Des citoyens ont appelé à défendre la qualité du logement qu'ils vont habiter. C'est ce qui ressort du collectif des souscripteurs au logement promotionnel public (CSLPP) qui réitère à travers son appel pour l'amélioration de la qualité de finition des logements et à revoir les prix des logements à la baisse. Des citoyens ont appelé à défendre la qualité du logement qu'ils vont habiter. C'est ce qui ressort du collectif des souscripteurs au logement promotionnel public (CSLPP) qui réitère à travers son appel pour l'amélioration de la qualité de finition des logements et à revoir les prix des logements à la baisse. Ce collectif qui rassemble plusieurs acquéreurs de LPP de toutes les wilayas veut se faire entendre à travers ces actions pour défendre ses intérêts concernant la qualité et les prix des logements à venir. Pour une première action, ce collectif a pu réunir pas moins de 400 souscripteurs au programme LPP, qui se sont rassemblés dernièrement à Bordj El Kiffan, pour signifier aux autorités tout un slogan : « Non aux crédits avec intérêts, oui pour le bon rapport qualité/prix ». Le collectif qui a vu son jour en juillet 2013 a exposé toutes les contraintes liées au programme de LPP. Il a en outre exposé dans une lettre au ministre de l'Habitat et au DG de l'ENPI (Entreprise nationale de la promotion immobilière) les inquiétudes sur les ambiguïtés dans le prix de ces logements qu'ils estiment hors de prix pour une classe moyenne qui espère une acquisition dans les normes de ces logements. Le collectif de ces souscripteurs déplore « le manque d'informations fournies par l'ENPI, qui est le promoteur public de cette nouvelle formule de logement destinée aux cadres, dans le revenu mensuel varie entre 108.000 DA et 216.000 DA ». Ces derniers exigent d'être impliqués dans les programmes de distribution de ces logements dont ils dénoncent une certaine opacité entourant la remise des clés à quelques uns. Le collectif a aussi dénoncé l'absence de soutien de financement sachant que seul le crédit bancaire ouvre le droit à l'acquisition de ces logements avec un taux d'intérêt qui ne rend pas la tâche facile pour ces futurs acquéreurs. La plupart de ces souscripteurs se sont endettés pour l'achat de leurs logements. Certaines rumeurs disent que ces logements sont conçus pour le haut standing où habitent les cadres supérieurs de l'Etat et quelques riches personnes. Mais pour le collectif, il n'est rien de tout cela car ce programme est financé par l'Etat et sa promotion comme l'indique est gérée par une entreprise publique. Les souscripteurs se disent confus que le logement public locatif ressemble à celui de la formule AADL qui est une formule destinée pour une classe sociale moins aisée. Ils déplorent le manque de qualité relevée dans certains appartements ne respectant pas le cahier des charges qui indique que ces logements sont élaborés selon le critère d'un standing supérieur avec ses propres commodités. Cependant, le collectif des souscripteurs signale un autre problème qui est celui de « la publication officielle de tous les sites LPP et en particulier à Alger et clarifier les critères des affectations des logements et intégrant l'opportunité de fiche de vœux aux souscripteurs comme critère principal de choix». En tout et pour tout, seuls quelques milliers de logements LPP ont pu être achevés mais le ministre de l'Habitat, Abdelmadjid Tebboune, affirme que le programme LPP suit son cours face aux efforts de l'Etat par rapport à une demande exigeant de satisfaire 250.000 logements par an alors que les capacités de réalisation sont de 80.000 unités annuellement. Ce collectif qui rassemble plusieurs acquéreurs de LPP de toutes les wilayas veut se faire entendre à travers ces actions pour défendre ses intérêts concernant la qualité et les prix des logements à venir. Pour une première action, ce collectif a pu réunir pas moins de 400 souscripteurs au programme LPP, qui se sont rassemblés dernièrement à Bordj El Kiffan, pour signifier aux autorités tout un slogan : « Non aux crédits avec intérêts, oui pour le bon rapport qualité/prix ». Le collectif qui a vu son jour en juillet 2013 a exposé toutes les contraintes liées au programme de LPP. Il a en outre exposé dans une lettre au ministre de l'Habitat et au DG de l'ENPI (Entreprise nationale de la promotion immobilière) les inquiétudes sur les ambiguïtés dans le prix de ces logements qu'ils estiment hors de prix pour une classe moyenne qui espère une acquisition dans les normes de ces logements. Le collectif de ces souscripteurs déplore « le manque d'informations fournies par l'ENPI, qui est le promoteur public de cette nouvelle formule de logement destinée aux cadres, dans le revenu mensuel varie entre 108.000 DA et 216.000 DA ». Ces derniers exigent d'être impliqués dans les programmes de distribution de ces logements dont ils dénoncent une certaine opacité entourant la remise des clés à quelques uns. Le collectif a aussi dénoncé l'absence de soutien de financement sachant que seul le crédit bancaire ouvre le droit à l'acquisition de ces logements avec un taux d'intérêt qui ne rend pas la tâche facile pour ces futurs acquéreurs. La plupart de ces souscripteurs se sont endettés pour l'achat de leurs logements. Certaines rumeurs disent que ces logements sont conçus pour le haut standing où habitent les cadres supérieurs de l'Etat et quelques riches personnes. Mais pour le collectif, il n'est rien de tout cela car ce programme est financé par l'Etat et sa promotion comme l'indique est gérée par une entreprise publique. Les souscripteurs se disent confus que le logement public locatif ressemble à celui de la formule AADL qui est une formule destinée pour une classe sociale moins aisée. Ils déplorent le manque de qualité relevée dans certains appartements ne respectant pas le cahier des charges qui indique que ces logements sont élaborés selon le critère d'un standing supérieur avec ses propres commodités. Cependant, le collectif des souscripteurs signale un autre problème qui est celui de « la publication officielle de tous les sites LPP et en particulier à Alger et clarifier les critères des affectations des logements et intégrant l'opportunité de fiche de vœux aux souscripteurs comme critère principal de choix». En tout et pour tout, seuls quelques milliers de logements LPP ont pu être achevés mais le ministre de l'Habitat, Abdelmadjid Tebboune, affirme que le programme LPP suit son cours face aux efforts de l'Etat par rapport à une demande exigeant de satisfaire 250.000 logements par an alors que les capacités de réalisation sont de 80.000 unités annuellement.