La directrice régionale de l'Organisation internationale de la réforme pénale pour la région Moyen- Orient et Afrique du Nord (MENA), Taghreed Jaber, a salué les amendements introduits au code de procédure pénale algérien, notamment pour ce qui concerne le renforcement des droits des suspects. La directrice régionale de l'Organisation internationale de la réforme pénale pour la région Moyen- Orient et Afrique du Nord (MENA), Taghreed Jaber, a salué les amendements introduits au code de procédure pénale algérien, notamment pour ce qui concerne le renforcement des droits des suspects. Le renforcement des droits des gardés à vue dans le code de procédure pénale algérien récemment amendé constitue un "acquis positif", a estimé Mme Jaber dans une déclaration à la presse en marge d'une Table ronde sur les "priorités d'amélioration de l'efficacité du système judiciaire en Algérie". Le droit du gardé à vue de communiquer avec sa famille et de contacter un avocat est une chose "positive", a-t-elle ajouté. La responsable s'est également félicitée du saut qualitatif qu'ont connues les conditions de détention dans les prisons algériennes qui sont, a-t-elle dit, "en accord avec les normes internationales des droits de l'homme". Concernant le moratoire sur la peine de mort, elle a estimé que cette décision constituait un des "acquis fondamentaux du système judiciaire algérien". Quant aux nouvelles dispositions du code pénal, adopté début décembre, relatives à la protection de la femme algérienne contre toutes les formes de violence, Mme Jaber a soutenu que l'Islam plus que toute autre religion protège les droits des femmes. Le renforcement des droits des gardés à vue dans le code de procédure pénale algérien récemment amendé constitue un "acquis positif", a estimé Mme Jaber dans une déclaration à la presse en marge d'une Table ronde sur les "priorités d'amélioration de l'efficacité du système judiciaire en Algérie". Le droit du gardé à vue de communiquer avec sa famille et de contacter un avocat est une chose "positive", a-t-elle ajouté. La responsable s'est également félicitée du saut qualitatif qu'ont connues les conditions de détention dans les prisons algériennes qui sont, a-t-elle dit, "en accord avec les normes internationales des droits de l'homme". Concernant le moratoire sur la peine de mort, elle a estimé que cette décision constituait un des "acquis fondamentaux du système judiciaire algérien". Quant aux nouvelles dispositions du code pénal, adopté début décembre, relatives à la protection de la femme algérienne contre toutes les formes de violence, Mme Jaber a soutenu que l'Islam plus que toute autre religion protège les droits des femmes.