Le ministre d'Etat, ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Ramtane Lamamra, a affirmé vendredi à Johannesburg que la solution à la situation en Libye devra être " politique, globale et indubitablement libyenne ", en rappelant le soutien de l'Algérie aux populations libyennes qui sont victimes d'une crise humanitaire grave. Le ministre d'Etat, ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Ramtane Lamamra, a affirmé vendredi à Johannesburg que la solution à la situation en Libye devra être " politique, globale et indubitablement libyenne ", en rappelant le soutien de l'Algérie aux populations libyennes qui sont victimes d'une crise humanitaire grave. M. Lamamra, qui a pris part en marge des travaux du Conseil exécutif de l'Union africaine, à la 4ème réunion du Groupe International de Contact sur la Libye, a réaffirmé que " la solution à la situation en Libye devra être politique, globale et indubitablement libyenne ", ajoutant que seule une solution politique peut créer les conditions d'une contribution de la Libye pour " assurer une riposte effective à tous les phénomènes sérieux que sont le terrorisme, la migration illégale, le trafic d'armes et autres ". Il a, à cette occasion, réitéré " le soutien de l'Algérie aux populations libyennes " qui sont victimes d'une crise humanitaire grave, appelant à une mobilisation accrue de la communauté internationale. Le ministre d'Etat, intervenant au nom du Comité ministériel des pays voisins de la Libye, a appelé, à cette occasion, à " une contribution multiforme" pour assister la Libye à réussir sa sortie de crise à travers " le dialogue inclusif et la réconciliation nationale ". Après avoir rappelé que c'est à l'initiative de l'Algérie que le Groupe des pays voisins a été opportunément constitué, il a mis en évidence les contacts que l'Algérie a pris avec l'ensemble des sensibilités qui s'expriment dans la société libyenne. Il a également souligné les précieux concours que la diplomatie algérienne a apporté à l'action du Représentant spécial des Nations unies Bernardino Léon, en indiquant que les trois séries de réunions de dialogue inter-libyen tenues à Alger entre les chefs de partis politiques libyens ont été significatives en termes de promotion de la compréhension et de la confiance entre parties prenantes libyennes, ce qui facilite le rapprochement des positions autour de la 4ème mouture du projet de solution présentée par Bernardino Léon. "La situation, à ce stade, nécessite un effort de cohérence des démarches et une convergence vers un processus unificateur", a indiqué M. Lamamra. Il a salué, à ce titre, les efforts de l'Envoyé spécial du Secrétaire général des Nations unies pour la Libye et a invité toutes les parties libyennes à faire preuve de responsabilité et d'adhérer à ces efforts en vue d'aboutir à une solution rapide à la crise dans ce pays frère. M. Lamamra a ajouté que " la réconciliation nationale et la mise en place d'un gouvernement de consensus permettra à la Libye de disposer des moyens considérables ", y compris financiers, pour jouer un rôle clé dans la mise en oeuvre de l'Agenda de paix, de sécurité et de développement de l'Union africaine ainsi que dans les préoccupations de la communauté internationale concernant le terrorisme et les mouvements transfrontaliers des personnes migrantes. La rencontre des ministres des Affaires étrangères des Etats voisins de la Libye, des représentants spéciaux des Nations unies et de l'Union africaine pour la Libye ainsi que d'autres représentants de la communauté internationale, a été saisie des derniers développements intervenus sur la scène libyenne. M. Lamamra, qui a pris part en marge des travaux du Conseil exécutif de l'Union africaine, à la 4ème réunion du Groupe International de Contact sur la Libye, a réaffirmé que " la solution à la situation en Libye devra être politique, globale et indubitablement libyenne ", ajoutant que seule une solution politique peut créer les conditions d'une contribution de la Libye pour " assurer une riposte effective à tous les phénomènes sérieux que sont le terrorisme, la migration illégale, le trafic d'armes et autres ". Il a, à cette occasion, réitéré " le soutien de l'Algérie aux populations libyennes " qui sont victimes d'une crise humanitaire grave, appelant à une mobilisation accrue de la communauté internationale. Le ministre d'Etat, intervenant au nom du Comité ministériel des pays voisins de la Libye, a appelé, à cette occasion, à " une contribution multiforme" pour assister la Libye à réussir sa sortie de crise à travers " le dialogue inclusif et la réconciliation nationale ". Après avoir rappelé que c'est à l'initiative de l'Algérie que le Groupe des pays voisins a été opportunément constitué, il a mis en évidence les contacts que l'Algérie a pris avec l'ensemble des sensibilités qui s'expriment dans la société libyenne. Il a également souligné les précieux concours que la diplomatie algérienne a apporté à l'action du Représentant spécial des Nations unies Bernardino Léon, en indiquant que les trois séries de réunions de dialogue inter-libyen tenues à Alger entre les chefs de partis politiques libyens ont été significatives en termes de promotion de la compréhension et de la confiance entre parties prenantes libyennes, ce qui facilite le rapprochement des positions autour de la 4ème mouture du projet de solution présentée par Bernardino Léon. "La situation, à ce stade, nécessite un effort de cohérence des démarches et une convergence vers un processus unificateur", a indiqué M. Lamamra. Il a salué, à ce titre, les efforts de l'Envoyé spécial du Secrétaire général des Nations unies pour la Libye et a invité toutes les parties libyennes à faire preuve de responsabilité et d'adhérer à ces efforts en vue d'aboutir à une solution rapide à la crise dans ce pays frère. M. Lamamra a ajouté que " la réconciliation nationale et la mise en place d'un gouvernement de consensus permettra à la Libye de disposer des moyens considérables ", y compris financiers, pour jouer un rôle clé dans la mise en oeuvre de l'Agenda de paix, de sécurité et de développement de l'Union africaine ainsi que dans les préoccupations de la communauté internationale concernant le terrorisme et les mouvements transfrontaliers des personnes migrantes. La rencontre des ministres des Affaires étrangères des Etats voisins de la Libye, des représentants spéciaux des Nations unies et de l'Union africaine pour la Libye ainsi que d'autres représentants de la communauté internationale, a été saisie des derniers développements intervenus sur la scène libyenne.