Des "propos d'une extrême violence", sont les termes utilisés par le ministre de la Communication, Hamid Grine, pour qualifier la teneur de la lettre du général Mohamed Mediéne dit Toufik, en accusant l'ex-patron du DRS de "remettre en cause l'Etat de droit et la souveraineté du pouvoir judiciaire". Des "propos d'une extrême violence", sont les termes utilisés par le ministre de la Communication, Hamid Grine, pour qualifier la teneur de la lettre du général Mohamed Mediéne dit Toufik, en accusant l'ex-patron du DRS de "remettre en cause l'Etat de droit et la souveraineté du pouvoir judiciaire". Ainsi en réponse à la sortie médiatique du général Mohamed Mediene dénonçant la condamnation à cinq ans de prison du général à la retraite Abdelkader Aït Ourabi dit Hassan, Hamid Grine, critique ouvertement dans un entretien accordé au journal électronique TSA, la teneur de cette lettre s'étonnant "qu'un ex-officier supérieur qui connaît très bien ses droits et ses devoirs, notamment le droit de réserve, se laisse aller à dénoncer une décision de justice. Il est le premier à savoir qu'on ne commente pas une décision de justice", condamne Hamid Grine. Allant plus loin, Grine qualifie les propos du général Toufik "d'hyperviolence". Le ministre de la Communication appelle à cette occasion "le général Toufik et tous ceux qui ont occupé des postes au sein de l'Etat à être responsables de leurs mots. On ne peut pas dire n'importe quoi, surtout en cette période. J'appelle à plus de sagesse et de pondération. J'invite tout le monde à plus d'éthique et d'amour pour ce pays. Parce que si on aime l'Algérie, on doit s'en tenir aux valeurs républicaines et les défendre. Ces mêmes valeurs nous interdisent de mettre de la violence dans notre société". En réponse a quelques partis de l'opposition qui voient en cette lettre "une crise grave dans les institutions de l'Etat", Grine rétorque "Je suis fier d'appartenir à ce gouvernement et de servir l'Etat algérien à la tête duquel il y a le président Abdelaziz Bouteflika. Franchement, je ne vois pas de crise. Certains l'évoquent, c'est de bonne guerre parce que nous sommes dans une vraie démocratie". Au lendemain des déclarations d'Amar Saidani et de Louiza Hanoune, Grine déclare : "Moi je condamne toute sorte de violence verbale, d'où qu'elle vienne. Mais on peut nuancer. Je n'ai pas entendu les partis de la majorité insulter. J'ai entendu des partis microscopiques qui n'ont même pas de députés à l'APN insulter le chef de l'Etat, le secrétaire général du FLN, des ministres du gouvernement... Je parle en tant que ministre de la Communication. Nous sommes en train de mener une campagne pour professionnaliser la presse autour de l'éthique et de la déontologie. J'aimerais que la classe politique écoute cet appel : critiquez, argumentez, mais n'outragez pas, n'insultez pas, ne diffamez pas". Concernant le groupe des 19-4 qui pensent que le Président est "séquestré", le ministre de la Communication s'insurge "On peut demander à voir le Président mais sans employer des termes agressifs. On a dit "séquestré" mais autre chose aussi. Le président Bouteflika est le premier qui mérite le respect et l'admiration. Je le dis pour ce qu'il fait depuis 15 ans. Si nous sommes dans un pays stable, c'est grâce au président Bouteflika. Si certains veulent déstabiliser le pays, ils trouveront 40 millions d'Algériens en face". Ainsi en réponse à la sortie médiatique du général Mohamed Mediene dénonçant la condamnation à cinq ans de prison du général à la retraite Abdelkader Aït Ourabi dit Hassan, Hamid Grine, critique ouvertement dans un entretien accordé au journal électronique TSA, la teneur de cette lettre s'étonnant "qu'un ex-officier supérieur qui connaît très bien ses droits et ses devoirs, notamment le droit de réserve, se laisse aller à dénoncer une décision de justice. Il est le premier à savoir qu'on ne commente pas une décision de justice", condamne Hamid Grine. Allant plus loin, Grine qualifie les propos du général Toufik "d'hyperviolence". Le ministre de la Communication appelle à cette occasion "le général Toufik et tous ceux qui ont occupé des postes au sein de l'Etat à être responsables de leurs mots. On ne peut pas dire n'importe quoi, surtout en cette période. J'appelle à plus de sagesse et de pondération. J'invite tout le monde à plus d'éthique et d'amour pour ce pays. Parce que si on aime l'Algérie, on doit s'en tenir aux valeurs républicaines et les défendre. Ces mêmes valeurs nous interdisent de mettre de la violence dans notre société". En réponse a quelques partis de l'opposition qui voient en cette lettre "une crise grave dans les institutions de l'Etat", Grine rétorque "Je suis fier d'appartenir à ce gouvernement et de servir l'Etat algérien à la tête duquel il y a le président Abdelaziz Bouteflika. Franchement, je ne vois pas de crise. Certains l'évoquent, c'est de bonne guerre parce que nous sommes dans une vraie démocratie". Au lendemain des déclarations d'Amar Saidani et de Louiza Hanoune, Grine déclare : "Moi je condamne toute sorte de violence verbale, d'où qu'elle vienne. Mais on peut nuancer. Je n'ai pas entendu les partis de la majorité insulter. J'ai entendu des partis microscopiques qui n'ont même pas de députés à l'APN insulter le chef de l'Etat, le secrétaire général du FLN, des ministres du gouvernement... Je parle en tant que ministre de la Communication. Nous sommes en train de mener une campagne pour professionnaliser la presse autour de l'éthique et de la déontologie. J'aimerais que la classe politique écoute cet appel : critiquez, argumentez, mais n'outragez pas, n'insultez pas, ne diffamez pas". Concernant le groupe des 19-4 qui pensent que le Président est "séquestré", le ministre de la Communication s'insurge "On peut demander à voir le Président mais sans employer des termes agressifs. On a dit "séquestré" mais autre chose aussi. Le président Bouteflika est le premier qui mérite le respect et l'admiration. Je le dis pour ce qu'il fait depuis 15 ans. Si nous sommes dans un pays stable, c'est grâce au président Bouteflika. Si certains veulent déstabiliser le pays, ils trouveront 40 millions d'Algériens en face".