Le secrétaire général du FLN, Amar Saadani, a tiré à boulets rouges sur l'opposition, n'a pas épargné Ahmed Ouyahia qu'il a épinglé et a innocenté Chakib Khelil de tous les soupçons de corruption qui pèsent sur lui. Le secrétaire général du FLN, Amar Saadani, a tiré à boulets rouges sur l'opposition, n'a pas épargné Ahmed Ouyahia qu'il a épinglé et a innocenté Chakib Khelil de tous les soupçons de corruption qui pèsent sur lui. le chef de file du FLN a, une fois encore, remis sur la table l'affaire de l'ancien ministre de l'Energie, Chakib Khalil. Pour Saadani en effet, « Chakib khelil doit être réhabilité ». Saadani, qui s'exprimait hier lors d'une rencontre sur la constitution révisée organisée par son parti, a clairement plaidé en faveur de la nécessité « de réhabiliter tous les cadres, dont Chakib Khelil ». Le responsable du vieux parti persiste et signe à propos de l'ancien ministre de l'Energie dont le nom a été cité dans le cadre de l'affaire de corruption qui a secoué l'entreprise nationale des hydrocarbures Sonatrcah. « Chakib Khelil était victime d'un complot interne et externe contre sa personne contre Sonatrach et contre le Président » a déclaré il y a quelques mois Amar Saadani dans une déclaration à une chaîne de télévision. Et d'ajouter que « la Sonatrach n'a pas connu un homme aussi compétent que Chakib Khelil car en son temps l'entreprise a permis à l'Algérie d'engranger 1500 milliards de dollars. C'est le meileur ministre que l'Algérie a connu depuis l'indépendance ». Saadani a aussi soutenu que Chakib Khelil a été condamné avant que la justice ne se prononce sur le dossier. Ces propos ont alors soulevé un tollé général mais le chef de file du FLN a, depuis, soutenu avec bec et ongles cette thèse en s'attaquant à chauqe fois au DRS coupable d'avoir « fabriqué » ce dossier et cette affaire.Le secrétaire général du FLN a aussi épinglé, hier, Ahmed Ouyahia accusé d'avoir mis en prison des milliers de cadres dans les années 90 alors qu'il était chef du gouvernement. Cependant Saadani ne l'a pas cité une seule fois, mais tous les présents ont compris qu'il s'agissait bel et bien d'Ahmed Ouyahia. « On demande à ce que les cadres emprisonnés gratuitement soient réhabilités et retrouvent leurs postes de travail. Ils ont des droits dans ce pays » a-t-il indiqué. Il a par conséquent fortement plaidé pour « la réconciliation avec ces cadres». Pour Saadani, qui a donné le chiffre de 4500 cadres concernés par cette affaire, avec la nouvelle Constitution qui a instauré la deuxième république on devrait « rendre justice aux cadres dont certains ont fui l'Algérie ». Comme d'habitude Saadani a critiqué l'opposition. « Que veut cette opposition ? Qu'elle sorte des hôtels et qu'elle nous montre sa Constitution. L'opposition ne cherche que le pouvoir » dira l'intervenant tout en accusant les détracteurs du pouvoir de prédire l'implosion du pays notamment suite à la chute du prix du baril de pétrole et de la menace terroriste qui pèse sur le pays. « Daesch est à présent près des frontières, que l'opposition aille les saluer maintenant ». Le secrétaire général du FLN ne rate décidément plus la moindre occasion pour tirer à boulets rouges sur l'opposition. Un exercice qu'il partage d'ailleurs avec le secrétaire général par interim du RND, Ahmed Ouyahia. Ce dernier a même accusé l'opposition d'être au service de l'étranger. le chef de file du FLN a, une fois encore, remis sur la table l'affaire de l'ancien ministre de l'Energie, Chakib Khalil. Pour Saadani en effet, « Chakib khelil doit être réhabilité ». Saadani, qui s'exprimait hier lors d'une rencontre sur la constitution révisée organisée par son parti, a clairement plaidé en faveur de la nécessité « de réhabiliter tous les cadres, dont Chakib Khelil ». Le responsable du vieux parti persiste et signe à propos de l'ancien ministre de l'Energie dont le nom a été cité dans le cadre de l'affaire de corruption qui a secoué l'entreprise nationale des hydrocarbures Sonatrcah. « Chakib Khelil était victime d'un complot interne et externe contre sa personne contre Sonatrach et contre le Président » a déclaré il y a quelques mois Amar Saadani dans une déclaration à une chaîne de télévision. Et d'ajouter que « la Sonatrach n'a pas connu un homme aussi compétent que Chakib Khelil car en son temps l'entreprise a permis à l'Algérie d'engranger 1500 milliards de dollars. C'est le meileur ministre que l'Algérie a connu depuis l'indépendance ». Saadani a aussi soutenu que Chakib Khelil a été condamné avant que la justice ne se prononce sur le dossier. Ces propos ont alors soulevé un tollé général mais le chef de file du FLN a, depuis, soutenu avec bec et ongles cette thèse en s'attaquant à chauqe fois au DRS coupable d'avoir « fabriqué » ce dossier et cette affaire.Le secrétaire général du FLN a aussi épinglé, hier, Ahmed Ouyahia accusé d'avoir mis en prison des milliers de cadres dans les années 90 alors qu'il était chef du gouvernement. Cependant Saadani ne l'a pas cité une seule fois, mais tous les présents ont compris qu'il s'agissait bel et bien d'Ahmed Ouyahia. « On demande à ce que les cadres emprisonnés gratuitement soient réhabilités et retrouvent leurs postes de travail. Ils ont des droits dans ce pays » a-t-il indiqué. Il a par conséquent fortement plaidé pour « la réconciliation avec ces cadres». Pour Saadani, qui a donné le chiffre de 4500 cadres concernés par cette affaire, avec la nouvelle Constitution qui a instauré la deuxième république on devrait « rendre justice aux cadres dont certains ont fui l'Algérie ». Comme d'habitude Saadani a critiqué l'opposition. « Que veut cette opposition ? Qu'elle sorte des hôtels et qu'elle nous montre sa Constitution. L'opposition ne cherche que le pouvoir » dira l'intervenant tout en accusant les détracteurs du pouvoir de prédire l'implosion du pays notamment suite à la chute du prix du baril de pétrole et de la menace terroriste qui pèse sur le pays. « Daesch est à présent près des frontières, que l'opposition aille les saluer maintenant ». Le secrétaire général du FLN ne rate décidément plus la moindre occasion pour tirer à boulets rouges sur l'opposition. Un exercice qu'il partage d'ailleurs avec le secrétaire général par interim du RND, Ahmed Ouyahia. Ce dernier a même accusé l'opposition d'être au service de l'étranger.