La ministre de l'Aménagement du territoire et de l'Environnement et de l'Aménagement du territoire, Dalila Boudjemaa, a une fois de plus écarté tout danger sur l'environnement que pourrait induire l'exploitation du gaz de schiste. La ministre de l'Aménagement du territoire et de l'Environnement et de l'Aménagement du territoire, Dalila Boudjemaa, a une fois de plus écarté tout danger sur l'environnement que pourrait induire l'exploitation du gaz de schiste. « Je dis une fois encore qu'il n'y a aucun danger sur l'environnement car toutes les précautions ont été prises par le gouvernement ». La représentante du gouvernement, qui s'exprimait hier au forum du journal El Moudjahid, a en outre indiqué que « la dimension de l'environnement a été au coeur de la décision du gouvernement » précisant « qu'il n'y a pas d'impact sur l'environnement ». L'exploitation du gaz de schiste a provoqué, pourrappel, une action de protestation des habitants d'In- Salah, qui manifestent depuis des semaines maintenant. En vérité le gouvernement est encore au stade de l'exploration et n'est pas encore passé au stade de l'exploitation. Le forage des puits entrepris par l'entreprise Sonatrach sert surtout, comme cela a été expliqué par tous les responsables du gouvernement, le président de la République en tête, à évaluer les potentialités du pays en matière de gaz de schiste. Dalila Boudjemaa a invoqué les études d'impact réalisées par les Algériens pour justifier la décision des autorités algériennes. Elle a estimé que toutes les études ont montré qu'il n'y a aucun risque sur l'environnement. « S'il y avait réellement un problème écologique, ces pays ne se seraient pas lancés dans l'exploitation de cette ressource » a-t-elle indiqué en faisant référence aux pays qui exploitent d'ores et déjà le gaz de schiste. Si la question du gaz de schiste s'est taillée la part du lion lors de ce forum, d'autres questions inhérentes à la politique environnementale du gouvernement ont été aussi évoqués. « Des avancées ont été réalisées en matière de politique de l'environnement » a souligné Dalila Boudjemaa en ajoutant que « l'aspect financier a baissé de 1 milliard de dollars en quatre années, soit un gain de 250 millions de dollars par an ». Toujours sur l'aspect financier l'invitée du journal El Moudjahid a aussi indiqué que l'Algérie a pu, grâce à la politique de recyclage, économiser 300 millions de dollars par an. Le pays traite annuellement 13,5 millions de tonnes de déchets. Mais la « récupération » reste relativement faible a admis la ministre. Ainsi en 2014 seulement 17 % des 13,5 millions de tonnes de déchets ont été recyclés. « C'est insuffisant », dira Dalila Boudjemaa alors qu'e 2015 ce seuil sera porté à 25 %. L'ambition du pays est de pouvoir recycler à l'horizon 2016 entre 40 et 50 % de déchets. Elle dira que « nous travaillons justement pour promouvoir les filières de la récupération ». La ministre a aussi évoqué le problème de la collecte des déchets ménagers à Alger et les problèmes de transport que rencontre l'entreprise Net Com malgré les énormes moyens dont elle dispose. Elle a annoncé l'existence d'un projet de transport ferroviaire des déchets. Sur la problématique récurrente du sachet en plastique, elle a reconnu la difficulté de se débarrasser de ce moyen. « Il y a 6.000 entreprises et 9.000 emplois créés grâce notamment à l'Ansej. On ne peut pas casser cet outil » a-t-elle expliqué en prônant une politique graduelle de substitution du sachet plastique. « On va bientôt introduire auprès du secrétariat général du gouvernement un texte de loi à cet effet », dira la ministre qui a admis que le papier n'est pas le meilleur palliatif car son importation coûte cher. « Je dis une fois encore qu'il n'y a aucun danger sur l'environnement car toutes les précautions ont été prises par le gouvernement ». La représentante du gouvernement, qui s'exprimait hier au forum du journal El Moudjahid, a en outre indiqué que « la dimension de l'environnement a été au coeur de la décision du gouvernement » précisant « qu'il n'y a pas d'impact sur l'environnement ». L'exploitation du gaz de schiste a provoqué, pourrappel, une action de protestation des habitants d'In- Salah, qui manifestent depuis des semaines maintenant. En vérité le gouvernement est encore au stade de l'exploration et n'est pas encore passé au stade de l'exploitation. Le forage des puits entrepris par l'entreprise Sonatrach sert surtout, comme cela a été expliqué par tous les responsables du gouvernement, le président de la République en tête, à évaluer les potentialités du pays en matière de gaz de schiste. Dalila Boudjemaa a invoqué les études d'impact réalisées par les Algériens pour justifier la décision des autorités algériennes. Elle a estimé que toutes les études ont montré qu'il n'y a aucun risque sur l'environnement. « S'il y avait réellement un problème écologique, ces pays ne se seraient pas lancés dans l'exploitation de cette ressource » a-t-elle indiqué en faisant référence aux pays qui exploitent d'ores et déjà le gaz de schiste. Si la question du gaz de schiste s'est taillée la part du lion lors de ce forum, d'autres questions inhérentes à la politique environnementale du gouvernement ont été aussi évoqués. « Des avancées ont été réalisées en matière de politique de l'environnement » a souligné Dalila Boudjemaa en ajoutant que « l'aspect financier a baissé de 1 milliard de dollars en quatre années, soit un gain de 250 millions de dollars par an ». Toujours sur l'aspect financier l'invitée du journal El Moudjahid a aussi indiqué que l'Algérie a pu, grâce à la politique de recyclage, économiser 300 millions de dollars par an. Le pays traite annuellement 13,5 millions de tonnes de déchets. Mais la « récupération » reste relativement faible a admis la ministre. Ainsi en 2014 seulement 17 % des 13,5 millions de tonnes de déchets ont été recyclés. « C'est insuffisant », dira Dalila Boudjemaa alors qu'e 2015 ce seuil sera porté à 25 %. L'ambition du pays est de pouvoir recycler à l'horizon 2016 entre 40 et 50 % de déchets. Elle dira que « nous travaillons justement pour promouvoir les filières de la récupération ». La ministre a aussi évoqué le problème de la collecte des déchets ménagers à Alger et les problèmes de transport que rencontre l'entreprise Net Com malgré les énormes moyens dont elle dispose. Elle a annoncé l'existence d'un projet de transport ferroviaire des déchets. Sur la problématique récurrente du sachet en plastique, elle a reconnu la difficulté de se débarrasser de ce moyen. « Il y a 6.000 entreprises et 9.000 emplois créés grâce notamment à l'Ansej. On ne peut pas casser cet outil » a-t-elle expliqué en prônant une politique graduelle de substitution du sachet plastique. « On va bientôt introduire auprès du secrétariat général du gouvernement un texte de loi à cet effet », dira la ministre qui a admis que le papier n'est pas le meilleur palliatif car son importation coûte cher.