Le nouvel émissaire de l'Onu pour la paix entre Israéliens et Palestiniens a pressé, jeudi, les mouvements palestiniens de mettre fin à leurs divisions et Israël de lever son blocus sur la bande de Gaza, lors de sa première visite dans ce territoire. Le nouvel émissaire de l'Onu pour la paix entre Israéliens et Palestiniens a pressé, jeudi, les mouvements palestiniens de mettre fin à leurs divisions et Israël de lever son blocus sur la bande de Gaza, lors de sa première visite dans ce territoire. Nickolay Mladenov, nommé en février coordinateur spécial des Nations unies pour le processus de paix à la suite de Robert Serry, effectuait sa première visite à Gaza dans ses nouvelles fonctions alors que le territoire est en proie à une profonde crise humanitaire et économique. Huit mois après la guerre meurtrière de juillet-août 2014 avec Israël, la communauté internationale s'inquiète d'une nouvelle confrontation avec les Israéliens ou entre Palestiniens eux-mêmes. Malgré un accord de réconciliation et la formation d'un gouvernement d'union en 2014, le mouvement islamiste Hamas refuse de céder le pouvoir dans la bande de Gaza et de laisser l'Autorité palestinienne y reprendre la main. Mais le territoire exigu sur lequel s'entassent 1,8 million de Palestiniens entre Israël, l'Egypte et la Méditerranée reste aussi soumis à un strict blocus de la part d'Israël, alors que l'acheminement de matériaux est vital M. Mladenov prend ses fonctions alors que les perspectives de paix ont rarement paru plus sombres. Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a enterré l'idée d'un Etat palestinien pendant la campagne pour les législatives de mars. Après l'échec d'une nouvelle initiative américaine en 2014, le président palestinien, Mahmoud Abbas, a lui fait le choix de la confrontation diplomatique et judiciaire avec Israël dans les grandes institutions internationales. Nickolay Mladenov, nommé en février coordinateur spécial des Nations unies pour le processus de paix à la suite de Robert Serry, effectuait sa première visite à Gaza dans ses nouvelles fonctions alors que le territoire est en proie à une profonde crise humanitaire et économique. Huit mois après la guerre meurtrière de juillet-août 2014 avec Israël, la communauté internationale s'inquiète d'une nouvelle confrontation avec les Israéliens ou entre Palestiniens eux-mêmes. Malgré un accord de réconciliation et la formation d'un gouvernement d'union en 2014, le mouvement islamiste Hamas refuse de céder le pouvoir dans la bande de Gaza et de laisser l'Autorité palestinienne y reprendre la main. Mais le territoire exigu sur lequel s'entassent 1,8 million de Palestiniens entre Israël, l'Egypte et la Méditerranée reste aussi soumis à un strict blocus de la part d'Israël, alors que l'acheminement de matériaux est vital M. Mladenov prend ses fonctions alors que les perspectives de paix ont rarement paru plus sombres. Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a enterré l'idée d'un Etat palestinien pendant la campagne pour les législatives de mars. Après l'échec d'une nouvelle initiative américaine en 2014, le président palestinien, Mahmoud Abbas, a lui fait le choix de la confrontation diplomatique et judiciaire avec Israël dans les grandes institutions internationales.