Le président François Hollande et la chancelière Angela Merkel ont affirmé vendredi à Paris vouloir l'application de "tous les accords de Minsk, rien que les accords de Minsk". Le président François Hollande et la chancelière Angela Merkel ont affirmé vendredi à Paris vouloir l'application de "tous les accords de Minsk, rien que les accords de Minsk". "Les cessez-le-feu ont été plusieurs fois violés, ils doivent être maintenant intégralement respectés sur l'ensemble de la ligne de front", a affirmé M. Hollande lors d'un point de presse conjoint avec Mme Merkel. "Nous allons continuer dans le cadre du format Normandie (France, Allemagne, Ukraine, Russie) à travailler à l'effectivité" des accords de Minsk, a-t-il ajouté. Sur la même longueur d'onde, la chancelière allemande a affirmé que "l'objectif, c'est que les engagements de Minsk soient maintenant mis en oeuvre et traduits dans la pratique". "C'est un chemin difficile", a-t-elle reconnu, appelant à "faire tout ce qui est nécessaire pour que le bain de sang ne se poursuive pas". Les séparatistes ukrainiens affirment être en faveur du strict respect de ces accords, alors qu'ils ont violé à plusieurs reprises le cessez-le-feu entré en vigueur le 15 février. La trêve a ainsi été "bafouée par les rebelles plus de 250 fois", a accusé Washington. "Les cessez-le-feu ont été plusieurs fois violés, ils doivent être maintenant intégralement respectés sur l'ensemble de la ligne de front", a affirmé M. Hollande lors d'un point de presse conjoint avec Mme Merkel. "Nous allons continuer dans le cadre du format Normandie (France, Allemagne, Ukraine, Russie) à travailler à l'effectivité" des accords de Minsk, a-t-il ajouté. Sur la même longueur d'onde, la chancelière allemande a affirmé que "l'objectif, c'est que les engagements de Minsk soient maintenant mis en oeuvre et traduits dans la pratique". "C'est un chemin difficile", a-t-elle reconnu, appelant à "faire tout ce qui est nécessaire pour que le bain de sang ne se poursuive pas". Les séparatistes ukrainiens affirment être en faveur du strict respect de ces accords, alors qu'ils ont violé à plusieurs reprises le cessez-le-feu entré en vigueur le 15 février. La trêve a ainsi été "bafouée par les rebelles plus de 250 fois", a accusé Washington.