C'est donc aujourd'hui qu'auront lieu les élections pour le renouvellement partiel des membres du Conseil de la nation. Ce rendez-vous électoral revêt une importance capitale pour les deux plus grands partis qui s'y affrontent, à savoir le FLN et le RND. C'est donc aujourd'hui qu'auront lieu les élections pour le renouvellement partiel des membres du Conseil de la nation. Ce rendez-vous électoral revêt une importance capitale pour les deux plus grands partis qui s'y affrontent, à savoir le FLN et le RND. Ces deux partis vont, de toute évidence, se disputer âprement les 49 sièges mis en jeu aujourd'hui. Une bataille à couteaux tirés. Les autres partis qui participent à ce scrutin vont juste jouer aux trouble-fête. Car le FLN et le RND dominent largement les assemblées locales (APC, APW) où ils disposent du pus grand nombre d'élus. Des deux partis, c'est le vieux parti qui est majoritaire dans les APC et APW et c'est pourquoi il compte rafler la mise lors de ce scrutin. Un scrutin qui se déroule tous les trois ans. Le FLN a donc mené d'intenses préparatifs dans l'espoir de ravir la première place à son éternel rival. Il n'a pratiquement contracté aucune alliance avec les autres partis, et ce, contrairement au RND. Le parti d'Ahmed Ouyahia s'est, en effet, allié à certaines formations politiques, à l'exemple du Parti des travailleurs et du MPA. Le FLN a donc mobilisé ses élus afin d'éviter la dispersion des voix. Souvent, en effet, la dispersion des voix, due aux luttes intestines qui rongent le parti et à la multiplication des candidatures, est à l'origine des échecs du FLN face à son rival. Cette fois-ci, la direction politique du vieux parti semble avoir pris les devants pour être à l'abri de toute mauvaise surprise. Elle a ainsi mis tous les atouts de son côté pour espérer remporter cette bataille électorale, dont l'enjeu, faut-il encore le rappeler, n'est autre que la mainmise sur la Chambre haute du Parlement. Le FLN veut, à tout prix, être la première force politique au Conseil de la nation car actuellement c'est le RND qui fait office de parti majoritaire. En effet le parti d'Ahmed Ouyahia dispose de 44 sièges alors que le parti d'Amar Saadani n'en a que 39. Une situation que ne digère pas la direction du FLN, ce d'autant que le parti dispose de la majorité dans les assemblées locales. Pour éviter l'éparpillement des voix et la multiplication des candidatures, Amar Saadani a innové cette fois-ci. En effet des élections primaires ont été organisées à l'issue desquelles 48 candidats ont été choisis démocratiquement par leurs pairs membres des APC et APW. Et pour faire respecter la discipline, Saadani a, dans une instruction, brandi la menace de sévir contre tout élu qui braverait l'unité des rangs en se portant candidat. Selon la majorité des observateurs si les élus du FLN font preuve de discipline le parti gagnera haut la main ces élections et aura, par voie de conséquence, la majorité au Sénat. Or, au FLN les ambitions des uns et des autres sont parfois antinomiques avec les desseins de la direction du parti. Dans ce cadre, certains ont d'ores et déjà bravé la discipline du parti en se portant candidats. Ils sont très peu nombreux certes mais ils peuvent menacer les ambitions hégémoniques du FLN. Pour rappel ce sont ces mêmes pratiques, qui ont fait par le passé le bonheur du RND. C'était ainsi le cas lors du dernier scrutin de décembre 2012. En effet, et même avec une majorité d'élus au niveau des assemblées locales, le FLN a été battu par le RND. Ce dernier parti, qui a su parfaitement exploiter les clivages internes du FLN auxquels sont venus s'ajouter une maîtrise parfaite des jeux d'alliances et une discipline partisane à toute épreuve, a remporté la moitié des sièges en jeu, soit 24. Le FLN a ainsi été distancé puisqu'il s'est classé en deuxième position avec 17 sièges seulement. Le RND, réussira-t-il une fois de plus à contrecarrer les desseins du FLN ? Notons que le renouvellement partiel concerne la moitié des 96 sièges qui reviennent aux élus des APC et APW. Le tiers présidentiel, qui dispose lui de 48 sièges est aussi concerné par cette opération. Le président Bouteflika est donc appelé à nommer de nouvelles personnes ou à renouveler sa confiance à certains sénateurs en fin de mandat. Ces deux partis vont, de toute évidence, se disputer âprement les 49 sièges mis en jeu aujourd'hui. Une bataille à couteaux tirés. Les autres partis qui participent à ce scrutin vont juste jouer aux trouble-fête. Car le FLN et le RND dominent largement les assemblées locales (APC, APW) où ils disposent du pus grand nombre d'élus. Des deux partis, c'est le vieux parti qui est majoritaire dans les APC et APW et c'est pourquoi il compte rafler la mise lors de ce scrutin. Un scrutin qui se déroule tous les trois ans. Le FLN a donc mené d'intenses préparatifs dans l'espoir de ravir la première place à son éternel rival. Il n'a pratiquement contracté aucune alliance avec les autres partis, et ce, contrairement au RND. Le parti d'Ahmed Ouyahia s'est, en effet, allié à certaines formations politiques, à l'exemple du Parti des travailleurs et du MPA. Le FLN a donc mobilisé ses élus afin d'éviter la dispersion des voix. Souvent, en effet, la dispersion des voix, due aux luttes intestines qui rongent le parti et à la multiplication des candidatures, est à l'origine des échecs du FLN face à son rival. Cette fois-ci, la direction politique du vieux parti semble avoir pris les devants pour être à l'abri de toute mauvaise surprise. Elle a ainsi mis tous les atouts de son côté pour espérer remporter cette bataille électorale, dont l'enjeu, faut-il encore le rappeler, n'est autre que la mainmise sur la Chambre haute du Parlement. Le FLN veut, à tout prix, être la première force politique au Conseil de la nation car actuellement c'est le RND qui fait office de parti majoritaire. En effet le parti d'Ahmed Ouyahia dispose de 44 sièges alors que le parti d'Amar Saadani n'en a que 39. Une situation que ne digère pas la direction du FLN, ce d'autant que le parti dispose de la majorité dans les assemblées locales. Pour éviter l'éparpillement des voix et la multiplication des candidatures, Amar Saadani a innové cette fois-ci. En effet des élections primaires ont été organisées à l'issue desquelles 48 candidats ont été choisis démocratiquement par leurs pairs membres des APC et APW. Et pour faire respecter la discipline, Saadani a, dans une instruction, brandi la menace de sévir contre tout élu qui braverait l'unité des rangs en se portant candidat. Selon la majorité des observateurs si les élus du FLN font preuve de discipline le parti gagnera haut la main ces élections et aura, par voie de conséquence, la majorité au Sénat. Or, au FLN les ambitions des uns et des autres sont parfois antinomiques avec les desseins de la direction du parti. Dans ce cadre, certains ont d'ores et déjà bravé la discipline du parti en se portant candidats. Ils sont très peu nombreux certes mais ils peuvent menacer les ambitions hégémoniques du FLN. Pour rappel ce sont ces mêmes pratiques, qui ont fait par le passé le bonheur du RND. C'était ainsi le cas lors du dernier scrutin de décembre 2012. En effet, et même avec une majorité d'élus au niveau des assemblées locales, le FLN a été battu par le RND. Ce dernier parti, qui a su parfaitement exploiter les clivages internes du FLN auxquels sont venus s'ajouter une maîtrise parfaite des jeux d'alliances et une discipline partisane à toute épreuve, a remporté la moitié des sièges en jeu, soit 24. Le FLN a ainsi été distancé puisqu'il s'est classé en deuxième position avec 17 sièges seulement. Le RND, réussira-t-il une fois de plus à contrecarrer les desseins du FLN ? Notons que le renouvellement partiel concerne la moitié des 96 sièges qui reviennent aux élus des APC et APW. Le tiers présidentiel, qui dispose lui de 48 sièges est aussi concerné par cette opération. Le président Bouteflika est donc appelé à nommer de nouvelles personnes ou à renouveler sa confiance à certains sénateurs en fin de mandat.