La trêve visant à permettre l'acheminement d'une aide humanitaire aux milliers de personnes en détresse au Yémen a déjà été violée à plusieurs reprises samedi, quelques heures seulement après son entrée en vigueur. Le Conseil de sécurité de l'Onu avait exhorté, vendredi, tous les belligérants à respecter cette pause humanitaire, censée durer de vendredi 23h59 locales (20h59 GMT) à la fin de Ramadhan, soit le 17 juillet. Mais samedi matin, le pays a été de nouveau le théâtre de violents combats et de raids aériens de la coalition arabe menée par Ryad contre les rebelles chiites Houthis. La trêve visant à permettre l'acheminement d'une aide humanitaire aux milliers de personnes en détresse au Yémen a déjà été violée à plusieurs reprises samedi, quelques heures seulement après son entrée en vigueur. Le Conseil de sécurité de l'Onu avait exhorté, vendredi, tous les belligérants à respecter cette pause humanitaire, censée durer de vendredi 23h59 locales (20h59 GMT) à la fin de Ramadhan, soit le 17 juillet. Mais samedi matin, le pays a été de nouveau le théâtre de violents combats et de raids aériens de la coalition arabe menée par Ryad contre les rebelles chiites Houthis. Des avions de la coalition ont visé des positions rebelles dans la ville de Taëz (Centre), où faisaient rage des affrontements entre ces insurgés soutenus par l'Iran et les combattants fidèles au président yéménite en exil, Abd Rabbo Mansour Hadi, ont rapporté des témoins. Les Houthis ont bombardé plusieurs quartiers de Taëz, selon les mêmes sources. L'agence de presse officielle du Yémen, contrôlée par le gouvernement en exil, a accusé les Houthis et les troupes loyales à l'ancien président Ali Abdallah Saleh d'avoir envoyé des renforts à Taëz avant la trêve. Agence Des avions de la coalition ont visé des positions rebelles dans la ville de Taëz (Centre), où faisaient rage des affrontements entre ces insurgés soutenus par l'Iran et les combattants fidèles au président yéménite en exil, Abd Rabbo Mansour Hadi, ont rapporté des témoins. Les Houthis ont bombardé plusieurs quartiers de Taëz, selon les mêmes sources. L'agence de presse officielle du Yémen, contrôlée par le gouvernement en exil, a accusé les Houthis et les troupes loyales à l'ancien président Ali Abdallah Saleh d'avoir envoyé des renforts à Taëz avant la trêve. Agence