Il n'y a toujours aucune nouvelle sur le prochain congrès du FLN. La direction politique du vieux parti fait, à ce propos, profil bas. Le secrétaire général, Amar Saïdani, fait tout pour éluder la question. Or, le mandat des instances élues lors du dernier congrès arrive bientôt à expiration. Il n'y a toujours aucune nouvelle sur le prochain congrès du FLN. La direction politique du vieux parti fait, à ce propos, profil bas. Le secrétaire général, Amar Saïdani, fait tout pour éluder la question. Or, le mandat des instances élues lors du dernier congrès arrive bientôt à expiration. Le secrétaire général et le comité central (CC) vont dès lors perdre toute légitimité à partir de la fin du mois de mars. Car le mandat, selon les statuts du parti, est de cinq années. Le dernier congrès du FLN a eu lieu vers la fin du mois de mars de l'année 2010. C'est dire que la direction du parti, qui fait déjà face à une grande fronde interne, est dans l'embarras, même si elle semble accorder peu d'importance à ce paramètre. Amar Saïdani a annoncé il y a quelques semaines que le prochain congrès se tiendra après la révision de la Constitution, dont la date n'a pas encore, faut il le rappeler, été fixée. Car pour l'heure il n' y a que des supputations. Certaines sources estiment que le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, soumettra le projet de révision constitutionnel aux deux chambres du Parlement lors de la session de printemps qui sera ouverte au début du mois de mars et qui s'achèvera au mois de juillet. Maislà aussi il n'y a aucune certitude et le président de la République peut renvoyer l'échéance à plus tard. D'où, certainement, l'embarras du secrétaire général du FLN et de la direction du parti. Car l'opposition ne l'entend pas de cette oreille elle qui considère déjà Saïdani comme illégitime. Abderahmane Belayat, le principal animateur de l'opposition, a d'ailleurs même installé une commission de préparation du congrés. Il est dès lors évident que cette question risque fort bien d'être portée devant les tribunaux lorsque le mandat des instances du parti aura expiré. Il faut dire que ce n'est pas la première fois que le FLN se trouve dans une situation pareille. Un fait avancé par Saidani et ses partisans comme pour minimiser la charge de l'opposition. Amar Saïdani a, pour rappel, installé la commission de préparation du congrès le 24 juin dernier lors d'une session houleuse du comité central à l'hôtel El Aurassi. Ce jour-là, pour rappel, Abdelaziz Belkhadem et ses partisans ont été empêchés d'accéder à la salle des conférences. Une bagarre a même éclaté entre les deux camps. Composée de tous les membres du comité central cette commission n'a plus donné aucun signe de vie depuis cette date. Elle n'a, pour ainsi dire, tenu aucune réunion. Aucune sous-commission n'a, par voie de conséquence, été installée pour plancher sur les projets de textes devant être soumis d'abord aux congrès régionaux avant d'être présentés dans une seconde phase, après enrichissement, aux congressistes. Amar Saïdani, disent certaines sources, n'a reçu aucun feu vert « d'en haut » pour entamer la démarche devant conduire à la tenue du congrès. Un congrès dont l'enjeu politique est extrêmement important. car les belligérants s'inscrivent d'ores et déjà dans la perspective de l'élection présidentielle de 2019 . Le secrétaire général et le comité central (CC) vont dès lors perdre toute légitimité à partir de la fin du mois de mars. Car le mandat, selon les statuts du parti, est de cinq années. Le dernier congrès du FLN a eu lieu vers la fin du mois de mars de l'année 2010. C'est dire que la direction du parti, qui fait déjà face à une grande fronde interne, est dans l'embarras, même si elle semble accorder peu d'importance à ce paramètre. Amar Saïdani a annoncé il y a quelques semaines que le prochain congrès se tiendra après la révision de la Constitution, dont la date n'a pas encore, faut il le rappeler, été fixée. Car pour l'heure il n' y a que des supputations. Certaines sources estiment que le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, soumettra le projet de révision constitutionnel aux deux chambres du Parlement lors de la session de printemps qui sera ouverte au début du mois de mars et qui s'achèvera au mois de juillet. Maislà aussi il n'y a aucune certitude et le président de la République peut renvoyer l'échéance à plus tard. D'où, certainement, l'embarras du secrétaire général du FLN et de la direction du parti. Car l'opposition ne l'entend pas de cette oreille elle qui considère déjà Saïdani comme illégitime. Abderahmane Belayat, le principal animateur de l'opposition, a d'ailleurs même installé une commission de préparation du congrés. Il est dès lors évident que cette question risque fort bien d'être portée devant les tribunaux lorsque le mandat des instances du parti aura expiré. Il faut dire que ce n'est pas la première fois que le FLN se trouve dans une situation pareille. Un fait avancé par Saidani et ses partisans comme pour minimiser la charge de l'opposition. Amar Saïdani a, pour rappel, installé la commission de préparation du congrès le 24 juin dernier lors d'une session houleuse du comité central à l'hôtel El Aurassi. Ce jour-là, pour rappel, Abdelaziz Belkhadem et ses partisans ont été empêchés d'accéder à la salle des conférences. Une bagarre a même éclaté entre les deux camps. Composée de tous les membres du comité central cette commission n'a plus donné aucun signe de vie depuis cette date. Elle n'a, pour ainsi dire, tenu aucune réunion. Aucune sous-commission n'a, par voie de conséquence, été installée pour plancher sur les projets de textes devant être soumis d'abord aux congrès régionaux avant d'être présentés dans une seconde phase, après enrichissement, aux congressistes. Amar Saïdani, disent certaines sources, n'a reçu aucun feu vert « d'en haut » pour entamer la démarche devant conduire à la tenue du congrès. Un congrès dont l'enjeu politique est extrêmement important. car les belligérants s'inscrivent d'ores et déjà dans la perspective de l'élection présidentielle de 2019 .