Des dizaines d'habitants du villageagricole socialiste (VSA) ont fermé, hier, le siège de l'APC de Chabet El Ameur à l'est de Boumerdès, pour réclamer l'annulation du projet de réalisation d'une décharge contrôlée et le transfert de l'actuelle décharge sauvage située sur la RN 68. Des dizaines d'habitants du villageagricole socialiste (VSA) ont fermé, hier, le siège de l'APC de Chabet El Ameur à l'est de Boumerdès, pour réclamer l'annulation du projet de réalisation d'une décharge contrôlée et le transfert de l'actuelle décharge sauvage située sur la RN 68. Les villageois, excédés par les promesses non tenues des responsables locaux quant à l'éradication de ladite décharge, exigent des engagements concrets et écrits des élus locaux de prendre en charge leur principale revendication. Cette action de protestation est la troisième à être organisée en l'espace d'un mois après celle de la fermeture de la RN 68 pour exiger l'éradication de la décharge sauvage qui empoisonne le quotidien des habitants de toute la région. « On nous a promis de ne pas décharger des déchets ici, mais, au jour d'aujourd'hui nous continuons à apercevoir des camions et autres tracteurs de l'APC décharger des tonnes de détritus », tempête un manifestant qui ajoute que le jet des ordures devrait se faire au niveau du centre d'enfouissement technique (CET) de Corso. Outre cela, et par la même occasion, les villageois ont soulevé d'autres revendications pour améliorer leur conditions de vie au niveau dudit village agricole construit durant l'ère Boumediene et qui perdu son image d'antan. Ils réclament la réalisation d'un bureau de poste, un CEM, et une salle de sports. En plus de cela, ils exigent l'amélioration de l'alimentation en eau potable et la réfection du réseau AEP qui se trouve dansun état délabré. Une grande partie du village n'est toujours pas assaini alors que les fosses septiques sont dangereuses pour la santé publique. A l'heure où nous mettons sous presse, le siège de l'APC était totalement paralysé et le maire était interdit d'y accéder. Une commission de wilaya était attendue en fin de journée pour débattre des problèmes des villageois. Les villageois, excédés par les promesses non tenues des responsables locaux quant à l'éradication de ladite décharge, exigent des engagements concrets et écrits des élus locaux de prendre en charge leur principale revendication. Cette action de protestation est la troisième à être organisée en l'espace d'un mois après celle de la fermeture de la RN 68 pour exiger l'éradication de la décharge sauvage qui empoisonne le quotidien des habitants de toute la région. « On nous a promis de ne pas décharger des déchets ici, mais, au jour d'aujourd'hui nous continuons à apercevoir des camions et autres tracteurs de l'APC décharger des tonnes de détritus », tempête un manifestant qui ajoute que le jet des ordures devrait se faire au niveau du centre d'enfouissement technique (CET) de Corso. Outre cela, et par la même occasion, les villageois ont soulevé d'autres revendications pour améliorer leur conditions de vie au niveau dudit village agricole construit durant l'ère Boumediene et qui perdu son image d'antan. Ils réclament la réalisation d'un bureau de poste, un CEM, et une salle de sports. En plus de cela, ils exigent l'amélioration de l'alimentation en eau potable et la réfection du réseau AEP qui se trouve dansun état délabré. Une grande partie du village n'est toujours pas assaini alors que les fosses septiques sont dangereuses pour la santé publique. A l'heure où nous mettons sous presse, le siège de l'APC était totalement paralysé et le maire était interdit d'y accéder. Une commission de wilaya était attendue en fin de journée pour débattre des problèmes des villageois.