Les 10 nouvelles wilayas créées au sud du pays ont besoin d'un financement conséquent estimé à 60 milliards de dinars. Mais pour l'heure, ces nouvelles circonscriptions seront gérées par les walis du Sud faute d'infrastructures et d'institutions publiques. Les 10 nouvelles wilayas créées au sud du pays ont besoin d'un financement conséquent estimé à 60 milliards de dinars. Mais pour l'heure, ces nouvelles circonscriptions seront gérées par les walis du Sud faute d'infrastructures et d'institutions publiques. C'est ce qui ressort des propos des responsables du gouvernement qui indiquent que ces nouvelles wilayas, créées suite à la décision du 24 mai dernier, sont dans le besoin « d'être financées durablement ». En effet, le nouveau découpage administratif qui, rappelons-le, concerne des nouvelles wilayas au Sud concernent les régions d'Adrar, Tamanrasset, Biskra, Béchar, Ouargla, Illizi, El-Oued, Ghardaïa. Le Premier ministre vient d'instruire les walis de ces régions de prendre en charge administrativement les nouvelles circonscriptions en récupérant d'abord les anciennes bâtisses pour en faire les sièges de ces nouvelles wilayas. Les walis délégués de ces nouvelles entités sont donc placés sous l'autorité de tutelle des walis qui vont coordonner les activités qui nécessitent actuellement un plan de démarrage des infrastructures. Sur ce plan, des sources indiquent que beaucoup de chantiers sont en cours de réalisation mais il faudra du temps et de l'argent pour les réaliser. Mais avec l'austérité budgétaire votée et approuvée par les hautes autorités, il sera assez difficile de mettre à exécution tous les chantiers attendus dans ces nouvelles wilayas. Ces dernières seront entièrement dépendantes des budgets des wilayas de tutelle. Pour les experts ayant travaillé sur la confection du plan de découpage des nouvelles wilayas du Sud, ces dernières sont « coûteuses pour la collectivité nationale ». Ceci illustre que la conjoncture actuelle n'est pas le bon moment pour gérer efficacement ces circonscriptions issues du schéma national de l'aménagement du territoire. Le but politique de la création de ces nouvelles villes sahariennes est de permettre le décloisonnement des régions du Sud et de leur créer des conditions de développement au même titre que les autres wilayas du Sud. Les populations de ces régions s'estimaient lésés et marginalisés au point où leurs citoyens devaient faire des kilomètres pour obtenir des documents administratifs ou pour des soins de santé. L'Etat compte, à cet effet, remédier à ces manquements, en favorisant progressivement ces nouveaux pôles. Il a été décidé de favoriser l'auto-construction pour les habitants de ces nouvelles circonscriptions administratives et d'interdire toute construction ou habitat près des palmeraies pour préserver ces ressources naturelles de toute érosion ou attaque qui pourrait leur nuire. Une autre décision a été prise dernièrement, celle de favoriser l'émergence de villes avec leur attractivité et leur spécificité. Les nouveaux walis installés dans ces régions sont obligés de communiquer leur plan de développement à la chefferie du gouvernement pour approbation ou non des propositions de développement. Actuellement, il s'agit d'accorder une priorité au transport, à l''éducation et à la santé dans ces « nouveaux territoires ». Ainsi les voies ferrées devant relier ces nouvelles wilayas sont en cours de finalisation. Sur le plan des projets de santé, des hôpitaux et polycliniques sont aussi sur la bonne voie. Pour les investissements, le tourisme reste le secteur d'excellence sur lequel mise le nouveau plan de développement. Le gouvernement espère qu'en 2016 tous les projets seront réalisés. C'est ce qui ressort des propos des responsables du gouvernement qui indiquent que ces nouvelles wilayas, créées suite à la décision du 24 mai dernier, sont dans le besoin « d'être financées durablement ». En effet, le nouveau découpage administratif qui, rappelons-le, concerne des nouvelles wilayas au Sud concernent les régions d'Adrar, Tamanrasset, Biskra, Béchar, Ouargla, Illizi, El-Oued, Ghardaïa. Le Premier ministre vient d'instruire les walis de ces régions de prendre en charge administrativement les nouvelles circonscriptions en récupérant d'abord les anciennes bâtisses pour en faire les sièges de ces nouvelles wilayas. Les walis délégués de ces nouvelles entités sont donc placés sous l'autorité de tutelle des walis qui vont coordonner les activités qui nécessitent actuellement un plan de démarrage des infrastructures. Sur ce plan, des sources indiquent que beaucoup de chantiers sont en cours de réalisation mais il faudra du temps et de l'argent pour les réaliser. Mais avec l'austérité budgétaire votée et approuvée par les hautes autorités, il sera assez difficile de mettre à exécution tous les chantiers attendus dans ces nouvelles wilayas. Ces dernières seront entièrement dépendantes des budgets des wilayas de tutelle. Pour les experts ayant travaillé sur la confection du plan de découpage des nouvelles wilayas du Sud, ces dernières sont « coûteuses pour la collectivité nationale ». Ceci illustre que la conjoncture actuelle n'est pas le bon moment pour gérer efficacement ces circonscriptions issues du schéma national de l'aménagement du territoire. Le but politique de la création de ces nouvelles villes sahariennes est de permettre le décloisonnement des régions du Sud et de leur créer des conditions de développement au même titre que les autres wilayas du Sud. Les populations de ces régions s'estimaient lésés et marginalisés au point où leurs citoyens devaient faire des kilomètres pour obtenir des documents administratifs ou pour des soins de santé. L'Etat compte, à cet effet, remédier à ces manquements, en favorisant progressivement ces nouveaux pôles. Il a été décidé de favoriser l'auto-construction pour les habitants de ces nouvelles circonscriptions administratives et d'interdire toute construction ou habitat près des palmeraies pour préserver ces ressources naturelles de toute érosion ou attaque qui pourrait leur nuire. Une autre décision a été prise dernièrement, celle de favoriser l'émergence de villes avec leur attractivité et leur spécificité. Les nouveaux walis installés dans ces régions sont obligés de communiquer leur plan de développement à la chefferie du gouvernement pour approbation ou non des propositions de développement. Actuellement, il s'agit d'accorder une priorité au transport, à l''éducation et à la santé dans ces « nouveaux territoires ». Ainsi les voies ferrées devant relier ces nouvelles wilayas sont en cours de finalisation. Sur le plan des projets de santé, des hôpitaux et polycliniques sont aussi sur la bonne voie. Pour les investissements, le tourisme reste le secteur d'excellence sur lequel mise le nouveau plan de développement. Le gouvernement espère qu'en 2016 tous les projets seront réalisés.