C'est vers une heure tardive que le rideau est tombé sur la 10e édition du Festival de la musique et de la chanson citadines qui s'est déroulé dans la grande salle du théâtre régional Azzedine-Medjoubi de Annaba, et qui s'est étendu sur 9 soirées artistiques des plus conviviales. C'est vers une heure tardive que le rideau est tombé sur la 10e édition du Festival de la musique et de la chanson citadines qui s'est déroulé dans la grande salle du théâtre régional Azzedine-Medjoubi de Annaba, et qui s'est étendu sur 9 soirées artistiques des plus conviviales. La cérémonie de clôture de cette édition de la musique et de la chanson citadines, qui a séduit tout au long de son déroulement, s'est distinguée par la production de l'Algérienne Nassima Chaâbane et la Tunisienne Sirine Benmoussa. Un concert de musique andalouse, qualifié de haute facture par les mélomanes présents. Les deux artistes ont interprété devant le public très nombreux qui a pris place dans la salle du théâtre régional Azzedine-Medjoubi, des morceaux de Maqamat andalouses puisées du patrimoine musical maghrébin authentique. La Tunisienne Sirine a entamé son tour de chant par des Mouwachahate raffinées de malouf avant d'enchaîner par des chansonnettes citadines légères dont Ardhouni zoudj sbaya et Chahlat laâyani. L'artiste a tenu à saluer, au début de son concert, "l'élan de solidarité manifesté par le peuple algérien à l'égard de la Tunisie, meurtrie par les évènements de Sousse". Pour sa part, la native de la ville des Roses (Blida), Nassima Chaâbane, également virtuose de l'Oud (luthe), a commencé sa prestation par l'interprétation du poème mystique de l'Emir Abdelkader Ana El hib oua mahboub avant de poursuivre par un cocktail de Haouzi et de flamenco avec Koulou Lechehlet laâyani, Hiya hiya bent bladi et Ya belarej ya touil el kayma au milieu des youyous des femmes présentes. La soirée de clôture du festival a proposé au public de magnifiques tableaux chorégraphiques exécutés par les danseurs de la troupe Ista de Tamanrasset et des intermèdes de rire avec le duo annabi Lotfi et Noufel. Leur prestation a capté l'intérêt de l'assistance présente qui a répondu par des ovations nourries. Depuis quatre années déjà, le festival n'aurait jamais atteint, au fil des éditions, le remarquable succès dont il peut aujourd'hui se prévaloir, sans l'implication des responsables locaux de la culture. Rien qu'à voir l'engouement des familles bônoises lors de cette édition, pour dire que ce festival qui fait la fierté de la Coquette est un succès. Entre moments de grande émotion, évocation, hommage, retrouvailles, chaleur échangée entre artistes, chants et ambiance, cette édition était une grande réussite. En somme, cette nouvelle édition a dépassé les attentes des Bônois, lesquels espèrent vivement la prochaine édition. Organisé par la Direction de la culture et le théâtre régional Azzedine-Medjoubi, le festival a vu la participation de nombreux artistes, qu'ils soient stars consacrées ou jeunes chanteurs de malouf et de chaâbi. Plusieurs communes ont également profité des soirées de cette manifestation puisque des concerts ont été organisés à El Hadjar, Sidi-Amar, Berrahal et Seraïdi. La cérémonie de clôture de cette édition de la musique et de la chanson citadines, qui a séduit tout au long de son déroulement, s'est distinguée par la production de l'Algérienne Nassima Chaâbane et la Tunisienne Sirine Benmoussa. Un concert de musique andalouse, qualifié de haute facture par les mélomanes présents. Les deux artistes ont interprété devant le public très nombreux qui a pris place dans la salle du théâtre régional Azzedine-Medjoubi, des morceaux de Maqamat andalouses puisées du patrimoine musical maghrébin authentique. La Tunisienne Sirine a entamé son tour de chant par des Mouwachahate raffinées de malouf avant d'enchaîner par des chansonnettes citadines légères dont Ardhouni zoudj sbaya et Chahlat laâyani. L'artiste a tenu à saluer, au début de son concert, "l'élan de solidarité manifesté par le peuple algérien à l'égard de la Tunisie, meurtrie par les évènements de Sousse". Pour sa part, la native de la ville des Roses (Blida), Nassima Chaâbane, également virtuose de l'Oud (luthe), a commencé sa prestation par l'interprétation du poème mystique de l'Emir Abdelkader Ana El hib oua mahboub avant de poursuivre par un cocktail de Haouzi et de flamenco avec Koulou Lechehlet laâyani, Hiya hiya bent bladi et Ya belarej ya touil el kayma au milieu des youyous des femmes présentes. La soirée de clôture du festival a proposé au public de magnifiques tableaux chorégraphiques exécutés par les danseurs de la troupe Ista de Tamanrasset et des intermèdes de rire avec le duo annabi Lotfi et Noufel. Leur prestation a capté l'intérêt de l'assistance présente qui a répondu par des ovations nourries. Depuis quatre années déjà, le festival n'aurait jamais atteint, au fil des éditions, le remarquable succès dont il peut aujourd'hui se prévaloir, sans l'implication des responsables locaux de la culture. Rien qu'à voir l'engouement des familles bônoises lors de cette édition, pour dire que ce festival qui fait la fierté de la Coquette est un succès. Entre moments de grande émotion, évocation, hommage, retrouvailles, chaleur échangée entre artistes, chants et ambiance, cette édition était une grande réussite. En somme, cette nouvelle édition a dépassé les attentes des Bônois, lesquels espèrent vivement la prochaine édition. Organisé par la Direction de la culture et le théâtre régional Azzedine-Medjoubi, le festival a vu la participation de nombreux artistes, qu'ils soient stars consacrées ou jeunes chanteurs de malouf et de chaâbi. Plusieurs communes ont également profité des soirées de cette manifestation puisque des concerts ont été organisés à El Hadjar, Sidi-Amar, Berrahal et Seraïdi.