La secrétaire générale du Parti des travailleurs (PT), Louisa Hanoune, a trouvé une nouvelle cible qui a pour nom l'oligarchie. Cette dernière est en effet attaquée sans ménagement par la première responsable du PT depuis quelques semaines. La secrétaire générale du Parti des travailleurs (PT), Louisa Hanoune, a trouvé une nouvelle cible qui a pour nom l'oligarchie. Cette dernière est en effet attaquée sans ménagement par la première responsable du PT depuis quelques semaines. Hier encore c'était le cas. A l'occasion d'une rencontre des cadres du parti du centre du pays, Louisa Hanoune s'est déchaînée contre cette nouvelle caste qui, selon ses propos, menace les fondements de l'Etat. "L'oligarchie est un danger pour l'Etat" a, ainsi, indiqué Louisa Hanoune hier lors de cette rencontre organisée à la salle El- Mougar d'Alger avant d'ajouter que "l'oligarchie prédatrice veut même prendre le pouvoir, mais nous allons lutter contre". Dans ce contexte Louisa Hanoune a particulièrement ciblé le président du Forum des chefs d'entreprise, Ali Haddad, sans le nommer une seule fois. Ali Haddad est devenu sa cible de prédilection et elle a critiqué ses dernières attaques contre l'université algérienne et ses déclarations sur la nécessité de privatiser tous les secteurs d'activités. "Cela constitue un danger pour les acquis sociaux, mais on ne va pas les laisser s'en prendre à ces acquis pour lesquels 1,5 million de martyrs se sont sacrifiés" a-t-elle indiqué précisant "que le fossé s'élargit entre la majorité et les nouveaux riches qui présentent un caractère provocateur". Très remontée contre l'oligarchie, elle a aussi tiré la sonnette d'alarme en estimant qu'elle constitue un véritable danger pour le multipartisme et la liberté d'expression. Elle s'est toutefois montrée optimiste quant à la réaction du peuple algérien qui, diratelle "ne permettra pas l'effondrement de l'Etat". Louisa Haroune a, à ce propos, interpellé le président de la République en considérant que lui aussi "ne permettrait pas cela. Monsieur le Président faites taire le chant des sirènes, celui de l'oligarchie" a-t-elle souligné. Comme elle l'a exhorté à rendre la parole au peuple et a mettre fin au chaos et à l'anarchie en Algérie. La secrétaire générale du PT a aussi épinglé certains ministres qui représentent l'oligarchie. Dans la foulée, elle s'est montrée très préoccupée par la nomination d'un ministre des Finances qui a des certitudes quant à la parité du dinar et la privatisation des entreprises publiques à travers leur introduction en Bourse. "Est-ce que ce ministre va appliquer la politique qu'il défendait avant sa nomination ?", s'est-elle particulièrement interrogée. Elle s'est aussi interrogée sur la politique que va suivre le nouveau ministre des Transports en soutenant qu'elle est contre la privatisation et l'ouverture du marché national aux entreprises low cost. "Il faut renforcer Air Algérie et Tassili Airlines" dira-t-elle. Dans le même contexte, elle a critiqué le projet de loi sur la santé. "La contractualisation va remettre en cause la gratuité des soins", a-t-elle affirmé à ce propos en appelant les militants du parti à la résistance et en tirant la sonnette d'alarme sur cette inclination à vouloir remettre en cause les acquis sociaux. Elle s'est d'ailleurs étonnée du report de la mise en application de l'abrogation de l'article 87 bis. Hier encore c'était le cas. A l'occasion d'une rencontre des cadres du parti du centre du pays, Louisa Hanoune s'est déchaînée contre cette nouvelle caste qui, selon ses propos, menace les fondements de l'Etat. "L'oligarchie est un danger pour l'Etat" a, ainsi, indiqué Louisa Hanoune hier lors de cette rencontre organisée à la salle El- Mougar d'Alger avant d'ajouter que "l'oligarchie prédatrice veut même prendre le pouvoir, mais nous allons lutter contre". Dans ce contexte Louisa Hanoune a particulièrement ciblé le président du Forum des chefs d'entreprise, Ali Haddad, sans le nommer une seule fois. Ali Haddad est devenu sa cible de prédilection et elle a critiqué ses dernières attaques contre l'université algérienne et ses déclarations sur la nécessité de privatiser tous les secteurs d'activités. "Cela constitue un danger pour les acquis sociaux, mais on ne va pas les laisser s'en prendre à ces acquis pour lesquels 1,5 million de martyrs se sont sacrifiés" a-t-elle indiqué précisant "que le fossé s'élargit entre la majorité et les nouveaux riches qui présentent un caractère provocateur". Très remontée contre l'oligarchie, elle a aussi tiré la sonnette d'alarme en estimant qu'elle constitue un véritable danger pour le multipartisme et la liberté d'expression. Elle s'est toutefois montrée optimiste quant à la réaction du peuple algérien qui, diratelle "ne permettra pas l'effondrement de l'Etat". Louisa Haroune a, à ce propos, interpellé le président de la République en considérant que lui aussi "ne permettrait pas cela. Monsieur le Président faites taire le chant des sirènes, celui de l'oligarchie" a-t-elle souligné. Comme elle l'a exhorté à rendre la parole au peuple et a mettre fin au chaos et à l'anarchie en Algérie. La secrétaire générale du PT a aussi épinglé certains ministres qui représentent l'oligarchie. Dans la foulée, elle s'est montrée très préoccupée par la nomination d'un ministre des Finances qui a des certitudes quant à la parité du dinar et la privatisation des entreprises publiques à travers leur introduction en Bourse. "Est-ce que ce ministre va appliquer la politique qu'il défendait avant sa nomination ?", s'est-elle particulièrement interrogée. Elle s'est aussi interrogée sur la politique que va suivre le nouveau ministre des Transports en soutenant qu'elle est contre la privatisation et l'ouverture du marché national aux entreprises low cost. "Il faut renforcer Air Algérie et Tassili Airlines" dira-t-elle. Dans le même contexte, elle a critiqué le projet de loi sur la santé. "La contractualisation va remettre en cause la gratuité des soins", a-t-elle affirmé à ce propos en appelant les militants du parti à la résistance et en tirant la sonnette d'alarme sur cette inclination à vouloir remettre en cause les acquis sociaux. Elle s'est d'ailleurs étonnée du report de la mise en application de l'abrogation de l'article 87 bis.