Les participants à la journée d'étude sur le divorce et ses conséquences sur la cellule familiale, tenue jeudi à Batna, ont appelé, à des mesures spécifiques en faveur de la protection des enfants victimes de conflits conjugaux. Les participants à la journée d'étude sur le divorce et ses conséquences sur la cellule familiale, tenue jeudi à Batna, ont appelé, à des mesures spécifiques en faveur de la protection des enfants victimes de conflits conjugaux. Au cours de cette rencontre organisée à l'initiative de l'association de la protection de l'enfance et de personnes âgées, réunissant des spécialistes en droit, des chercheurs et des activistes des droits de la femme, un accent particulier a été mis sur la nécessité de respecter les droits de cette frange de la société et de la protéger contre les traumatismes et autre dangers. Intervenant lors de cette rencontre, la présidente de cette association, Narimane Meguellati a indiqué que cette rencontre est l'occasion de rappeler les réalisations sur le plan législatif et pratique, pour la défense des droits de l'enfant qui souffre le plus de la rupture de la cellule familiale. La même intervenante a relevé que la diffusion d'une culture juridique au sein du couple constitue un des facteurs essentiels de la protection des droits de l'enfant en cas de rupture de la relation conjugale. Elle a estimé à ce propos que les avocats peuvent jouer un rôle important dans la sensibilisation des époux en conflit, autour de l'importance du maintien du lien du mariage. Les participants ont souligné dans ce sens que le divorce, s'il demeure nécessaire dans certains cas de conflits conjugaux insolubles, doit être perçu comme un "dernier recours" en raison de ses conséquences, parfois dramatiques sur l'équilibre psychique des enfants. Si, pour les deux conjoints qui ne s'entendent plus, le divorce est la solution idéale, les enfants, eux, le ressentent comme un abandon. La conscientisation sur les implications sociales du mariage qui doit être vu comme un projet de construction d'une famille équilibrée, revêt une importance capitale, ont souligné les participants, qui ont reconnu la vulnérabilité des enfants victimes de conflits conjugaux. Au cours de cette rencontre organisée à l'initiative de l'association de la protection de l'enfance et de personnes âgées, réunissant des spécialistes en droit, des chercheurs et des activistes des droits de la femme, un accent particulier a été mis sur la nécessité de respecter les droits de cette frange de la société et de la protéger contre les traumatismes et autre dangers. Intervenant lors de cette rencontre, la présidente de cette association, Narimane Meguellati a indiqué que cette rencontre est l'occasion de rappeler les réalisations sur le plan législatif et pratique, pour la défense des droits de l'enfant qui souffre le plus de la rupture de la cellule familiale. La même intervenante a relevé que la diffusion d'une culture juridique au sein du couple constitue un des facteurs essentiels de la protection des droits de l'enfant en cas de rupture de la relation conjugale. Elle a estimé à ce propos que les avocats peuvent jouer un rôle important dans la sensibilisation des époux en conflit, autour de l'importance du maintien du lien du mariage. Les participants ont souligné dans ce sens que le divorce, s'il demeure nécessaire dans certains cas de conflits conjugaux insolubles, doit être perçu comme un "dernier recours" en raison de ses conséquences, parfois dramatiques sur l'équilibre psychique des enfants. Si, pour les deux conjoints qui ne s'entendent plus, le divorce est la solution idéale, les enfants, eux, le ressentent comme un abandon. La conscientisation sur les implications sociales du mariage qui doit être vu comme un projet de construction d'une famille équilibrée, revêt une importance capitale, ont souligné les participants, qui ont reconnu la vulnérabilité des enfants victimes de conflits conjugaux.