Alors que les parlementaires des partis de la majorité vont se présenter en rangs serrés dimanche prochain en vue de garantir l'obtention des 3/4 des voix nécessaires pour l'adoption du projet de loi portant révision de la Constitution, l'opposition, quant à elle, ne semble pas du tout en train d'accorder ses violons. Alors que les parlementaires des partis de la majorité vont se présenter en rangs serrés dimanche prochain en vue de garantir l'obtention des 3/4 des voix nécessaires pour l'adoption du projet de loi portant révision de la Constitution, l'opposition, quant à elle, ne semble pas du tout en train d'accorder ses violons. Il est même certain que les parlementaires des partis de l'opposition n'auront pas une position commune sur la question. Les divergences des partis de l'opposition sur la manière d'agir sont déjà une réalité. Ainsi, si le FFS a d'ores et déjà opté pour le boycott de la session extraordinaire de dimanche prochain et les autres partis sont encore dans l'expectative, ce n'est pas le cas du Parti des travailleurs (PT). Ce parti a, en effet, surpris tout le monde. Le PT a ainsi pris part, hier, à la réunion de la commission mixte du Parlement, chargée de l'élaboration de son propre règlement intérieur, du règlement intérieur de la séance de dimanche et d'un rapport sur la Constitution qui va être soumise au vote ce jour-là. À l'exception des autres partis de l'opposition, le PT a participé à la réunion de la commission parlementaire mixte. Tous les partis politiques représentés dans le Parlement ont été invités à faire partie de la commission. Sur les 60 membres composant cette commission, les partis de l'opposition ont eu droit à 13 sièges. La majorité des sièges est ainsi restée vacante puisque seul le PT a participé. "Nous avons accepté l'invitation et nous nous sommes rendus à Club-des-Pins pour prendre part aux travaux de la commission mixte" a déclaré hier Ramdane Taazibt, député du PT. Et d'ajouter, en guise de précision, que "nous participons à la commission car il s'agit de la loi fondamentale du pays et nous estimons que notre présence est nécessaire et importante et ce, indépendamment de notre position vis-à-vis du vote de cette loi". Le PT malgré sa participation, n'a pas encore pris de position définitive par rapport au projet en question. Mais il est certain, toutefois, que les parlementaires de ce parti ne vont pas boycotter la séance extraordinaire de dimanche et ce, contrairement au FFS qui a déjà tranché la question. Le plus vieux parti de l'opposition s'est en effet déjà prononcé avanthier mardi. "le FFS considère que le projet soumis à l'adoption ne sert pas l'intérêt du peuple algérien et représente une menace pour la stabilité du pays et sa cohésion. Pour ces raisons, le FFS a décidé de boycotter cette session extraordinaire du Parlement" indique le communiqué du parti. Les parlementaires de l'Alliance de l'Algerie verte (AAV) n'ont pas encore pris de position définitive par rapport au projet de loi portant révision de la Constitution. Pourtant un des partis composant cette alliance, Ennahda en l'occurrence, a déjà opté pour le boycott. "Nous avons décidé de boycotter les travaux de l'amendement constitutionnel. Nos députés ne vont pas se présenter dimanche pour le vote" a en effet déclaré Youcef Khababa, député d'Ennahda. "Pour nous, il n'est pas normal de rejeter le projet et la manière avec laquelle va être adoptée cette Constitution et d'aller participer à la commission qui va étudier le projet" a, pour sa part, soutenu Naamane Laouar député du MSP, un autre parti membre de l'AAV. Cela dénote que ce parti s'achemine lui aussi vers le boycott de la séance de dimanche. Il est même certain que les parlementaires des partis de l'opposition n'auront pas une position commune sur la question. Les divergences des partis de l'opposition sur la manière d'agir sont déjà une réalité. Ainsi, si le FFS a d'ores et déjà opté pour le boycott de la session extraordinaire de dimanche prochain et les autres partis sont encore dans l'expectative, ce n'est pas le cas du Parti des travailleurs (PT). Ce parti a, en effet, surpris tout le monde. Le PT a ainsi pris part, hier, à la réunion de la commission mixte du Parlement, chargée de l'élaboration de son propre règlement intérieur, du règlement intérieur de la séance de dimanche et d'un rapport sur la Constitution qui va être soumise au vote ce jour-là. À l'exception des autres partis de l'opposition, le PT a participé à la réunion de la commission parlementaire mixte. Tous les partis politiques représentés dans le Parlement ont été invités à faire partie de la commission. Sur les 60 membres composant cette commission, les partis de l'opposition ont eu droit à 13 sièges. La majorité des sièges est ainsi restée vacante puisque seul le PT a participé. "Nous avons accepté l'invitation et nous nous sommes rendus à Club-des-Pins pour prendre part aux travaux de la commission mixte" a déclaré hier Ramdane Taazibt, député du PT. Et d'ajouter, en guise de précision, que "nous participons à la commission car il s'agit de la loi fondamentale du pays et nous estimons que notre présence est nécessaire et importante et ce, indépendamment de notre position vis-à-vis du vote de cette loi". Le PT malgré sa participation, n'a pas encore pris de position définitive par rapport au projet en question. Mais il est certain, toutefois, que les parlementaires de ce parti ne vont pas boycotter la séance extraordinaire de dimanche et ce, contrairement au FFS qui a déjà tranché la question. Le plus vieux parti de l'opposition s'est en effet déjà prononcé avanthier mardi. "le FFS considère que le projet soumis à l'adoption ne sert pas l'intérêt du peuple algérien et représente une menace pour la stabilité du pays et sa cohésion. Pour ces raisons, le FFS a décidé de boycotter cette session extraordinaire du Parlement" indique le communiqué du parti. Les parlementaires de l'Alliance de l'Algerie verte (AAV) n'ont pas encore pris de position définitive par rapport au projet de loi portant révision de la Constitution. Pourtant un des partis composant cette alliance, Ennahda en l'occurrence, a déjà opté pour le boycott. "Nous avons décidé de boycotter les travaux de l'amendement constitutionnel. Nos députés ne vont pas se présenter dimanche pour le vote" a en effet déclaré Youcef Khababa, député d'Ennahda. "Pour nous, il n'est pas normal de rejeter le projet et la manière avec laquelle va être adoptée cette Constitution et d'aller participer à la commission qui va étudier le projet" a, pour sa part, soutenu Naamane Laouar député du MSP, un autre parti membre de l'AAV. Cela dénote que ce parti s'achemine lui aussi vers le boycott de la séance de dimanche.