La Turquie et les pays participant à la coalition en guerre contre l'Etat islamique (EI) ont appelé, vendredi, la Russie à cesser immédiatement ses attaques contre l'opposition syrienne et à se consacrer à la lutte contre les djihadistes opérant en Syrie. La Turquie et les pays participant à la coalition en guerre contre l'Etat islamique (EI) ont appelé, vendredi, la Russie à cesser immédiatement ses attaques contre l'opposition syrienne et à se consacrer à la lutte contre les djihadistes opérant en Syrie. Dans un communiqué commun, les Etats-Unis, la Grande-Bretagne, la France, l'Allemagne, la Turquie et les alliés du Golfe estiment que l'intervention russe constitue "une nouvelle escalade" dans le conflit de nature à alimenter l'extrémisme. "Nous exprimons notre profonde préoccupation face au déploiement militaire russe en Syrie et en particulier face aux attaques depuis hier de l'armée de l'air russe sur Hama, Homs et Idlib qui ont fait des victimes civiles et n'ont pas visé Daech", affirme le texte. Vladimir Poutine a estimé jeudi que les affirmations selon lesquelles des civils avaient été tués dans des frappes aériennes russes constituaient une "attaque médiatique". L'entrée de la Russie dans le conflit pour venir porter assistance au régime de Bachar al Assad et l'implication croissante de l'Iran pourraient constituer un tournant dans cette guerre qui dure depuis quatre ans et demi. Des centaines de soldats iraniens sont arrivés en Syrie pour participer à une importante offensive terrestre des forces pro-Assad, ont indiqué des sources libanaises jeudi. Dans un communiqué commun, les Etats-Unis, la Grande-Bretagne, la France, l'Allemagne, la Turquie et les alliés du Golfe estiment que l'intervention russe constitue "une nouvelle escalade" dans le conflit de nature à alimenter l'extrémisme. "Nous exprimons notre profonde préoccupation face au déploiement militaire russe en Syrie et en particulier face aux attaques depuis hier de l'armée de l'air russe sur Hama, Homs et Idlib qui ont fait des victimes civiles et n'ont pas visé Daech", affirme le texte. Vladimir Poutine a estimé jeudi que les affirmations selon lesquelles des civils avaient été tués dans des frappes aériennes russes constituaient une "attaque médiatique". L'entrée de la Russie dans le conflit pour venir porter assistance au régime de Bachar al Assad et l'implication croissante de l'Iran pourraient constituer un tournant dans cette guerre qui dure depuis quatre ans et demi. Des centaines de soldats iraniens sont arrivés en Syrie pour participer à une importante offensive terrestre des forces pro-Assad, ont indiqué des sources libanaises jeudi.