La prestigieuse Union qui rassemblait tous les travailleurs algériens perd-elle sa crédibilité ? Tout porte à le croire, que décalage de la Centrale se propage au fil des jours. La prestigieuse Union qui rassemblait tous les travailleurs algériens perd-elle sa crédibilité ? Tout porte à le croire, que décalage de la Centrale se propage au fil des jours. Pour preuve trois syndicats autonomes, à savoir, le Syndicat national autonome des travailleurs de l'électricité et du gaz (Snategs), le Syndicat national autonome du personnel de l'administration publique (Snapap) et le Syndicat national autonome des travailleurs de la poste, ont saisi par courrier la section algérienne du Bureau international du travail, et ce pour crier leur désarroi en brisant la loi du silence contre le gouvernement, se plaignant ainsi des les pressions subies. Selon le site électronique TSA, dans cette déclaration datée du 25 janvier, les rédacteurs de cette plainte affirment que : "Nous sommes des syndicats qui subissons des pressions fortes, une oppression plus forte encore et un abus caractérisé de la part du gouvernement. Plusieurs dirigeants syndicalistes ont été licenciés, du fait de leurs activités syndicales. Pire encore, ils sont poursuivis abusivement en justice". La plus grande et la plus constante des critiques faite à l'encontre de la tutelle, qui selon eux fait la fine bouche. "Le ministère du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale, a fait fi de toutes les plaintes introduites par les syndicats pour la protection des syndicalistes par la mise en oeuvre de la convention internationale numéro 135, concernant la protection des délégués syndicaux". "Il s'agit d'une violation de cette convention, ratifiée par la République algérienne", ont-ils souligné. Selon le même document, il est fait état de plusieurs syndicalistes du (Snategs) "qui ont été condamnés à des amendes, du fait de leurs activités syndicales et sont accusés d'infractions privatives de liberté. Le gouvernement algérien, n'a pas observé les résultats et recommandations du comité d'expert de l'Organisation internationale de travail, qui ont recommandé à l'Algérie, lors de la session de juin 2015, de réintégrer tous les travailleurs licenciés en application de la convention numéro 87 relative au droit syndical. Ces recommandations sont restées lettre morte. Le gouvernement algérien par ses manquements, viole la charte de l'Organisation internationale du travail", dénoncent les trois syndicats. La saisine du bureau international du travail vise à "obliger le gouvernement algérien, à honorer ses engagements internationaux par le respect stricte de toutes les conventions internationales approuvées, notamment la convention numéro 135, qui protège les délégués syndicaux contre les licenciements abusifs et la convention numéro 87 qui confirme le droit de s'organiser". Les syndicalistes exhortent le gouvernement à respecter la loi 90-14 relative aux modalités d'exercice du droit syndical et la mise en oeuvre de tous les mécanismes internationaux par ces conventions, pour la protection du droit syndical en Algérie. La démonstration des syndicats autonomes est la preuve concrète d'un revirement total de la situation. Malgré cela, l'UGTA reste le seul interlocuteur du gouvernement. Pour preuve trois syndicats autonomes, à savoir, le Syndicat national autonome des travailleurs de l'électricité et du gaz (Snategs), le Syndicat national autonome du personnel de l'administration publique (Snapap) et le Syndicat national autonome des travailleurs de la poste, ont saisi par courrier la section algérienne du Bureau international du travail, et ce pour crier leur désarroi en brisant la loi du silence contre le gouvernement, se plaignant ainsi des les pressions subies. Selon le site électronique TSA, dans cette déclaration datée du 25 janvier, les rédacteurs de cette plainte affirment que : "Nous sommes des syndicats qui subissons des pressions fortes, une oppression plus forte encore et un abus caractérisé de la part du gouvernement. Plusieurs dirigeants syndicalistes ont été licenciés, du fait de leurs activités syndicales. Pire encore, ils sont poursuivis abusivement en justice". La plus grande et la plus constante des critiques faite à l'encontre de la tutelle, qui selon eux fait la fine bouche. "Le ministère du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale, a fait fi de toutes les plaintes introduites par les syndicats pour la protection des syndicalistes par la mise en oeuvre de la convention internationale numéro 135, concernant la protection des délégués syndicaux". "Il s'agit d'une violation de cette convention, ratifiée par la République algérienne", ont-ils souligné. Selon le même document, il est fait état de plusieurs syndicalistes du (Snategs) "qui ont été condamnés à des amendes, du fait de leurs activités syndicales et sont accusés d'infractions privatives de liberté. Le gouvernement algérien, n'a pas observé les résultats et recommandations du comité d'expert de l'Organisation internationale de travail, qui ont recommandé à l'Algérie, lors de la session de juin 2015, de réintégrer tous les travailleurs licenciés en application de la convention numéro 87 relative au droit syndical. Ces recommandations sont restées lettre morte. Le gouvernement algérien par ses manquements, viole la charte de l'Organisation internationale du travail", dénoncent les trois syndicats. La saisine du bureau international du travail vise à "obliger le gouvernement algérien, à honorer ses engagements internationaux par le respect stricte de toutes les conventions internationales approuvées, notamment la convention numéro 135, qui protège les délégués syndicaux contre les licenciements abusifs et la convention numéro 87 qui confirme le droit de s'organiser". Les syndicalistes exhortent le gouvernement à respecter la loi 90-14 relative aux modalités d'exercice du droit syndical et la mise en oeuvre de tous les mécanismes internationaux par ces conventions, pour la protection du droit syndical en Algérie. La démonstration des syndicats autonomes est la preuve concrète d'un revirement total de la situation. Malgré cela, l'UGTA reste le seul interlocuteur du gouvernement.