Concernant les informations rapportées par certains médias sur le manquement des institutions algériennes spécialisées quant à la prise en charge du dossier de prévention du blanchiment d'argent et du financement du terrorisme, le ministre d'Etat, ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale Concernant les informations rapportées par certains médias sur le manquement des institutions algériennes spécialisées quant à la prise en charge du dossier de prévention du blanchiment d'argent et du financement du terrorisme, le ministre d'Etat, ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale Ramtane Lamamra, a affirmé avant-hier à Alger, que cela n'était qu'"une tempête dans un verre d'eau sans fondement aucun", soulignant que l'Algérie "a actualisé" ses lois en la matière. Il s'agit d'"une tempête dans un verre d'eau sans fondement aucun", a en effet déclaré Lamamra à la presse au terme d'une audience accordée à la présidente de l'Assemblée nationale de la République serbe, Maja Gojkovic, précisant que la question était "très simple". Il a précisé également que "du point de vue technique, des rapports sont adressés au groupe GAFI", faisant remarquer que "l'Algérie a actualisé ses lois et informé les parties concernées". GAFI (Groupe d'action financière) est un organisme intergouvernemental créé en 1989 lors du sommet du groupe des 7 à Paris. Il est chargé de la lutte contre le blanchiment d'argent à l'échelle internationale. "Du point de vue technique, ce groupe international rend publics des bulletins et recommande aux institutions bancaires de faire preuve de vigilance avec certains pays qui n'ont pas encore adapté leurs législations", a poursuivi Lamamra avant d'ajouter que l'"Algérie l'avait fait à travers l'enrichissement de ses lois et la mise en place de mécanismes qui veilleront à leur application". Le porte-parole du ministère des Affaires étrangères avait indiqué la veille : "En réaction à ce qui a été relayé par certains médias avec exagération et imprécision, voire parfois une désinformation, sur la prise en charge par les institutions algériennes spécialisées du dossier de prévention du blanchiment d'argent et du financement du terrorisme, ce dossier figure en tête des engagements internationaux de l'Algérie. Il n'est pas de nature à être traité à un niveau bilatéral avec aucun pays arabe ou autre". Lamamra a qualifié l'élimination de 25 terroristes à Bouira "d'opération audacieuse" et de "bond qualitatif" reflétant la capacité de l'Armée nationale populaire (ANP) et les services de sécurité à contrôler et à éradiquer les cellules terroristes, soulignant qu'il "ne reste que des résidus de terrorisme en Algérie". Le ministre s'est félicité de la capacité de l'ANP et des services de sécurité à contrôler et à éradiquer ces cellules (terroristes), précisant que "cela confirme plus que jamais que l'Algérie est pionnière dans la lutte antiterroriste". Lamamra a notamment mis en exergue "l'écho qu'a trouvé cette opération. Le monde entier est désormais convaincu qu'il y a des pays pionniers dans la lutte antiterroriste et l'Algérie est en tête de ces pays", a-t-il soutenu. Ce genre d'opérations "exige la mobilisation de forces spéciales", at- il poursuivi avant d'ajouter que le citoyen algérien "participe à sa manière à l'action visant à mettre un terme au phénomène du terrorisme en Algérie". M. Lamamra a affirmé dans ce contexte que "le monde entier reconnaît le professionnalisme des forces de sécurité et de l'ANP dans la lutte antiterroriste". "Il est important que d'autres parties puissent tirer profit de l'expérience de l'Algérie dans la lutte antiterroriste acquise grâce aux sacrifices de ses enfants", a-t-il encore souligné. Ramtane Lamamra, a affirmé avant-hier à Alger, que cela n'était qu'"une tempête dans un verre d'eau sans fondement aucun", soulignant que l'Algérie "a actualisé" ses lois en la matière. Il s'agit d'"une tempête dans un verre d'eau sans fondement aucun", a en effet déclaré Lamamra à la presse au terme d'une audience accordée à la présidente de l'Assemblée nationale de la République serbe, Maja Gojkovic, précisant que la question était "très simple". Il a précisé également que "du point de vue technique, des rapports sont adressés au groupe GAFI", faisant remarquer que "l'Algérie a actualisé ses lois et informé les parties concernées". GAFI (Groupe d'action financière) est un organisme intergouvernemental créé en 1989 lors du sommet du groupe des 7 à Paris. Il est chargé de la lutte contre le blanchiment d'argent à l'échelle internationale. "Du point de vue technique, ce groupe international rend publics des bulletins et recommande aux institutions bancaires de faire preuve de vigilance avec certains pays qui n'ont pas encore adapté leurs législations", a poursuivi Lamamra avant d'ajouter que l'"Algérie l'avait fait à travers l'enrichissement de ses lois et la mise en place de mécanismes qui veilleront à leur application". Le porte-parole du ministère des Affaires étrangères avait indiqué la veille : "En réaction à ce qui a été relayé par certains médias avec exagération et imprécision, voire parfois une désinformation, sur la prise en charge par les institutions algériennes spécialisées du dossier de prévention du blanchiment d'argent et du financement du terrorisme, ce dossier figure en tête des engagements internationaux de l'Algérie. Il n'est pas de nature à être traité à un niveau bilatéral avec aucun pays arabe ou autre". Lamamra a qualifié l'élimination de 25 terroristes à Bouira "d'opération audacieuse" et de "bond qualitatif" reflétant la capacité de l'Armée nationale populaire (ANP) et les services de sécurité à contrôler et à éradiquer les cellules terroristes, soulignant qu'il "ne reste que des résidus de terrorisme en Algérie". Le ministre s'est félicité de la capacité de l'ANP et des services de sécurité à contrôler et à éradiquer ces cellules (terroristes), précisant que "cela confirme plus que jamais que l'Algérie est pionnière dans la lutte antiterroriste". Lamamra a notamment mis en exergue "l'écho qu'a trouvé cette opération. Le monde entier est désormais convaincu qu'il y a des pays pionniers dans la lutte antiterroriste et l'Algérie est en tête de ces pays", a-t-il soutenu. Ce genre d'opérations "exige la mobilisation de forces spéciales", at- il poursuivi avant d'ajouter que le citoyen algérien "participe à sa manière à l'action visant à mettre un terme au phénomène du terrorisme en Algérie". M. Lamamra a affirmé dans ce contexte que "le monde entier reconnaît le professionnalisme des forces de sécurité et de l'ANP dans la lutte antiterroriste". "Il est important que d'autres parties puissent tirer profit de l'expérience de l'Algérie dans la lutte antiterroriste acquise grâce aux sacrifices de ses enfants", a-t-il encore souligné.