La Caisse nationale des retraites serait sous le coup de la menace. Le coût du retraité coûte cher selon des responsables d'organismes de sécurité sociale et de la centrale syndicale. La Caisse nationale des retraites serait sous le coup de la menace. Le coût du retraité coûte cher selon des responsables d'organismes de sécurité sociale et de la centrale syndicale. La CNR qui paye l'intégralité des retraites en Algérie serait en crise. C'est ce que révèlent des responsables de la sécurité sociale et de la caisse des retraités en déplorant que la CNR a besoin d'être redressée financièrement. Lors d'une rencontre entre ces différents responsables, le ministre du Travail et des Affaires sociales Mohamed El Ghazi a considéré « qu'il faut consolider les équilibres financiers de la sécurité sociale et pérenniser le système de solidarité sociale et améliorer le taux de recouvrement des cotisations sociales ». Sans pour autant nuancer la gravité de la situation financière de la CNR, le SG de l'UGTA a appelé à « une prise de conscience collective » permettant d'explorer selon ces dires des « pistes pour redresser les équilibres de la CNR ». Dans ce sens, le marasme financier de la caisse des retraites fait que « les départs à la retraite coûtent cher à la caisse » regrette Abdelmadjid Sidi Said. Ces déclarations résument à elles seules, tout le péril qui pourrait peser sur les retraités si ces « mécanismes » ne seront pas fonctionnels d'ici peu. Les difficultés dont fait face l'Algérie suite à la baisse des revenus des hydrocarbures expliquent toutes les retombées sur le plan social. A en croire les responsables du secteur des affaires sociales, les caisses arrivent quant même à obtenir la solidarité entre elles pour parer au paiement des retraités. Sachant que le ministre du Travail a considéré que « ces caisses ne vivent que de cotisations et n'ont pas de subventions de l'Etat ». Il est à noter que dans ce cadre, le DG de la CNR, Hassan Tidjani Hadam, avait expliqué que la Caisse vit des difficultés depuis une dizaine d'années mais elle n'a pas eu recours au fonds national des réserves de retraites pour payer les retraités. Mais cela n'empêche que la CNR est dans son droit de puiser dans ce fonds si la situation n'est pas redressée. C'est encore pour enfoncer le clou que le ministre déplore « qu'un certain nombre de travailleurs ne sont pas déclarés et des cotisations ne sont pas versées ». Sans les nommer, le premier responsable du secteur préfère l'arme de la « sensibilisation » en appelant les employeurs à s'acquitter de leurs et à respecter le droit des travailleurs à avoir une assurance sociale. Il faut rappeler que des mesures de facilitations ont été accordées aux employeurs pour le recouvrement des cotisations sociales dont l'objectif est d'atteindre un taux de 50% d'ici la fin de l'année. L'Etat compte aussi annuler toutes les sanctions prévues à l'encontre des employeurs, si ces derniers versent l'intégralité des cotisations. De même qu'un échéancier est prévu pour ceux qui sont en retard de paiement avant le 1er trimestre de l'année 2016 à condition de verser au moins la dernière tranche des dettes. La CNR qui paye l'intégralité des retraites en Algérie serait en crise. C'est ce que révèlent des responsables de la sécurité sociale et de la caisse des retraités en déplorant que la CNR a besoin d'être redressée financièrement. Lors d'une rencontre entre ces différents responsables, le ministre du Travail et des Affaires sociales Mohamed El Ghazi a considéré « qu'il faut consolider les équilibres financiers de la sécurité sociale et pérenniser le système de solidarité sociale et améliorer le taux de recouvrement des cotisations sociales ». Sans pour autant nuancer la gravité de la situation financière de la CNR, le SG de l'UGTA a appelé à « une prise de conscience collective » permettant d'explorer selon ces dires des « pistes pour redresser les équilibres de la CNR ». Dans ce sens, le marasme financier de la caisse des retraites fait que « les départs à la retraite coûtent cher à la caisse » regrette Abdelmadjid Sidi Said. Ces déclarations résument à elles seules, tout le péril qui pourrait peser sur les retraités si ces « mécanismes » ne seront pas fonctionnels d'ici peu. Les difficultés dont fait face l'Algérie suite à la baisse des revenus des hydrocarbures expliquent toutes les retombées sur le plan social. A en croire les responsables du secteur des affaires sociales, les caisses arrivent quant même à obtenir la solidarité entre elles pour parer au paiement des retraités. Sachant que le ministre du Travail a considéré que « ces caisses ne vivent que de cotisations et n'ont pas de subventions de l'Etat ». Il est à noter que dans ce cadre, le DG de la CNR, Hassan Tidjani Hadam, avait expliqué que la Caisse vit des difficultés depuis une dizaine d'années mais elle n'a pas eu recours au fonds national des réserves de retraites pour payer les retraités. Mais cela n'empêche que la CNR est dans son droit de puiser dans ce fonds si la situation n'est pas redressée. C'est encore pour enfoncer le clou que le ministre déplore « qu'un certain nombre de travailleurs ne sont pas déclarés et des cotisations ne sont pas versées ». Sans les nommer, le premier responsable du secteur préfère l'arme de la « sensibilisation » en appelant les employeurs à s'acquitter de leurs et à respecter le droit des travailleurs à avoir une assurance sociale. Il faut rappeler que des mesures de facilitations ont été accordées aux employeurs pour le recouvrement des cotisations sociales dont l'objectif est d'atteindre un taux de 50% d'ici la fin de l'année. L'Etat compte aussi annuler toutes les sanctions prévues à l'encontre des employeurs, si ces derniers versent l'intégralité des cotisations. De même qu'un échéancier est prévu pour ceux qui sont en retard de paiement avant le 1er trimestre de l'année 2016 à condition de verser au moins la dernière tranche des dettes.