L'université de Boumerdès est en ébullition depuis une semaine. Des sit-in et des grèves cycliques suivis par des fermetures de portails des facultés de l'université M'hamed- Bouguerra de Boumerdès (UMBB) sont devenus banales jusqu'à menacer le déroulement normal de l'année universitaire. La faculté des sciences ex-Inim est depuis avant-hier, fermée, par des étudiants de troisième année qui exigent l'accès au master sans conditions. L'université de Boumerdès est en ébullition depuis une semaine. Des sit-in et des grèves cycliques suivis par des fermetures de portails des facultés de l'université M'hamed- Bouguerra de Boumerdès (UMBB) sont devenus banales jusqu'à menacer le déroulement normal de l'année universitaire. La faculté des sciences ex-Inim est depuis avant-hier, fermée, par des étudiants de troisième année qui exigent l'accès au master sans conditions. Une réclamation jugée anormale par l'administration d'autant que l'accès aux études supérieures dans n'importe quel pays est conditionné. Voilà qui renseigne sur la banalisation des études et des mouvements de protestation qui ne profitent à personne. L'action de protestation de ces étudiants a perturbé gravement le déroulement des études et personne n'a pu accéder à l'intérieur de la Fac. La perturbation risque de perturber même le planning des examens qui sont prévus dans quelques semaines. Ce mouvement de protestation sera beaucoup ressenti par les étudiants en langues étrangères, notamment français, qui ont connu un gel des cours durant plusieurs mois avant leur reprise il y a juste quelques jours. Ils risquent une année blanche. D'ailleurs, plusieurs étudiants se sont opposés à la grève. Cette attitude avait déjà créé des confrontations entre pro et anti-grève jusqu'à contraindre les services de sécurité à intervenir. Outre cela, la tension touche d'autres facultés, notamment celle de droit et sciences politiques où les étudiants campent sur leur position en exigeant la baisse de la note d'accès au master. Une réclamation jugée anormale par l'administration d'autant que l'accès aux études supérieures dans n'importe quel pays est conditionné. Voilà qui renseigne sur la banalisation des études et des mouvements de protestation qui ne profitent à personne. L'action de protestation de ces étudiants a perturbé gravement le déroulement des études et personne n'a pu accéder à l'intérieur de la Fac. La perturbation risque de perturber même le planning des examens qui sont prévus dans quelques semaines. Ce mouvement de protestation sera beaucoup ressenti par les étudiants en langues étrangères, notamment français, qui ont connu un gel des cours durant plusieurs mois avant leur reprise il y a juste quelques jours. Ils risquent une année blanche. D'ailleurs, plusieurs étudiants se sont opposés à la grève. Cette attitude avait déjà créé des confrontations entre pro et anti-grève jusqu'à contraindre les services de sécurité à intervenir. Outre cela, la tension touche d'autres facultés, notamment celle de droit et sciences politiques où les étudiants campent sur leur position en exigeant la baisse de la note d'accès au master.