L'Assemblée populaire nationale (APN) a, enfin, installée ses structures hier lors d'une séance plénière. Le bureau de la Chambre basse et les commissions ont en effet été installés. Une installation qui a pris beaucoup de retard sur l'échéance preuve par le règlement intérieur de l'assemblée puisque cela devait se faire le 22 septembre dernier. Prévue à 10h la séance plénière n'a été entamée qu'une heure et demie plus tard. L'Assemblée populaire nationale (APN) a, enfin, installée ses structures hier lors d'une séance plénière. Le bureau de la Chambre basse et les commissions ont en effet été installés. Une installation qui a pris beaucoup de retard sur l'échéance preuve par le règlement intérieur de l'assemblée puisque cela devait se faire le 22 septembre dernier. Prévue à 10h la séance plénière n'a été entamée qu'une heure et demie plus tard. Un retard dû à l'absence fort remarquée des députés qui n'étaient pas présents en grand nombre. La crainte du manque du quorum était très perceptible, notamment chez les chefs de file des deux principaux groupes parlementaires à l'APN, ceux du FLN et du RND en l'occurrence. Et force est de dire qu'au début de la séance plénière la présence des députés à l'hémicycle n'était pas significative. En tout cas pour les députés de l'opposition, présents dans les couloirs de l'assemblée puisqu'ils ont boycotté la séance, le quorum n'était pas atteint. Car il fallait au moins la présence de 231 députés, soit la moitié du nombre total des élus du peuple, pour que le quorum soit atteint. Un constat que ne partage pas le président de l'APN, Mohamed Larbi Ould Khelifa, qui a, avant l'ouverture de la sénace, indiqué que le quorum était atteint. Mais contrairement à fois précédentes lorsque se posait avec acuité la question du quorum, Ould Khelifa n'a pas donné de chiffre sur le nombre de présents. Ce qui n'a fait que renforcer les dires de l'opposition. Une opposition qui a brillé par son absence. Tous les groupes parlementaires de l'opposition, à savoir l'Alliance de l'Algérie verte (AAV), le PT, le FFS ont boycotté la séance plénière. Comme il en a été de même pour les députés des partis qui ne disposent pas d'un groupe parlementaire, comme c'est le cas pour le FJD d'Abdallah Djaballah. Dans un communiqué rendu public hier le groupe parlementaire de l'AAV a dénoncé le fonctionnement non démocratique de l'assemblée. L'AAV estime que pour la deuxième fois consécutive le règlement intérieur de l'assemblée, notamment les articles 12 et 13, n'ont pas été respectés puisque le président de l'APN n'a pas invité les représentants des groupes parlementaires à se pencher sur la manière de distribuer les postes des vice-présidents. Le communiqué fait cas d'une correspondance adressée au président de l'APN à cet effet et d'une réunion tenue avec lui, mais en vain. Par conséquent l'AAV accuse le président de l'assemblée de n'avoir pas respecté l'article 13 du règlement intérieur et reproche à la majorité parlementaire d'avoir failli en matière d'éthique. Les députés du FJD ont emboité le pas à leurs pairs de l'AAV en dénonçant eux aussi l'attitude de la majorité parlementaire incarnée notamment para les députés du FLN et du RND. les députés du FJD accusent en effet, dans le communiqué rendu public hier, l'exclusion de l'opposition des structures de l'assemblée. Notons toutefois que les groupes parlementaires de l'opposition ont, dés l'entame de cette législature en 2012, décidés de boycotter les structures de l'assemblée. L'AAV a voulu faire marche arrière, mais sa demande d'intégrer les structures de l'assemblée a été refusée par la majorité parlementaire. Il est à noter que juste après leur installation par la plénière les 9 viceprésidents qui constituent le bureau ont, à leur tour, procédé à l'installation des structures des 12 commissions permanentes. Un retard dû à l'absence fort remarquée des députés qui n'étaient pas présents en grand nombre. La crainte du manque du quorum était très perceptible, notamment chez les chefs de file des deux principaux groupes parlementaires à l'APN, ceux du FLN et du RND en l'occurrence. Et force est de dire qu'au début de la séance plénière la présence des députés à l'hémicycle n'était pas significative. En tout cas pour les députés de l'opposition, présents dans les couloirs de l'assemblée puisqu'ils ont boycotté la séance, le quorum n'était pas atteint. Car il fallait au moins la présence de 231 députés, soit la moitié du nombre total des élus du peuple, pour que le quorum soit atteint. Un constat que ne partage pas le président de l'APN, Mohamed Larbi Ould Khelifa, qui a, avant l'ouverture de la sénace, indiqué que le quorum était atteint. Mais contrairement à fois précédentes lorsque se posait avec acuité la question du quorum, Ould Khelifa n'a pas donné de chiffre sur le nombre de présents. Ce qui n'a fait que renforcer les dires de l'opposition. Une opposition qui a brillé par son absence. Tous les groupes parlementaires de l'opposition, à savoir l'Alliance de l'Algérie verte (AAV), le PT, le FFS ont boycotté la séance plénière. Comme il en a été de même pour les députés des partis qui ne disposent pas d'un groupe parlementaire, comme c'est le cas pour le FJD d'Abdallah Djaballah. Dans un communiqué rendu public hier le groupe parlementaire de l'AAV a dénoncé le fonctionnement non démocratique de l'assemblée. L'AAV estime que pour la deuxième fois consécutive le règlement intérieur de l'assemblée, notamment les articles 12 et 13, n'ont pas été respectés puisque le président de l'APN n'a pas invité les représentants des groupes parlementaires à se pencher sur la manière de distribuer les postes des vice-présidents. Le communiqué fait cas d'une correspondance adressée au président de l'APN à cet effet et d'une réunion tenue avec lui, mais en vain. Par conséquent l'AAV accuse le président de l'assemblée de n'avoir pas respecté l'article 13 du règlement intérieur et reproche à la majorité parlementaire d'avoir failli en matière d'éthique. Les députés du FJD ont emboité le pas à leurs pairs de l'AAV en dénonçant eux aussi l'attitude de la majorité parlementaire incarnée notamment para les députés du FLN et du RND. les députés du FJD accusent en effet, dans le communiqué rendu public hier, l'exclusion de l'opposition des structures de l'assemblée. Notons toutefois que les groupes parlementaires de l'opposition ont, dés l'entame de cette législature en 2012, décidés de boycotter les structures de l'assemblée. L'AAV a voulu faire marche arrière, mais sa demande d'intégrer les structures de l'assemblée a été refusée par la majorité parlementaire. Il est à noter que juste après leur installation par la plénière les 9 viceprésidents qui constituent le bureau ont, à leur tour, procédé à l'installation des structures des 12 commissions permanentes.