Partiellement suivie, tel est le constat des observateurs à l'arrêt des cours auquel a appelé le Cnapest. Les élèves, pour leur part, dénoncent "l'égoïsme"de certains professeurs qui les tiennent en otage pour des considérations matérielles Partiellement suivie, tel est le constat des observateurs à l'arrêt des cours auquel a appelé le Cnapest. Les élèves, pour leur part, dénoncent "l'égoïsme"de certains professeurs qui les tiennent en otage pour des considérations matérielles Le Conseil national autonome des professeurs de l'enseignement secondaire et technique (Cnapest) n'a pas fait le plein, hier, au mot d'ordre de grève auquel il a appelé pour appuyer les revendications socio-professionnelles soulevées par les enseignants et non satisfaites par le ministère de l'Education nationale. La grève a été partiellement suivie à travers le pays et diffère d'un établissement secondaire ou technique à l'autre dans une même wilaya, selon les échos rapportés par les correspondants de l'APS. Toutefois, le Cnapest criera au succès de la grève en fournissant un taux « appréciable » d'enseignants qui ont répondu au mot d'ordre du syndicat.Pour sa part le ministère de l'Education nationale avancera le sien, bien inférieur à celui du Cnapest, louant le sens de la sagesse des « éducateurs » qui ont mis en avant l'intérêt des élèves, notamment en cette veille des examens de fin du 2e trimestre. Une bataille de chiffres qui sera « diversement » appréciée par les élèves et leurs parents qui craignent les lourdes conséquences de cet arrêt de travail à la fin de l'année scolaire. Au sud du pays, notamment à Ouargla, le mot d'ordre a été partiellement suivi dans les établissements du secondaire et technique. Plusieurs enseignants ont ainsi débrayé dans les établissements du chef-lieu de wilaya de Ouargla, à l'exemple des lycées Si-Chérif- Ali-Mellah, M'barek-El-Mili ou El- Khawarizmi. Dans ces lycées les élèves ont soit rebroussé chemin, soit restés dans la cour, pour attendre la séance suivante. Certains enseignants ayant décidé d'assurer leurs cours normalement. A Constantine, la grève d'une journée renouvelable du Cnapest a été assez suivie. Dans les lycées du centre-ville, les cours étaient assurés, en moyenne, dans une classe sur deux. C'est notamment le cas dans les lycées El-Houria et Fadela-Saâdane, à la cité du Coudiat, où plusieurs élèves de 3e année secondaire, ont été obligés de rebrousser chemin. Le suivi de la grève a été partiel à Blida. Des enseignants du secondaire et du technique ont répondu à l'appel du Cnapest, notamment pour les lycée technique Belkacem- Louzri et Brakni. Une « bonne partie » des élèves de ces établissements, dès 8 h du matin, n'ont pas eu cours. C'est le même scénario au lycée Mohamed-Mahi où les élèves de première année secondaire, ont été affectés par le mouvement de grève. A Boumerdès, par contre la grève a été « faiblement » suivie. Au lycée Frantz-Fanon, les cours ont été normalement dispensés. Le mot d'ordre de grève a connu un suivi mitigé dans d'autres établissements du chef-lieu. A Tizi-Ouzou, l'arrêt de travail, initié par le Cnapest, a connu un suivi mitigé, au niveau des établissements du secondaire de la ville des Genêts. Au lycée El-Khensa, seuls les élèves des classes de terminale ont eu cours. Les élèves de première et de deuxièmeannées ont été « libérés ». Aux lycées Amirouche et Stambouli, au chef-lieu de wilaya, la grève a été partiellement suivie. Dans les wilayas de la région ouest du pays, le suivi de la grève a été partiel également. A Oran, les établissements scolaires ont été très peu perturbés par ce mouvement de grève. Les cours ont été assurés normalement, notamment dans les lycées et CEM du chef-lieu de wilaya comme c'est le cas du lycée Mostapha-Haddam, le CEM Docteur- Benzerdjeb. Pour le Cnapest, c'est un autre son de cloche. Pour le syndicat, l'appel à la grève a été suivi par la majorité des lycées de la capitale. « Sur un total de 48 lycées, 27 sont en grève. Ce qui représente un taux de participation de 56,25 % », a précisé lundi 16 février le porte-parole du Cnapest, Messaoud Boudiba, qui est loin d'entendre les cris de détresse lancés par les élèves des classes d'examens. Le Conseil national autonome des professeurs de l'enseignement secondaire et technique (Cnapest) n'a pas fait le plein, hier, au mot d'ordre de grève auquel il a appelé pour appuyer les revendications socio-professionnelles soulevées par les enseignants et non satisfaites par le ministère de l'Education nationale. La grève a été partiellement suivie à travers le pays et diffère d'un établissement secondaire ou technique à l'autre dans une même wilaya, selon les échos rapportés par les correspondants de l'APS. Toutefois, le Cnapest criera au succès de la grève en fournissant un taux « appréciable » d'enseignants qui ont répondu au mot d'ordre du syndicat.Pour sa part le ministère de l'Education nationale avancera le sien, bien inférieur à celui du Cnapest, louant le sens de la sagesse des « éducateurs » qui ont mis en avant l'intérêt des élèves, notamment en cette veille des examens de fin du 2e trimestre. Une bataille de chiffres qui sera « diversement » appréciée par les élèves et leurs parents qui craignent les lourdes conséquences de cet arrêt de travail à la fin de l'année scolaire. Au sud du pays, notamment à Ouargla, le mot d'ordre a été partiellement suivi dans les établissements du secondaire et technique. Plusieurs enseignants ont ainsi débrayé dans les établissements du chef-lieu de wilaya de Ouargla, à l'exemple des lycées Si-Chérif- Ali-Mellah, M'barek-El-Mili ou El- Khawarizmi. Dans ces lycées les élèves ont soit rebroussé chemin, soit restés dans la cour, pour attendre la séance suivante. Certains enseignants ayant décidé d'assurer leurs cours normalement. A Constantine, la grève d'une journée renouvelable du Cnapest a été assez suivie. Dans les lycées du centre-ville, les cours étaient assurés, en moyenne, dans une classe sur deux. C'est notamment le cas dans les lycées El-Houria et Fadela-Saâdane, à la cité du Coudiat, où plusieurs élèves de 3e année secondaire, ont été obligés de rebrousser chemin. Le suivi de la grève a été partiel à Blida. Des enseignants du secondaire et du technique ont répondu à l'appel du Cnapest, notamment pour les lycée technique Belkacem- Louzri et Brakni. Une « bonne partie » des élèves de ces établissements, dès 8 h du matin, n'ont pas eu cours. C'est le même scénario au lycée Mohamed-Mahi où les élèves de première année secondaire, ont été affectés par le mouvement de grève. A Boumerdès, par contre la grève a été « faiblement » suivie. Au lycée Frantz-Fanon, les cours ont été normalement dispensés. Le mot d'ordre de grève a connu un suivi mitigé dans d'autres établissements du chef-lieu. A Tizi-Ouzou, l'arrêt de travail, initié par le Cnapest, a connu un suivi mitigé, au niveau des établissements du secondaire de la ville des Genêts. Au lycée El-Khensa, seuls les élèves des classes de terminale ont eu cours. Les élèves de première et de deuxièmeannées ont été « libérés ». Aux lycées Amirouche et Stambouli, au chef-lieu de wilaya, la grève a été partiellement suivie. Dans les wilayas de la région ouest du pays, le suivi de la grève a été partiel également. A Oran, les établissements scolaires ont été très peu perturbés par ce mouvement de grève. Les cours ont été assurés normalement, notamment dans les lycées et CEM du chef-lieu de wilaya comme c'est le cas du lycée Mostapha-Haddam, le CEM Docteur- Benzerdjeb. Pour le Cnapest, c'est un autre son de cloche. Pour le syndicat, l'appel à la grève a été suivi par la majorité des lycées de la capitale. « Sur un total de 48 lycées, 27 sont en grève. Ce qui représente un taux de participation de 56,25 % », a précisé lundi 16 février le porte-parole du Cnapest, Messaoud Boudiba, qui est loin d'entendre les cris de détresse lancés par les élèves des classes d'examens.