Le Secrétariat national de l'Organisation nationale des moudjahidine (ONM), a appelé à "l'ouverture du dossier sur les graves répercussions des expériences nucléaires effectuées par la France dans le Sahara algérien", indique un communiqué de l'Organisation. Le Secrétariat national de l'Organisation nationale des moudjahidine (ONM), a appelé à "l'ouverture du dossier sur les graves répercussions des expériences nucléaires effectuées par la France dans le Sahara algérien", indique un communiqué de l'Organisation. L'ONM a rappelé, à la veille de la visite du ministre des Moudjahidine Tayeb Zitouni en France, qu'il s'agissait de "l'une des positions de principe susceptibles d'ouvrir de nouvelles perspectives entre l'Algérie et la France pour établir des relations saines et constructives au service des intérêts des deux peuples", ajoute le communiqué. "Le secrétariat général de l'ONM saisit l'occasion de la visite officielle qu'effectuera le ministre des Moudjahidine en France pour rappeler ses positions de principe, susceptibles d'ouvrir des perspectives devant les deux pays pour établir des relations saines et constructives qui servent les intérêts des deux peuples", selon le document. Ces positions concernent également "les excuses que la France doit présenter au peuple algérien pour les crimes qu'elle a commis lors de la période coloniale, l'indemnisation des victimes, et la restitution des archives". Il s'agit également de connaitre le sort des milliers de disparus. Le ministre des Moudjahidine, Tayeb Zitouni avait affirmé dimanche à Alger que sa visite en France serait consacrée à trois principaux dossiers: les archives, les disparus algériens durant la guerre de Libération nationale et les indemnisations des victimes des essais nucléaires effectués dans le Sahara algérien. "Il est grand temps que l'Algérie et la France se penchent sur les dossiers en suspens", avait soutenu le ministre. Au sujet de la demande formulée par la famille révolutionnaire et des partis politiques français pour que la France présente des excuses au peuple algérienpour les crimes qu'elle a commis lors de la période coloniale, le ministre a estimé que "le règlement des dossiers en suspens passe avant, ensuite on pourra parler d'excuses", relevant "une avancée dans la position française concernant la mémoire nationale, en témoigne la visite effectuée par le secrétaire d'Etat français aux anciens combattants en Algérie, durant laquelle Il avait déposé une gerbe de fleurs devant la stèle commémorative des victimes des manifestations du 8 mai 1945 à Sétif, outre les déclarations de hauts responsables français". M. Zitouni considère que sa visite en France, première du genre d'un ministre des Moudjahidine algérien depuis l'indépendance suite à l'invitation de son homologue français, serait l'occasion de rencontrer des moudjahidine algériens vivant en France et des amis français de la guerre de Libération nationale. Cette visite "ne s'inscrit pas dans la cadre des négociations mais vise à lever les obstacles qui les entravent", a soutenu le ministre, indiquant que l'Algérie "a des principes auxquels elle ne renoncera point". L'ONM a rappelé, à la veille de la visite du ministre des Moudjahidine Tayeb Zitouni en France, qu'il s'agissait de "l'une des positions de principe susceptibles d'ouvrir de nouvelles perspectives entre l'Algérie et la France pour établir des relations saines et constructives au service des intérêts des deux peuples", ajoute le communiqué. "Le secrétariat général de l'ONM saisit l'occasion de la visite officielle qu'effectuera le ministre des Moudjahidine en France pour rappeler ses positions de principe, susceptibles d'ouvrir des perspectives devant les deux pays pour établir des relations saines et constructives qui servent les intérêts des deux peuples", selon le document. Ces positions concernent également "les excuses que la France doit présenter au peuple algérien pour les crimes qu'elle a commis lors de la période coloniale, l'indemnisation des victimes, et la restitution des archives". Il s'agit également de connaitre le sort des milliers de disparus. Le ministre des Moudjahidine, Tayeb Zitouni avait affirmé dimanche à Alger que sa visite en France serait consacrée à trois principaux dossiers: les archives, les disparus algériens durant la guerre de Libération nationale et les indemnisations des victimes des essais nucléaires effectués dans le Sahara algérien. "Il est grand temps que l'Algérie et la France se penchent sur les dossiers en suspens", avait soutenu le ministre. Au sujet de la demande formulée par la famille révolutionnaire et des partis politiques français pour que la France présente des excuses au peuple algérienpour les crimes qu'elle a commis lors de la période coloniale, le ministre a estimé que "le règlement des dossiers en suspens passe avant, ensuite on pourra parler d'excuses", relevant "une avancée dans la position française concernant la mémoire nationale, en témoigne la visite effectuée par le secrétaire d'Etat français aux anciens combattants en Algérie, durant laquelle Il avait déposé une gerbe de fleurs devant la stèle commémorative des victimes des manifestations du 8 mai 1945 à Sétif, outre les déclarations de hauts responsables français". M. Zitouni considère que sa visite en France, première du genre d'un ministre des Moudjahidine algérien depuis l'indépendance suite à l'invitation de son homologue français, serait l'occasion de rencontrer des moudjahidine algériens vivant en France et des amis français de la guerre de Libération nationale. Cette visite "ne s'inscrit pas dans la cadre des négociations mais vise à lever les obstacles qui les entravent", a soutenu le ministre, indiquant que l'Algérie "a des principes auxquels elle ne renoncera point".