Le volet de la santé dans le Sud est différent de celui dans le Nord, de ce fait nécessitant davantage d'efforts de la part des différents acteurs, en vue d'assurer une meilleure prise en charge des malades. Le volet de la santé dans le Sud est différent de celui dans le Nord, de ce fait nécessitant davantage d'efforts de la part des différents acteurs, en vue d'assurer une meilleure prise en charge des malades. L'Etat "oeuvre à assurer une meilleure prise en charge de la santé dans le sud du pays", a affirmé, dimanche à Hassi-Messaoud dans la wilaya de Ouargla, le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Abdelmalek Boudiaf. Le volet de la santé dans le sud du pays "est différent de celui dans le Nord, nécessitant davantage d'efforts de la part des différents acteurs, des secteurs public et privé, en vue d'assurer une meilleure prise en charge des malades et la préservation de la santé du citoyen dans ces régions", a souligné Boudiaf, au premier jour de sa visite de travail dans la wilaya de Ouargla. La population dans le Sud fait face à diverses pathologies, dont le trachome, contre lequel l'Algérie a réalisé de "grandes avancées et poursuit sa stratégie de lutte sans relâche contre ces pathologies, pour la prise en charge des malades à travers tout le Sud, notamment dans les régions enclavées", a-t-il assuré. Le ministre a, à ce titre, mis l'accent sur la nécessaire mise en place d'une cellule mixte à l'échelle de la wilaya, composée de représentants de la santé et de la protection civile, afin d'examiner la situation sanitaire dans le Sud, relever les carences et réunir les conditions nécessaires à la prise en charge de la santé du citoyen et la consécration de son droit à l'accès aux soins". Dans ce contexte, le ministre a fait état de la "mobilisation d'unités médicales mobiles, dont une dizaine pour la wilaya d'Ouargla, encadrées par un staff médical et paramédical, devant assurer des consultations et soins médicaux, déterminer la prévalence des maladies dans les régions enclavées, à l'appui de campagnes préalables de sensibilisation en direction des citoyens". Après avoir écouté les doléances formulées par les citoyens de la région de Rhourd-El-Baguel (commune d'El- Borma), Boudiaf a souligné la "nécessité de l'affectation d'un nombre suffisant d'ambulances pour l'évacuation des malades vers les structures hospitalières éloignées, la dotation des structures de santé en quantités suffisantes de vaccins, en coordination avec l'institut Pasteur d'Alger, ainsi que la prise en charge et le suivi de la santé maternelle dans ces régions reculées". Concernant le secteur privé, le ministre, qui a visité un centre d'imagerie médicale, a indiqué que ces "structures privées devront être complémentaires à celles du secteur public, en vue de permettre au malade d'opter pour la structure de son choix, et ne guère faire de commerce sur la santé du citoyen". Boudiaf s'est, par ailleurs, enquis du projet d'extension de l'hôpital de Hassi-Messaoud, dont les travaux tirent à leur fin, et a pris connaissance des doléances de ses travailleurs et de citoyens, concernant le déficit accusé en praticiens spécialistes et au manque d'ambulances. Il a, à ce propos, annoncé "l'affectation prochaine de spécialistes dans le Sud, où les conditions adéquates doivent leur être réunies, notamment le logement, ainsi que l'inscription, pour 2015, d'une opération d'acquisition de neuf cliniques mobiles pour la wilaya d'Ouargla". Le ministre de la Santé, qui a fait part de la programmation, dans deux semaines, d'une rencontre à Ouargla pour faire le point sur la situation de la santé dans le sud du pays, poursuit sa visite de travail de deux jours dans cette wilaya, par l'inspection d'autres projets et structures relevant de son secteur dans différentes daïras. L'Etat "oeuvre à assurer une meilleure prise en charge de la santé dans le sud du pays", a affirmé, dimanche à Hassi-Messaoud dans la wilaya de Ouargla, le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Abdelmalek Boudiaf. Le volet de la santé dans le sud du pays "est différent de celui dans le Nord, nécessitant davantage d'efforts de la part des différents acteurs, des secteurs public et privé, en vue d'assurer une meilleure prise en charge des malades et la préservation de la santé du citoyen dans ces régions", a souligné Boudiaf, au premier jour de sa visite de travail dans la wilaya de Ouargla. La population dans le Sud fait face à diverses pathologies, dont le trachome, contre lequel l'Algérie a réalisé de "grandes avancées et poursuit sa stratégie de lutte sans relâche contre ces pathologies, pour la prise en charge des malades à travers tout le Sud, notamment dans les régions enclavées", a-t-il assuré. Le ministre a, à ce titre, mis l'accent sur la nécessaire mise en place d'une cellule mixte à l'échelle de la wilaya, composée de représentants de la santé et de la protection civile, afin d'examiner la situation sanitaire dans le Sud, relever les carences et réunir les conditions nécessaires à la prise en charge de la santé du citoyen et la consécration de son droit à l'accès aux soins". Dans ce contexte, le ministre a fait état de la "mobilisation d'unités médicales mobiles, dont une dizaine pour la wilaya d'Ouargla, encadrées par un staff médical et paramédical, devant assurer des consultations et soins médicaux, déterminer la prévalence des maladies dans les régions enclavées, à l'appui de campagnes préalables de sensibilisation en direction des citoyens". Après avoir écouté les doléances formulées par les citoyens de la région de Rhourd-El-Baguel (commune d'El- Borma), Boudiaf a souligné la "nécessité de l'affectation d'un nombre suffisant d'ambulances pour l'évacuation des malades vers les structures hospitalières éloignées, la dotation des structures de santé en quantités suffisantes de vaccins, en coordination avec l'institut Pasteur d'Alger, ainsi que la prise en charge et le suivi de la santé maternelle dans ces régions reculées". Concernant le secteur privé, le ministre, qui a visité un centre d'imagerie médicale, a indiqué que ces "structures privées devront être complémentaires à celles du secteur public, en vue de permettre au malade d'opter pour la structure de son choix, et ne guère faire de commerce sur la santé du citoyen". Boudiaf s'est, par ailleurs, enquis du projet d'extension de l'hôpital de Hassi-Messaoud, dont les travaux tirent à leur fin, et a pris connaissance des doléances de ses travailleurs et de citoyens, concernant le déficit accusé en praticiens spécialistes et au manque d'ambulances. Il a, à ce propos, annoncé "l'affectation prochaine de spécialistes dans le Sud, où les conditions adéquates doivent leur être réunies, notamment le logement, ainsi que l'inscription, pour 2015, d'une opération d'acquisition de neuf cliniques mobiles pour la wilaya d'Ouargla". Le ministre de la Santé, qui a fait part de la programmation, dans deux semaines, d'une rencontre à Ouargla pour faire le point sur la situation de la santé dans le sud du pays, poursuit sa visite de travail de deux jours dans cette wilaya, par l'inspection d'autres projets et structures relevant de son secteur dans différentes daïras.