La transition démocratique sera-t-elle portée par le peuple ? C'est le voeu exprimé, dimanche par l'Instance de concertation et de suivi de l'opposition (ICSO), qui regroupe des partis et personnalités politiques au sein de l'Instance de la Coordination nationale pour les libertés et la transition démocratique (CNLTD). La transition démocratique sera-t-elle portée par le peuple ? C'est le voeu exprimé, dimanche par l'Instance de concertation et de suivi de l'opposition (ICSO), qui regroupe des partis et personnalités politiques au sein de l'Instance de la Coordination nationale pour les libertés et la transition démocratique (CNLTD). "La transition démocratique à laquelle nous appelons et pour laquelle nous nous mettons à votre service n'a de sens que si le peuple, dans toute sa composante, sa jeunesse et ses élites politiques et socioprofessionnelles est convaincu de sa justesse et de la sincérité des femmes et des hommes qui l'animent", a précisé ICSO dans un communiqué lu au siège du Mouvement pour la société et la paix (MSP). Pour ce faire, l'Instance de la Coordination nationale pour les libertés et la transition démocratique (CNLTD) a invité le peuple à l'accompagner dans son action pour que l'avenir de l'Algérie, a-t-elle précisé, "soit fondé sur la construction d'un destin collectif destiné à assurer aux Algériens les conditions d'une prospérité partagée dans une Algérie forte, stable et juste". Comment le peuple peut-il l'accompagner dans son action ? Le président du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD), Mohcène Belabbas, l'un des membres de la Coordination nationale pour les libertés et la transition démocratique (CNLTD) de l'Instance de concertation et de suivi de l'opposition (ICSO) explique cette action dans un entretien accordé à un confrère. D'abord, ditil, la première manière de nous accompagner est de faire sien le discours développé par cette classe politique (ICSO) qui s'est réunie dans le cadre d'une initiative visant une transition démocratique. Il ajoute, "plus il y a un débat au niveau des différentes couches de la société sur la question de la transition démocratique, de la vacance du pouvoir, des solutions pour faire redémarrer l'économie nationale, plus on réussira à sensibiliser le peuple algérien. Enfin, il y a lieu, selon lui, de le (le peuple) sensibiliser sur l'urgence de peser de façon à pousser ce pouvoir soit à venir à la table des négociations avec l'opposition, soit à céder le pouvoir et s'impliquer dans l'organisation d'une transition démocratique". Dans son communiqué, l'Instance de concertation et de suivi de l'opposition (ICSO) qui s'est dit convaincue que "sans le peuple algérien, source de tout pouvoir et dépositaire exclusive de la souveraineté nationale, aucune solution n'est possible ni viable", invite le peuple à adhérer à un processus salutaire dont l'objectif est l'instauration d'"un système démocratique et social seul en mesure, selon elle, d'assurer la justice, la liberté et l'égalité entre tous ses enfants". Le texte de l'Icso souligne que la "délicate" conjoncture régionale aurait dû servir, au moins, à alerter les tenants du pouvoir politique sur la nécessité d'engager de véritables réformes politiques et économiques pour mettre l'Algérie à l'abri, est-il mis en exergue , d'une autre "rupture violente" dans son histoire. Il est à signaler que le président du MSP, Abderrezak Mokri, le président du parti Jil Jadid, Djilali Sofiane et le secrétaire général d'Ennahda, Mohamed Douibi, et les anciens chefs du gouvernement Ali Benflis et Ahmed Benbitour étaient présents à la rencontre. "La transition démocratique à laquelle nous appelons et pour laquelle nous nous mettons à votre service n'a de sens que si le peuple, dans toute sa composante, sa jeunesse et ses élites politiques et socioprofessionnelles est convaincu de sa justesse et de la sincérité des femmes et des hommes qui l'animent", a précisé ICSO dans un communiqué lu au siège du Mouvement pour la société et la paix (MSP). Pour ce faire, l'Instance de la Coordination nationale pour les libertés et la transition démocratique (CNLTD) a invité le peuple à l'accompagner dans son action pour que l'avenir de l'Algérie, a-t-elle précisé, "soit fondé sur la construction d'un destin collectif destiné à assurer aux Algériens les conditions d'une prospérité partagée dans une Algérie forte, stable et juste". Comment le peuple peut-il l'accompagner dans son action ? Le président du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD), Mohcène Belabbas, l'un des membres de la Coordination nationale pour les libertés et la transition démocratique (CNLTD) de l'Instance de concertation et de suivi de l'opposition (ICSO) explique cette action dans un entretien accordé à un confrère. D'abord, ditil, la première manière de nous accompagner est de faire sien le discours développé par cette classe politique (ICSO) qui s'est réunie dans le cadre d'une initiative visant une transition démocratique. Il ajoute, "plus il y a un débat au niveau des différentes couches de la société sur la question de la transition démocratique, de la vacance du pouvoir, des solutions pour faire redémarrer l'économie nationale, plus on réussira à sensibiliser le peuple algérien. Enfin, il y a lieu, selon lui, de le (le peuple) sensibiliser sur l'urgence de peser de façon à pousser ce pouvoir soit à venir à la table des négociations avec l'opposition, soit à céder le pouvoir et s'impliquer dans l'organisation d'une transition démocratique". Dans son communiqué, l'Instance de concertation et de suivi de l'opposition (ICSO) qui s'est dit convaincue que "sans le peuple algérien, source de tout pouvoir et dépositaire exclusive de la souveraineté nationale, aucune solution n'est possible ni viable", invite le peuple à adhérer à un processus salutaire dont l'objectif est l'instauration d'"un système démocratique et social seul en mesure, selon elle, d'assurer la justice, la liberté et l'égalité entre tous ses enfants". Le texte de l'Icso souligne que la "délicate" conjoncture régionale aurait dû servir, au moins, à alerter les tenants du pouvoir politique sur la nécessité d'engager de véritables réformes politiques et économiques pour mettre l'Algérie à l'abri, est-il mis en exergue , d'une autre "rupture violente" dans son histoire. Il est à signaler que le président du MSP, Abderrezak Mokri, le président du parti Jil Jadid, Djilali Sofiane et le secrétaire général d'Ennahda, Mohamed Douibi, et les anciens chefs du gouvernement Ali Benflis et Ahmed Benbitour étaient présents à la rencontre.