui a paralysé les entrées et sorties de navires. L'Epal « a engagé une action en justice pour traduire les grévistes devant le référée d'heure en heure pour mettre fin à la grève », a-t-il indiqué à l'APS. Il rappelle dans ce sillage que « les revendications des grévistes sont du ressort de l'union locale de l'UGTA, et non pas de l'Epal », précise la même source, selon laquelle l'entreprise « est prise en otage » par cette grève. 8 navires sont actuellement à quai au port d'Alger, et 7 utres sont en rade, en attente d'entrer au port. Par ailleurs, une seconde action en justice a été engagée par l'Epal. « Cette action est engagée par devant le tribunal pénal pour grève illégale ayant donné lieu à la prise d'otages de bateaux en entrée et sortie », ajoute le chargé de communication de l'entreprise portuaire d'Alger. La grève des pilotes chargés du remorquage des navires « bloque les activités de déchargement et de chargement, ainsi que l'entrée au port des navires » a en effet expliqué à l'APS Timizar Abderrahmane, chargé de communication à l'Epal. « Les pilotes de la direction remorquage demandent la destitution de leur délégué syndical », ajoute-t-il, précisant que « cette revendication est du ressort de l'union locale de l'UGTA, et non pas de l'Epal ». A la suite de cette grève, « l'Epal est prise en otage, ses quelque 3.000 travailleurs sont donc à l'arrêt », relève M. Timizar, qui explique ainsi que « le déchargement de 8 navires à quai est bloqué ». M. Timizar explique en outre que ce mouvement de protestation empêche « également 7 navires en rade d'entrer au port ». Pour rappel le trafic de marchandises au port d'Alger a enregistré une hausse de 2.831.788 tonnes au 3e trimestre 2014, avec un chiffre d'affaires (+8 %) de 2,045 milliards de dinars. Le bilan du troisième trimestre 2014 fait également état de l'entrée de 565 navires sur des prévisions de 550 navires, soit un taux de réalisation des objectifs de 98 %. En fin de journée, M. Timizar a annoncé qu'un une action en justice pour « grève illégale » a été engagée par l'Epal contre des capitaines de remorqueurs, qui ont déclenché dans la même journée un débrayage, qui a paralysé les entrées et sorties de navires. L'Epal « a engagé une action en justice pour traduire les grévistes devant le référée d'heure en heure pour mettre fin à la grève », a-t-il indiqué à l'APS. Il rappelle dans ce sillage que « les revendications des grévistes sont du ressort de l'union locale de l'UGTA, et non pas de l'Epal », précise la même source, selon laquelle l'entreprise « est prise en otage » par cette grève. 8 navires sont actuellement à quai au port d'Alger, et 7 utres sont en rade, en attente d'entrer au port. Par ailleurs, une seconde action en justice a été engagée par l'Epal. « Cette action est engagée par devant le tribunal pénal pour grève illégale ayant donné lieu à la prise d'otages de bateaux en entrée et sortie », ajoute le chargé de communication de l'entreprise portuaire d'Alger.