L'émission, l'Invité de la rédaction, de la Chaîne 3 de la Radio algérienne a reçu, avant-hier jeudi, au président de l'Association des banques et établissements financiers (Abef), Boualem Djebbar, pour expliciter les grandes lignes du crédit à la consommation des ménages, destiné, rappelle-t-il, à promouvoir la consommation des produits fabriqués localement et l'investissement. L'émission, l'Invité de la rédaction, de la Chaîne 3 de la Radio algérienne a reçu, avant-hier jeudi, au président de l'Association des banques et établissements financiers (Abef), Boualem Djebbar, pour expliciter les grandes lignes du crédit à la consommation des ménages, destiné, rappelle-t-il, à promouvoir la consommation des produits fabriqués localement et l'investissement. Signalant que les banques avaient, par le passé, pratiqué ce type de crédit, Boualem Djebbar prévient que celui-ci ne commencera réellement à prendre effet que lorsque sera devenue opérationnelle la centrale de risques, un organisme chargé, entre autres activités, "d'éviter les endettements des ménages". Cette centrale, indique-t-il, devrait entrer en activité, "vers septembre et c'est à partir de ce moment, que le crédit à la consommation débutera réellement", assure M. Djebbar. Le président de l'Abef précise en outre que les crédits consentis par les banques le seront à hauteur de 30 % du revenu du demandeur, que les taux d'intérêt réclamés, "quoi que non encore fixés, devraient sesituer entre 6 à 7 % de la somme débloquée et, que les délais de remboursement pourraient s'échelonner entre 3 mois à cinq années, compte tenu du prix des équipements acquis". Mais, avant de passer à la phase pratique de cette opération, Boualem Djebbar explique que les établissements financiers attendent, encore, d'obtenir des précisions sur les produits soumis au crédit, "qu'elles sont libres ou pas d'accorder et à quel taux d'intégration doivent répondre les articles sollicités pour être éligibles à un emprunt". Signalant que les banques avaient, par le passé, pratiqué ce type de crédit, Boualem Djebbar prévient que celui-ci ne commencera réellement à prendre effet que lorsque sera devenue opérationnelle la centrale de risques, un organisme chargé, entre autres activités, "d'éviter les endettements des ménages". Cette centrale, indique-t-il, devrait entrer en activité, "vers septembre et c'est à partir de ce moment, que le crédit à la consommation débutera réellement", assure M. Djebbar. Le président de l'Abef précise en outre que les crédits consentis par les banques le seront à hauteur de 30 % du revenu du demandeur, que les taux d'intérêt réclamés, "quoi que non encore fixés, devraient sesituer entre 6 à 7 % de la somme débloquée et, que les délais de remboursement pourraient s'échelonner entre 3 mois à cinq années, compte tenu du prix des équipements acquis". Mais, avant de passer à la phase pratique de cette opération, Boualem Djebbar explique que les établissements financiers attendent, encore, d'obtenir des précisions sur les produits soumis au crédit, "qu'elles sont libres ou pas d'accorder et à quel taux d'intégration doivent répondre les articles sollicités pour être éligibles à un emprunt".