L'Opposition semble avoir réussi son pari : celui d'organiser un rassemblement à Alger.Un rassemblement qui s'est transformée par la suite en marche. L'Opposition semble avoir réussi son pari : celui d'organiser un rassemblement à Alger.Un rassemblement qui s'est transformée par la suite en marche. En tous cas tous les leaders de l'opposition, regroupés dans l'Instance de coordination et de suivi de l'opposition (ICSO),la partie qui a appelé à ce rassemblement à Alger et dans l'ensemble des wilayas du pays, s'étaient réjouis de la réussite de leur action de protestation initiée pour dire « non » à l'exploitation du gaz de schiste et soutenir les populations d'In-Salah. C'est à partir du siège du mouvement Enahda, à Telemly, que les leaders de l'ICSO, ont entamé leur marche en direction de la Grande- Poste, lieu prévu initialement pour le rassemblement. Ils étaient tous présents ; Abderazak Mokri (MSP), Mohcine Belabes (RCD), Mohamed Douibi (Enahda), Ali Benflis, qui coordonne l'action du Pôle du changement, Ahmed Benbitour, ancien chef de gouvernement, Djilali Sofiane de Jil Djadid, Abdallah Djaballah (FJD), Nourdine Bahbouh, Karim Tabou, Tahar Benbaibeche, étaient en effet, à la tête de la marche. Ils sont parvenus difficilement à proximité de la Grande-Poste car il y avait une grande présence policière. Le dispositif de sécurité voulait les empêcher de parvenir à la Grande-Poste où des dizaines, voire même des centaines de personnes étaient déjà regroupées sur les lieux en petits groupes éparpillés. C'est alors qu'une marche s'est ébranlée dans le sens opposé en direction du siège du RCD en haut de la rue Didouche- Mourad. Les forces de l'ordre ont essayé d'empêcher le cortège d'avancer, en utilisant tous les moyens, y compris les brutalités. Des chants et des slogans sont entonnés par les manifestants. « Non au gaz de schiste », « on est tous In-Salah » « Djazair Hora dimocratiya » étaient les principaux slogans scandés par les manifestants. Des dizaines de personnes ont alors été interpellés par les forces de l'ordre. Selon Mohcine Belabes 50 personnes ont été arrêtées à Alger et 18 personnes dans la wilaya de Boumerdès. « Non à l'exploitation du gaz de schiste sans l'ouverture d'un débat », dira Mohcine Belabes, le chef de file du RCD, lors d'un point de presse tenu au siège de son parti après la marche tout en dénonçant la brutalité policière contre les manifestants. « ce rassemblement est une réussite surtout qu'il s'est transformé en marche, malgré la répression. C'est une journée historique » a-t-il ajouté avant de céder la parole à Ali Benflis. ce dernier dira à son tour que « c'est une grande journée car le peuple a voulu récupérer sa citoyenneté en revendiquant des élections libres et démocratiques ». « c'est un jour déterminant car l'opposition a réussi son pari » dira Mohamed Douibi ajoutant que « la marche a été durement réprimée ». Les propos du leader du MSP, Abderazak Mokri, étaient pareils puisque lui aussi a mis en avant le pari réussi par l'opposition. « Nous avons brisé le mur de la peur » a-t-il notamment indiqué en dénonçant la mobilisation de milliers de policiers pour réprimer l'opposition. En tous cas tous les leaders de l'opposition, regroupés dans l'Instance de coordination et de suivi de l'opposition (ICSO),la partie qui a appelé à ce rassemblement à Alger et dans l'ensemble des wilayas du pays, s'étaient réjouis de la réussite de leur action de protestation initiée pour dire « non » à l'exploitation du gaz de schiste et soutenir les populations d'In-Salah. C'est à partir du siège du mouvement Enahda, à Telemly, que les leaders de l'ICSO, ont entamé leur marche en direction de la Grande- Poste, lieu prévu initialement pour le rassemblement. Ils étaient tous présents ; Abderazak Mokri (MSP), Mohcine Belabes (RCD), Mohamed Douibi (Enahda), Ali Benflis, qui coordonne l'action du Pôle du changement, Ahmed Benbitour, ancien chef de gouvernement, Djilali Sofiane de Jil Djadid, Abdallah Djaballah (FJD), Nourdine Bahbouh, Karim Tabou, Tahar Benbaibeche, étaient en effet, à la tête de la marche. Ils sont parvenus difficilement à proximité de la Grande-Poste car il y avait une grande présence policière. Le dispositif de sécurité voulait les empêcher de parvenir à la Grande-Poste où des dizaines, voire même des centaines de personnes étaient déjà regroupées sur les lieux en petits groupes éparpillés. C'est alors qu'une marche s'est ébranlée dans le sens opposé en direction du siège du RCD en haut de la rue Didouche- Mourad. Les forces de l'ordre ont essayé d'empêcher le cortège d'avancer, en utilisant tous les moyens, y compris les brutalités. Des chants et des slogans sont entonnés par les manifestants. « Non au gaz de schiste », « on est tous In-Salah » « Djazair Hora dimocratiya » étaient les principaux slogans scandés par les manifestants. Des dizaines de personnes ont alors été interpellés par les forces de l'ordre. Selon Mohcine Belabes 50 personnes ont été arrêtées à Alger et 18 personnes dans la wilaya de Boumerdès. « Non à l'exploitation du gaz de schiste sans l'ouverture d'un débat », dira Mohcine Belabes, le chef de file du RCD, lors d'un point de presse tenu au siège de son parti après la marche tout en dénonçant la brutalité policière contre les manifestants. « ce rassemblement est une réussite surtout qu'il s'est transformé en marche, malgré la répression. C'est une journée historique » a-t-il ajouté avant de céder la parole à Ali Benflis. ce dernier dira à son tour que « c'est une grande journée car le peuple a voulu récupérer sa citoyenneté en revendiquant des élections libres et démocratiques ». « c'est un jour déterminant car l'opposition a réussi son pari » dira Mohamed Douibi ajoutant que « la marche a été durement réprimée ». Les propos du leader du MSP, Abderazak Mokri, étaient pareils puisque lui aussi a mis en avant le pari réussi par l'opposition. « Nous avons brisé le mur de la peur » a-t-il notamment indiqué en dénonçant la mobilisation de milliers de policiers pour réprimer l'opposition.