Le secrétaire général du RND, Ahmed Ouyahia, a évoqué tous les sujets brulants de l'actualité nationale qui ont focalisé l'attention de l'opinion et suscité des polémiques. Le propos tranchant, voire même menaçant quelquefois, le chef de file du RND a en effet asséné ses vérités hier à l'occasion d'une rencontre de son parti politique. Le secrétaire général du RND, Ahmed Ouyahia, a évoqué tous les sujets brulants de l'actualité nationale qui ont focalisé l'attention de l'opinion et suscité des polémiques. Le propos tranchant, voire même menaçant quelquefois, le chef de file du RND a en effet asséné ses vérités hier à l'occasion d'une rencontre de son parti politique. L'armée, le DRS , l'opposition, le FLN tout a été dit par Ahmed Ouyahia lors de cette rencontre sur la jeunesse du parti. Il a ainsi fait montre de sa colère s'agissant des lectures relatives aux récents changements qui ont touché le département renseignement et sécurité (DRS). « Hamdoulilah, les gens qui critiquaient le DRS et le général Toufik ont compris aujourd'hui que le DRS fait partie des appareils de l'Etat » dira Ouyahia en se montrant étonné de voir certains éprouver, soudainement, de la sympathie pour ce DRS accusé auparavant de « police politique » ou encore « des bouchers ». Rendant un vibrant hommage au général Toufik, qui a dirigé le DRS durant 25 ans avant d'être mis en retraite, Ouyahia a critiqué ceux qui voient en la restructuration des services de sécurité une volonté de la part du Président de « casser un service de sécurité ». Car pour le patron du RND ce département est une institution de l'Etat algérien. Poursuivant son réquisitoire il a fustigé ceux qui critiquent l'armée et disent que l'on s'achemine vers un Etat militaire. « Non l'Algérie ne se dirige pas vers un Etat militaire » car c'est «l'armée qui a protégé le pays. C'est l'armée qui a protégé le pays et c'est grâce notamment à ses sacrifices que nous sommes aujourd'hui ici libres de s'exprimer». Ouyahia répond ainsi à sa manière aux critiques et lectures de l'opposition. Des lectures qui ont notamment expliqué les récents changements au sein du DRS par la lutte des clans qui opposent les différentes tendances du pouvoir. Dans ce même contexte et à propos de l'arrestation du général Hocine Benhadid Ouyahia s'est montré encore plus menaçant. « Comme citoyen et chef d'un parti politique, j'appelle tout le monde à maitriser sa langue. L'Etat ne peut plus rester spectateur. Les polémiques n'arrangent pas le pays. Il y a des limites qui sont infranchissables, sous aucun prétexte ». Enchaînant il dira, en faisant allusion à la fermeture de la chaîne de télévision El Watan TV et les réactions en cascade qui s'en sont suivies, que «la presse doit savoir que la liberté d'expression n'est pas au détriment de l'Algérie». Ouyahia , qui semblait vouloir régler des comptes , a aussi fait cas de « l' affaire » Madani Mezrag, l'ex chef de l'AIS qui a , pour rappel, menacé le président de la République suite au refus des autorités d'agréer le parti politique qu'il comptait créer. Cette sortie médiatique de Madani Mezrag, qui a été à l'origine de la fermeture de la chaîne El Watan TV, a suscité un véritable tollé. « Cette personne a fait une première déclaration. Il a eu une réponse de l'Etat. Il a fait sa deuxième déclaration. Il s'est corrigé et c'est tant mieux» dira Ouyahia qui est aussi revenu sur la proposition du FLN de créer un large front de soutien au programme du président Bouteflika. . « le FLN est un allié stratégique dans le soutien au Président et dans la défense des intérêts du courant nationaliste. Mais, le mode proposé par le parti ne nous convient pas». En termes plus clairs le RND dit non à la proposition du FLN. L'armée, le DRS , l'opposition, le FLN tout a été dit par Ahmed Ouyahia lors de cette rencontre sur la jeunesse du parti. Il a ainsi fait montre de sa colère s'agissant des lectures relatives aux récents changements qui ont touché le département renseignement et sécurité (DRS). « Hamdoulilah, les gens qui critiquaient le DRS et le général Toufik ont compris aujourd'hui que le DRS fait partie des appareils de l'Etat » dira Ouyahia en se montrant étonné de voir certains éprouver, soudainement, de la sympathie pour ce DRS accusé auparavant de « police politique » ou encore « des bouchers ». Rendant un vibrant hommage au général Toufik, qui a dirigé le DRS durant 25 ans avant d'être mis en retraite, Ouyahia a critiqué ceux qui voient en la restructuration des services de sécurité une volonté de la part du Président de « casser un service de sécurité ». Car pour le patron du RND ce département est une institution de l'Etat algérien. Poursuivant son réquisitoire il a fustigé ceux qui critiquent l'armée et disent que l'on s'achemine vers un Etat militaire. « Non l'Algérie ne se dirige pas vers un Etat militaire » car c'est «l'armée qui a protégé le pays. C'est l'armée qui a protégé le pays et c'est grâce notamment à ses sacrifices que nous sommes aujourd'hui ici libres de s'exprimer». Ouyahia répond ainsi à sa manière aux critiques et lectures de l'opposition. Des lectures qui ont notamment expliqué les récents changements au sein du DRS par la lutte des clans qui opposent les différentes tendances du pouvoir. Dans ce même contexte et à propos de l'arrestation du général Hocine Benhadid Ouyahia s'est montré encore plus menaçant. « Comme citoyen et chef d'un parti politique, j'appelle tout le monde à maitriser sa langue. L'Etat ne peut plus rester spectateur. Les polémiques n'arrangent pas le pays. Il y a des limites qui sont infranchissables, sous aucun prétexte ». Enchaînant il dira, en faisant allusion à la fermeture de la chaîne de télévision El Watan TV et les réactions en cascade qui s'en sont suivies, que «la presse doit savoir que la liberté d'expression n'est pas au détriment de l'Algérie». Ouyahia , qui semblait vouloir régler des comptes , a aussi fait cas de « l' affaire » Madani Mezrag, l'ex chef de l'AIS qui a , pour rappel, menacé le président de la République suite au refus des autorités d'agréer le parti politique qu'il comptait créer. Cette sortie médiatique de Madani Mezrag, qui a été à l'origine de la fermeture de la chaîne El Watan TV, a suscité un véritable tollé. « Cette personne a fait une première déclaration. Il a eu une réponse de l'Etat. Il a fait sa deuxième déclaration. Il s'est corrigé et c'est tant mieux» dira Ouyahia qui est aussi revenu sur la proposition du FLN de créer un large front de soutien au programme du président Bouteflika. . « le FLN est un allié stratégique dans le soutien au Président et dans la défense des intérêts du courant nationaliste. Mais, le mode proposé par le parti ne nous convient pas». En termes plus clairs le RND dit non à la proposition du FLN.