Apparemment, le Front des forces socialistes ne recule devant aucune embûche. Son premier secrétaire, Mohamed Nebbou, parle de reconduire des consultations avec d'autres partis. Quant à la tenue de la conférence, il n'a donné aucune échéance. Apparemment, le Front des forces socialistes ne recule devant aucune embûche. Son premier secrétaire, Mohamed Nebbou, parle de reconduire des consultations avec d'autres partis. Quant à la tenue de la conférence, il n'a donné aucune échéance. Le député Rachid Halat membre de la direction nationale du parti a déclaré: «Nous avons confiance, nous maintenons le cap et nous adapterons notre stratégie». Cela confirme les dires du secrétaire national du parti qui a confirmé récemment son attachement à l'initiative de la conférence nationale du consensus, une idée qui n'est pas morte mais a été différée sans donner une échéance précise. Son ultime appel aux partis et personnalités pour discuter ce projet sonne comme une façon où le FFS cherche à rendre crédible sa démarche aux yeux de l'opinion publique. Mohamed Nebbou n'a pas manqué de souligner que « l'initiative intéresse également la société civile» tout en annonçant qu'un meeting populaire est prévu le 18 de ce mois à Alger pour expliquer davantage ce projet. Selon Nebbou ce meeting sera « un nouveau souffle » pour redonner vie à l'initiative du consensus national. Reste à savoir si les autorités lui concèderont l'autorisation pour la tenue de ce rassemblement. Le parti de Nebbou compte désormais rendre populaire sa démarche après avoir réalisé une série de conférences et de meetings dans 30 wilayas. Pour les responsables du parti il s'agit « de provoquer chez les partenaires et les adversaires une prise de conscience que c'est une alternative incontournable pour le pays ». Les adversaires du FFS sont divisés en deux camps. Les uns voient dans la démarche du parti une sorte de « trahison » du camp démocrate qui considère qu'il n'y a aucune utilité à dialoguer avec le pouvoir. Les autres comme le FLN et le RND ont tourné le dos à ce projet car ils ne pouvaient supporter l'idée d'être des appuis de seconde zone. Après avoir reconnu l'échec de la tenue de cette conférence nationale en février dernier, le FFS ne s'avoue pas vaincu et met en branle sa stratégie de communication Le vieux parti de l'opposition semble réussir le pari de sortir de son état aussi large que possible en tablant sur la mobilisation populaire. Le changement opéré depuis que son leader Ait Ahmed s'est retiré des affaires, a vite abouti à mettre le parti dans sa participation dans la vie publique et de « grignoter » des parts à chaque élection législative ou communale. Les observateurs s'accordent à relever que la ligne «dure» et souvent irrévérencieuse envers le pouvoir a été abandonnée pour faire place à une sorte de real politique face aux derniers soubresauts du paysage politique. Le FFS mise à cet effet sur le temps où il doit mettre le paquet pour que son offre soit payante. Le député Rachid Halat membre de la direction nationale du parti a déclaré: «Nous avons confiance, nous maintenons le cap et nous adapterons notre stratégie». Cela confirme les dires du secrétaire national du parti qui a confirmé récemment son attachement à l'initiative de la conférence nationale du consensus, une idée qui n'est pas morte mais a été différée sans donner une échéance précise. Son ultime appel aux partis et personnalités pour discuter ce projet sonne comme une façon où le FFS cherche à rendre crédible sa démarche aux yeux de l'opinion publique. Mohamed Nebbou n'a pas manqué de souligner que « l'initiative intéresse également la société civile» tout en annonçant qu'un meeting populaire est prévu le 18 de ce mois à Alger pour expliquer davantage ce projet. Selon Nebbou ce meeting sera « un nouveau souffle » pour redonner vie à l'initiative du consensus national. Reste à savoir si les autorités lui concèderont l'autorisation pour la tenue de ce rassemblement. Le parti de Nebbou compte désormais rendre populaire sa démarche après avoir réalisé une série de conférences et de meetings dans 30 wilayas. Pour les responsables du parti il s'agit « de provoquer chez les partenaires et les adversaires une prise de conscience que c'est une alternative incontournable pour le pays ». Les adversaires du FFS sont divisés en deux camps. Les uns voient dans la démarche du parti une sorte de « trahison » du camp démocrate qui considère qu'il n'y a aucune utilité à dialoguer avec le pouvoir. Les autres comme le FLN et le RND ont tourné le dos à ce projet car ils ne pouvaient supporter l'idée d'être des appuis de seconde zone. Après avoir reconnu l'échec de la tenue de cette conférence nationale en février dernier, le FFS ne s'avoue pas vaincu et met en branle sa stratégie de communication Le vieux parti de l'opposition semble réussir le pari de sortir de son état aussi large que possible en tablant sur la mobilisation populaire. Le changement opéré depuis que son leader Ait Ahmed s'est retiré des affaires, a vite abouti à mettre le parti dans sa participation dans la vie publique et de « grignoter » des parts à chaque élection législative ou communale. Les observateurs s'accordent à relever que la ligne «dure» et souvent irrévérencieuse envers le pouvoir a été abandonnée pour faire place à une sorte de real politique face aux derniers soubresauts du paysage politique. Le FFS mise à cet effet sur le temps où il doit mettre le paquet pour que son offre soit payante.