Le président du Conseil de la nation, Abdelkader Bensalah, souhaite que le projet de révision de la Constitution soit bientôt soumis aux parlementaires. Dans son discours de clôture de la session d'automne du Parlement, prononcé hier, Bensalah a dit aussi espérer que cette « révision soit au service du pays et non au service d'un pouvoir ou régime. Le président du Conseil de la nation, Abdelkader Bensalah, souhaite que le projet de révision de la Constitution soit bientôt soumis aux parlementaires. Dans son discours de clôture de la session d'automne du Parlement, prononcé hier, Bensalah a dit aussi espérer que cette « révision soit au service du pays et non au service d'un pouvoir ou régime. Comme on espère que cette révision soit l'expression de l'ambition du peuple ». Exposant encore davantage ses espérances le deuxième personnage du pays, qui s'exprimait notamment devant le Premier ministre et les membres du gouvernement, dira que « cette Constitution doit consolider la protection des libertés individuelles et collectives ». Abdelkader Bensalah a aussi soutenu son choix pour une Constitution qui consacre davantage de prérogatives pour le Parlement à même de lui permettre, notamment, d'accomplir sa mission de contrôle du travail du gouvernement. Dans le même contexte, il a aussi marqué sa préférence pour une Constitution qui accorde plus de moyens aux institutions élues et, a-t-il précisé, une Constitution dans laquelle l'opposition aura un rôle plus important. Abdelkader Bensalah, qui réitère ainsi les grandes lignes qui font l'unanimité au sein de la classe politique, s'est aussi clairement prononcé pour une Constitution qui soit en phase avec les spécificités nationales. Il a dans la foulée salué le nouvel appel lancé par le président de la Rpublique en direction de l'opposition afin de participer aux consultations autour de cette question de révision de la Constitution. Le président du Conseil de la nation, qui a d'abord dressé un bilan de la session d'automne, qui a été, selon lui, à l'évidence positif, a aussi évoqué la question des récentes manifestations dans le sud du pays où les populations d'In- Salah manifestent contre l'exploitation du gaz de schiste. « Il est nécessaire de prendre les mesures pour répondre positivement aux demandes raisonnables exprimées ça et là ». De son côté, le président de l'APN a, dans son discours de clôture de la session d'automne, a notamment appelé à la promotion « du dialogue entre toutes les parties ». Comme on espère que cette révision soit l'expression de l'ambition du peuple ». Exposant encore davantage ses espérances le deuxième personnage du pays, qui s'exprimait notamment devant le Premier ministre et les membres du gouvernement, dira que « cette Constitution doit consolider la protection des libertés individuelles et collectives ». Abdelkader Bensalah a aussi soutenu son choix pour une Constitution qui consacre davantage de prérogatives pour le Parlement à même de lui permettre, notamment, d'accomplir sa mission de contrôle du travail du gouvernement. Dans le même contexte, il a aussi marqué sa préférence pour une Constitution qui accorde plus de moyens aux institutions élues et, a-t-il précisé, une Constitution dans laquelle l'opposition aura un rôle plus important. Abdelkader Bensalah, qui réitère ainsi les grandes lignes qui font l'unanimité au sein de la classe politique, s'est aussi clairement prononcé pour une Constitution qui soit en phase avec les spécificités nationales. Il a dans la foulée salué le nouvel appel lancé par le président de la Rpublique en direction de l'opposition afin de participer aux consultations autour de cette question de révision de la Constitution. Le président du Conseil de la nation, qui a d'abord dressé un bilan de la session d'automne, qui a été, selon lui, à l'évidence positif, a aussi évoqué la question des récentes manifestations dans le sud du pays où les populations d'In- Salah manifestent contre l'exploitation du gaz de schiste. « Il est nécessaire de prendre les mesures pour répondre positivement aux demandes raisonnables exprimées ça et là ». De son côté, le président de l'APN a, dans son discours de clôture de la session d'automne, a notamment appelé à la promotion « du dialogue entre toutes les parties ».